Le président d’Auvergne-Rhône-Alpes souhaite que les étudiants des Institutions de formation en soins infirmiers et d’aides-soignants puissent renforcer les équipes dans les hôpitaux mais aussi dans les EHPAD. "Ils représentent en Auvergne-Rhône-Alpes une force de 9 000 élèves", explique la Région à l'origine de cette expérimentation.
Une enveloppe de 13 millions d’euros, prise sur le budget du Plan d’investissement compétences en accord avec la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, va permettre de rémunérer les étudiants mobilisés via Pôle Emploi. "Accorder une rémunération décente à ces étudiants qui s’engagent est, au-delà de l’immense merci, la moindre des choses que nous puissions faire", assure Laurent Wauquiez.
Je suis étudiant infirmier. Vous pensez qu on est en unité pour brasser de l air ? C est n importe quoi votre commentaire.
Signaler RépondreIl me semble que ce n'est pas une question d'effectifs dans les hôpitaux mais de matériels, EPI et lits de réanimation ??
Signaler RépondreMariokart : comme dit le proverbe : Quand on veut noyer son chien on dit qu’il a la rage !!! Soyez un peu objectif et pas politique !!!
Signaler RépondrePeut être aussi demander aux infirmières des centres d’examen de santé de la CPAM de Lyon, qui sont chez elles, de participer à l’effort local! Solidarité entre soignantes que je suis !
Signaler Répondre9000 étudiants mobiliés, 9000 "chances" de propager un peu plus le virus. Brillante idée, Wauquiez !!!!
Signaler RépondreWauquiez "souhaite" que les étudiants ........... Les souhaits de ce monsieur sont comme ses capacités à diriger un parti politique.....NULS !
Signaler RépondreEt tous les"paramédicaux " qui ont leur cabinet fermé, pourraient être utiles sinon en première ligne, du moins en deuxième ligne.
Signaler RépondreJe pense aux dentistes, kinés, podologues et autres " ogues" et thérapeutes qui même s'ils n'ont pas reçu directement la formation hospitalière, ont tout de même des pratiques médicales qui pourraient être bien utiles.
Par ailleurs, beaucoup de personnes souffrent actuellement et souvent durement des parties du corps dont ils sont censés s'occuper mais faute de cabinets ouverts....souffrent en silence.
En tant qu infimiere ceci me parait tres imprudent.En effet ces collegues n ont que peu d experiences, n ont pas encore acquit les reflexe de base qui nous protegent. Il serait bien mieux de les mettre en seconde ligne (soins suotidirns sans risques)afin de permettre aux plus anciennes d avancer en premiere ligne. M.Wauquiez, consultez l avis des professionnels de terrain avant de vous avancer. Nous trouverons des solutions au plus proche du reel.Merci. Une infirmiete de 33 ans de metiers et d encadrements d eleves !
Signaler RépondreBonne proposition, je suis pas sur les étudiants ont des fois du mal en situation de stage, alors lâche directement dans le dur j'ai comme un doute.
Signaler RépondreEn plus en France :
- on paye des heures supplémentaires aux personnels des hôpitaux publics ;
- on paye du chômage aux personnels des hôpitaux privés et des cliniques qui n'ont plus le droit d'opérés ;
- et on va débloquer de l'argent pour les étudiants du milieu médical, tant mieux pour eux.
Ne serait-il pas possible d'envoyer le personnel des établissements privés au chômage dans les établissements publics qui en ont besoin.
Mouais c'est pas très utile puisque les hôpitaux ne manquent pas de personnel (un peu sur certains services de réa à Lyon, mais on envoie pas des étudiants en réa). 'fin bon ça leur fera une bonne expérience.
Signaler RépondreTrès bonne idée, merci Mr Wauquiez ! Très utile et cela aidera ces jeunes financièrement !
Signaler RépondreÇa paraît évident ; mais comme nous sommes en France...
Signaler Répondre...bonne proposition...pour une fois..à suivre..
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