C’est Laurent Wauquiez, le président du Conseil régional, qui avait d'abord annoncé vendredi le lancement de cette vaste campagne de tests alors que Santé Publique France évoquait le même jour 375 décès de seniors dans les Ehpad de la région et 73 à l’hôpital, tous liés, de manière possible ou confirmée, au coronavirus. Une véritable hécatombe, qui a donc poussé les autorités sanitaires à mettre aussi en place une campagne de tests.
Dans un communiqué, l’ARS explique que dans les EHPAD, "pourront être testés les résidents et tous les personnels à compter de l’apparition du premier cas confirmé dans la structure, ce qui permettra de regrouper les cas positifs en un secteur dédié et ainsi éviter la contamination des autres résidents. Une stratégie de dépistage est mise en œuvre de manière graduée en fonction des situations épidémiques connues à ce jour". Pour l’ARS, l’utilisation des tests pour dépister la présence du virus Covid-19 "demande une formation aux gestes de prélèvements et le port d’équipements de protection individuelle adaptés". Un prélèvement mal effectué ou une charge virale insuffisante pourraient altérer le résultat.
Au total, en Auvergne-Rhône-Alpes, "19 plateaux techniques de laboratoire de biologie médicale sont référencés à ce jour" pour analyser les tests. Six autres labos, dont des vétérinaires, peuvent aussi tester des échantillons selon l’ARS qui indique que "la capacité est aujourd’hui estimée à un nombre théorique de 6 500 analyses quotidiennes". Un dispositif qui devrait monter en puissance au fil des jours.
L’ARS souhaite "rappeler que des prélèvements ont déjà eu lieu depuis plusieurs semaines dans une partie des établissements médico-sociaux, et au sein desquels un ensemble de mesures de sécurité, d’hygiène et d’isolement des résidents ont d’ores et déjà été largement appliquées".
L’Agence Régionale de Santé indique qu’elle "ne communiquera pas sur les résultats par établissement" mais rendra public, "dans la mesure du possible, les données départementales dès lors qu’elle estimera que les premiers retours sont suffisamment consolidés".
Pour infos , renseigne toi ,juste sur les chiffres accordé par la banque européenne pour relancer l’économie de l’Allemagne . Le comparatif a été donné à la télévision et il montre ENCORE une fois la différence entre un mastodonte et une souris .
Signaler Répondre.. Pour info en Allemagne aussi il manquent des masques et autres protections pour personnel soignant
Signaler RépondreLa technocratie dans toute sa splendeur,dans un an ils feront encore des réunions pour débattre des mesures à prendre..
Signaler RépondreLa France décidément sera TOUJOURS le VALET de L’ALLEMAGNE.
Signaler Répondreattendre, comme anonyme du jour , que les gens meurent ,c’est normal . Les complots n’existent pas , ect... les fous en fait , sont ceux qui gouvernent avec les moutons qui les mettent en place . Ils sont AUSSI responsables des politiques en place . La preuve c’est que TOus les fous sont en liberté,la faute au manquent de place des récessions européennes.
Signaler Répondremoi aussi je suis d'accord avec toi. mais alors qu'on cesse de nous raconter des salades en nous disant je cite "les tests de dépistage et les masques ça ne sert à rien". quon nous dise " on n'en fait et on n'en distribue pas parce qu'on n'en n'a pas". mais je pense que les politicards ne disent pas cela pare qu'ils ont peurs qu'on leurs demandent: pourquoi l'Allemagne qu'ils prennent toujours pour modèle pourquoi l'Allemagne en a et nous pas
Signaler RépondreJe suis d'accord avec vous, mais tant qu'il n'y a pas assez de tests/masques il est logique de les réserver aux personnes qui en ont le plus besoin, les malades pour s'assurer qu'ils ont bien le covid (et pas autre chose qui demanderait un autre traitement) et les soignants pour les protéger.
