Face à la fermeture de nombreux marchés alimentaires pour lutter contre l’épidémie de coronavirus, la collectivité a décidé de regrouper la plupart des initiatives de producteurs et d’associations dans chaque commune comme les drive, les livraisons de paniers ou encore les horaires d’ouverture des rares marchés autorisés.
"Cette plateforme collaborative est conçue pour évoluer au fil des initiatives nouvelles qui se font jour sur notre territoire. Les porteurs d'initiatives qui souhaitent être référencés peuvent remplir un formulaire en laissant leurs coordonnées. Si leur initiative est retenue par la plateforme, le service est rapidement mis en ligne", précise la Métropole de Lyon. Il est vrai que le site n'est pas encore très fourni, la collectivité compte sur les producteurs pour renseigner leurs disponibilités.
"Nous avons souhaité mettre en place ce double service, internet et téléphonique, pour répondre aux attentes des habitants de la Métropole. Il fallait un outil simple qui rassemble, en un seul clic, l’ensemble des services proposés par la collectivité, les communes, les associations, les citoyens...mais aussi un numéro de téléphone pour les personnes qui ne disposent pas d’un accès à internet. C’est désormais chose faite et je veux saluer la mobilisation des services de la métropole qui se sont fortement engagés pour mettre en œuvre ce double service – plateforme numérique et numéro de téléphone - destiné à l’ensemble des habitants des 59 communes qui composent notre Métropole", a réagi David Kimelfeld, président de la Métropole, dans un communiqué.
Pour les personnes ne disposant pas d’accès à Internet, un numéro de téléphone sera donc disponible à compter de mardi prochain à 9h. Il s’agit du 04 26 99 33 99, des agents volontaires répondront aux questions sur les lieux de distribution de denrées alimentaires.
Non ça ne justifie pas un tel écart !!
Signaler RépondreLes espagnol sont pas cons, ils vendent pas leurs fraisent à perte.
Par contre vendre des fraises à 14€ le kilo, bah faut pas avoir fait l'ENA pour comprendre que ça ne se vendra pas
La mauvaise qualité et la surproduction pour les fraises espagnoles,renseignez-vous. Une production moins importante, mais une qualité gustative incomparable.
Signaler RépondreCoût de production des guariguettes de 4€ le kilo. Fraise espagnol 2€ le kilo TTC.
Signaler RépondreQu'est-ce qui justifie un tel écart ???????
Je fais du miel ,passez vite les commandes ,car il ne me reste que deux abeilles ,merci...
Signaler RépondreCoût de production fraises en France pour produire en Avril , environ 4 € le kg . Producteur payé de 4 à 7 selon les variétés . Le reste transport , intermédiaires ,vendeur final ... Tous les producteurs ne peuvent pas économiquement vendre en direct au vue de leurs tailles ... Pour Gariguette fin Mars , les producteurs payés sous leur coût de production ????
Signaler Répondreréponse : transparence totale des prix et des coûts de tout ce qui est vendu.
Signaler RépondreVous militez pour ?
Non ?
Alors on se tait.
fraises françaises à 14 €
Signaler Répondrefraises espagnoles à 1,99€
Le problème vient de qui ? des "agriculteurs français" ? lesquels ? les gros ou les petits ? ou de la "grande surface" ?
T'es de Marseille !!!!
Signaler Répondrefermetiure des marchés : un scandale ! C'est bien plus dangereux de faire ses courses dans un endroit fermé où le.virus reste 3 heures en suspension . Lyonnais souviens toi ...à la liberation, les responsables auront des comptes à rendre !
Signaler Répondreles produits français sont hors de prix. ce matin dans une grande surface les fraises espagnole étaient à 1,99 euros le kilo les fraises françaises à 14 euros le kilo. il faut disposer d'un budget élyséen pour acheter français. c'est du vol organisé. les agriculteurs français disent qu'ils sont pauvres en réalité ils roulent sur l'or
Signaler RépondreBrosse à reluire
Signaler Répondre@ Oups. Il n'existe certainement pas un modèle de distribution meilleur que les autres. Si vous voulez qu'une entreprise en adopte un, c'est par conviction et non par contrainte. Une entreprise contrainte, disparait.
Signaler RépondrePar ailleurs le localisme n'est certainement pas la solution miracle. Si chaque ville, région, pays, fait du localisme, chacun va se retrouver uniquement avec des clients locaux, et une exposition plus grande aux aléas. La possibilité de vendre plus loin (ça marche dans les 2 sens) permet aussi de mutualiser les risques, de lisser l'activité, et diversifier l'offre et la demande.
Merci à Mr le maire du 9 ème arrondissement. Pas de maintenir le marché de St Rambert. Mais ne vous inquiétez pas !! On sent souviendra pour le 2 éme tour. Bravo pour votre incompétence.
Signaler RépondreMERCI BEAUCOUP ! A l'heure ou beaucoup d'élu se distingue par le dévouement aveugle et zélé , je trouve que M.David Kimelfeld , se distingue avec brio par sa retenu et sa perspicacité dans le traitement de la situation . Encore merci !
Signaler RépondreLa politique politicienne et démagogique n'en fini pas de faire des siennes.
Signaler RépondreIl ne faut pas culpabilisé les consommateurs, mais plutôt contraindre les entreprises à proposer des produits en 'circuit cours'