Signaler Répondreet en Allemagne ils ont moins de 3000 deces. en France on en sera bientôt à 14 000 !!! il n'ya pas besoin de longs discours stériles pour faire des dépistages et distribuer des masques!!!
Signaler RépondreC'est d'intérêt public, lisez ceci, ça fait peur
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Des responsables hospitaliers « inquiets à l’idée d’une pénurie en médicaments essentiels aux patients du Covid-19 »
Un collectif de soignants, dans une tribune au « Monde », explique que nous ne pouvons plus dépendre à ce point de pays tiers, et notamment de la Chine et de l’Inde, et appelle le président de la République à agir d’urgence avec ses homologues européens pour définir un plan d’action.
Publié aujourd’hui à 11h31, mis à jour à 12h09
Neuf grands centres hospitaliers universitaires européens ont alerté, le 31 mars, les gouvernements de leur pays pour signaler les risques majeurs d’une pénurie en médicaments essentiels à la prise en charge des patients atteints du Covid-19.
Ces médicaments sont consommés dans tous les pays à un niveau jamais atteint. Il s’agit des sédatifs, des morphiniques, des myorelaxants (curares) et de certains antibiotiques. Nous, soignants, sommes inquiets à l’idée qu’une pénurie complète ne survienne dans les prochaines semaines.
Sans ces médicaments, nous ne pourrons plus soigner alors que nous avons déjà adapté nos pratiques pour limiter la consommation de ces molécules en tension. Les curares, indispensables pour l’anesthésie lors de nombreuses interventions chirurgicales, le sont aussi pour les ventilations assistées des malades les plus gravement atteints par le Covid-19. La carence de cette classe de médicaments serait une véritable catastrophe.
Le gouvernement français a, ces derniers jours, réaffirmé sa volonté de transparence dans son action, mais il se concentre aujourd’hui essentiellement sur la gestion des stocks existants et la recherche de sources d’approvisionnement à l’étranger, sans donner de vision sur l’avenir à moyen terme.
Un rapport de l’Académie nationale de pharmacie en mars 2013 et, beaucoup plus récemment, un rapport de la mission d’information sur les pénuries de médicaments et de vaccins, signé par les sénateurs Jean-Pierre Decool (Nord, groupe Les indépendants - République et territoires) et Yves Daudigny (Aisne, groupe socialiste et républicain) en octobre 2018 alertaient déjà sur « la vulnérabilité française et européenne aggravée par les mutations profondes de l’industrie du médicament ».
L’Académie de pharmacie soulignait que « 60 % à 80 % des matières actives à usage pharmaceutique sont fabriquées dans les pays tiers à l’Union européenne, principalement en Inde et en Asie, contre 20 % il y a trente ans. Cette perte quasi complète d’indépendance de l’Europe en sources d’approvisionnement en principes actifs se conjugue à l’éventuelle perte du savoir-faire industriel correspondant ». Le rapport de la mission sénatoriale proposait d’« instituer un programme public de production et distribution de quelques médicaments essentiels ».
Guerre commerciale
Des efforts considérables sont actuellement déployés par l’industrie pharmaceutique pour augmenter au maximum la production des médicaments dont la consommation a explosé du fait de la pandémie. Mais les industriels ont indiqué, dans un communiqué publié le jeudi 9 avril par l’agence d’information APMnews, que la relocalisation de la production était complexe : « Le transfert de production est un processus coûteux, long et qui nécessite des moyens humains et techniques conséquents. » Une véritable guerre commerciale conduit les gouvernements à rivaliser auprès des fournisseurs, que ce soit pour les médicaments, les dispositifs de protection (masques, surblouses…) ou pour d’autres matériels nécessaires à la prise en charge des patients dans les hôpitaux.
Face à cette situation, il nous paraît indispensable que les Etats européens unissent leurs forces pour peser dans cette guerre commerciale qui est anachronique dans le contexte de guerre mondiale de l’humanité contre le Covid-19. Par ailleurs, l’urgence que l’Europe retrouve une indépendance sanitaire en relocalisant toutes les étapes de la production des médicaments essentiels ne peut plus être contestée.
Nous ne pouvons plus dépendre à ce point de pays tiers, et notamment de la Chine et de l’Inde. Nous savons qu’une nouvelle vague épidémique est possible dans les prochains mois, et qu’elle ressurgira inéluctablement sous d’autres formes dans un futur plus lointain. Nous ne pouvons pas courir le risque de nous retrouver à nouveau dans une situation de pénurie à ce moment-là, il en va de notre responsabilité collective.
La santé est notre bien le plus précieux, nous avons mis aujourd’hui nos économies en berne pour elle et notre liberté entre parenthèses. Les Français et l’ensemble des citoyens européens ne comprendraient pas que l’Europe n’engage pas dès aujourd’hui une politique forte et volontariste pour assurer l’approvisionnement et qu’elle se contente d’un plan de gestion de la pénurie. Nous appelons le président de la République à agir avec ses homologues européens pour définir dès maintenant un plan d’action. Il n’y a plus de temps à perdre.
Les signataires : Pr Jean-Louis Beaudeux, doyen de la faculté de pharmacie, université de Paris ; Pr Patrick Couvreur, président de l’Académie nationale de pharmacie ; Pr Patrice Diot, président de la Conférence nationale des doyens des facultés de médecine ; Dr Thierry Godeau, président de la Conférence nationale des présidents de commission médicale d’établissement (CME) des centres hospitaliers ; Pr Bernard Muller, président de la Conférence nationale des doyens des facultés de pharmacie ; Pr Marc Pallardy, doyen de la faculté de pharmacie, université Paris-Saclay ; Pr Catherine Paugam-Burtz, vice-présidente de la collégiale d’anesthésie-réanimation-médecine périopératoire d’Ile-de-France ; Pr François-René Pruvot, président de la Conférence nationale des présidents de commission médicale d’établissement (CME) des centres hospitaliers universitaires ; Pr Bruno Riou, président de la conférence des doyens de médecine d’Ile-de-France ; Pr Rémi Salomon, président de la commission médicale d’établissement (CME) de l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) ; Pr Marc Samama, président de la collégiale d’anesthésie-réanimation-médecine périopératoire d’Ile-de-France ; Pr Antoine Vieillard-Baron, président de la collégiale de médecine intensive réanimation d’Ile-de-France.
« La situation actuelle des Ehpad est un véritable scandale d’Etat »
Signaler RépondreTribune du Monde de ce matin
Face au Covid-19, les maisons de retraite manquent de moyens. Treize élus et responsables de la santé dénoncent dans une tribune au « Monde » une « indifférence morbide » menaçant la vie des résidents de ces établissements.
Publié aujourd’hui à 10h00, mis à jour à 10h31 Temps de
Le 31 mars, Florence Aubenas décrivait dans Le Monde la vie sous confinement à l’Ehpad des Quatre-Saisons de Bagnolet (Seine-Saint-Denis). Une plongée glaçante dans l’univers de ces établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) où la peur du virus, les contaminations se mêlent à une forme de résignation face à la solitude et au manque criant de moyens, de personnels, de matériel.
Depuis le début de cette crise sanitaire sans précédent, une indifférence morbide plane sur les 700 000 résidents des différents types d’établissements privés ou publics accueillant des personnes âgées. Il fallut d’ailleurs attendre le 2 avril, soit près de deux mois après le début de cette crise, et après trois semaines de confinement, pour que l’Etat communique enfin des « chiffres partiels » des victimes du virus en Ehpad. Comme si, au travers de cette mise sous silence arbitraire, c’était la société entière qui refusait de voir le drame qui se joue sous ses yeux.
De la dignité pour nos aînés, est-ce trop demander ? Après l’épisode caniculaire de 2003, lors duquel 19 000 personnes âgées trouvèrent la mort, quelques leçons furent tirées, notamment pour investir dans la rénovation de nos Ehpad. Mais force est de constater que nous sommes loin du compte. Malheureusement, il y a bien une continuité de responsabilité entre la crise de 2003 et celle que nous vivons aujourd’hui.
Nos anciens sont, une fois encore, les victimes silencieuses d’un Etat qui, ne jurant que par des logiques comptables, a délibérément affaibli notre système de santé et médico-social public. Si la dimension et les caractéristiques exceptionnelles de la pandémie de Covid-19 ne sont plus à établir, il n’en demeure pas moins que l’expérience française en matière de santé publique aurait dû être davantage mobilisée.
Trop vieux, trop faibles
Disons-le clairement, la situation sanitaire qui règne aujourd’hui dans les Ehpad de la sixième puissance mondiale est dramatique. Lorsque le virus entre dans un établissement, de nombreux résidents peuvent être contaminés, les taux de mortalité sont estimés au-delà de 20 % à 30 % et face à cela, les élu·es, personnels, cadres de santé que nous sommes, demeurons à la fois scandalisé·es et démuni·es.
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La situation actuelle des Ehpad est un véritable scandale d’Etat. A l’hôpital, faute de places et de moyens suffisants, on « rationalise » et les résidents d’Ehpad n’y sont donc pas accueillis : trop vieux, trop faibles, pour tenter le passage en réanimation ! Face à la maladie et à la mort, les établissements se sentent bien isolés et deviennent même des pièges, qui se referment sur leurs résidents. Les médecins coordonnateurs tentent d’accompagner au mieux les patients mais, en plus du Covid-19, le suivi d’autres pathologies n’est plus assuré correctement.
Derrière les murs des Ehpad, c’est un scandale dans le scandale d’Etat qui se joue à huis clos ! Pendant plusieurs semaines, le gouvernement a tenté de minimiser le nombre de décès global en France, en n’organisant pas la remontée des informations des établissements. Or, depuis que les décès dans les Ehpad sont comptabilisés, les chiffres s’envolent.
En raison du manque de protection, le virus continue de se propager dans les établissements, alors que le confinement commence à porter ses fruits dans notre pays. Aurait-il fallu faire partout, comme dans cet Ehpad de Bergeron-Grenier, en Charente, où l’équipe entière a décidé de se confiner avec les résidents, pour ne pas emmener la mort avec elles et eux, matin et soir ?
Un plan, sept mesures d’urgence
Voilà pourquoi nous nous devons de dire plus fort encore notre admiration et notre soutien au personnel de ces établissements, qui lutte aussi contre la maladie, parfois sans aucun équipement pour se protéger.
Il y a à peine quatre mois, nous nous mobilisions ensemble – personnels, employeurs, familles, élus locaux – lors d’un mouvement de grève sans précédent des métiers du grand âge, pour dénoncer le manque criant de moyens dédiés dans le projet de loi de finances de la Sécurité sociale. Ce qui était valable hier l’est plus encore aujourd’hui !
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Il manque près de 80 000 postes dans ces secteurs, dont 40 000 urgemment, soit deux par établissement. Dans les Ehpad, des aides-soignants vont même jusqu’à s’occuper de dix personnes chacun ! En 2006, Dominique de Villepin, alors premier ministre, en promettait huit pour dix. Et que dire des salaires souvent très faibles ou des maladies professionnelles qui ne cessent d’augmenter ?
Pour éviter que la situation n’empire encore, l’Etat doit intervenir et déclencher un plan d’urgence pour les personnes âgées et le secteur médico-social.
Voici les mesures qui doivent être immédiatement mises en œuvre : du matériel de protection – masques FFP2 et chirurgicaux, surblouses, lunettes ; des tests pour les résidents comme pour le personnel ; des médicaments, notamment pour accompagner dignement la fin de vie, et du personnel qualifié pour les prescrire et les administrer ; des crédits pour recruter rapidement des infirmiers, aides-soignants et aides à domicile ; un plan de résorption des emplois précaires du secteur ; la réquisition sanitaire des Ehpad privés.
« Une civilisation où les personnes âgées n’ont pas de place porte en elle le virus de la mort » : cette phrase du pape François, lors d’une audience place Saint-Pierre de Rome, en 2015, n’a jamais eu autant de résonance. L’accompagnement de nos aînés doit être une priorité nationale, avec comme curseur dans la prise en charge : dignité et bientraitance.
Chaque jour, nous sommes aux côtés de nos anciens et de leurs familles pour accompagner, à l’échelle de nos territoires, l’incroyable mobilisation de celles et ceux qui portent à bout de bras notre système de soins. La réponse des pouvoirs publics doit être à la hauteur, dès aujourd’hui, de cet engagement qui sauve notre honneur, en plus de sauver des vies.
Les signataires : Jean Barucq, ex-directeur du secteur médico-social de la Fehap ; Patrick Beaudouin, maire de Saint-Mandé (Les Républicains) ; Patrice Bessac, maire de Montreuil (Parti communiste français) ; Philippe Bouyssou, maire d’Ivry-sur-Seine (PCF) ; Luc Carvounas, député du Val-de-Marne (Parti socialiste) ; Laurence Cohen, sénatrice du Val-de-Marne (PCF) ; Christian Favier, président du département du Val-de-Marne (PCF) ; Barbara Filhol, secrétaire générale de la CGT des Ehpad publics du Val-de-Marne et membre du Conseil supérieur de la fonction publique hospitalière ; Jean-Philippe Gautrais, maire de Fontenay-sous-Bois, président de la maison de retraite intercommunale – Fontenay, Vincennes, Saint-Mandé, Montreuil – (Front de gauche) ; Jean-Claude Kennedy, maire de Vitry-sur-Seine (PCF) ; Jacques J.P. Martin, maire de Nogent-sur-Marne, président de l’établissement public territorial Paris-Est-Marne-et-Bois (LR) ; Jean-Pierre Spilbauer, maire de Bry-sur-Marne (divers droite) ; Richard Tourisseau, ex-directeur d’Ehpad, ancien secrétaire général du Syncass-CFDT.
Collectif
ah oui!!! les complotistes tu parles!!! les tests de dépistage il faut les faire tout de suite sans attendre que les premiers symptômes apparaissent au bout de 15 jours de délai d'incubation car pendant ce temps le virus se propage. ce d'abord dans les ehpad mais ensuite er tres rapidement dans le reste de la population. je rappelle que dans les ehpad il y a en France 720 000 personnes. nos politiques se réfèrent toujours a ce qui se fait en Allemagne. eh bien en Allemagne ils font des centaines de milliers de dépistages par semaine. pour les masques bien sur il faut les donner en priorité au personnel soignant mais il faut aussi penser au reste de la population car plutôt on sera protéger pour aller faire les courses par exemple et plus tot les hôpitaux seront désengorgés
Signaler RépondreArrêtons de nous prendre pour des imbeciles. Toutes ces organisations, Dirigeants payés avec nos impôts qui sont incapables de nous dire les choses réelles ; ils se contredisent à longueur de journée. Des masques, des tests de dépistage c’est ce que nous voulons et attendons depuis un mois...
Signaler RépondreLa loi sur les fake news devrait permettre la modération de tels propos, ce n'est pas en écoutant des complotistes qui semblent sortis de l'asile que l'on va réussir à s'en sortir...
Signaler Répondrehatons nous de ne rien faire!!! ca semble le mot d'ordre de l ARS , de l'OMS et pour partie du gouvernement:pas de masque, pas de depistage,etc... mais aussi des scientifiques : toujours aucun résultat de discovery. je commence à trouver cela très inquiétant. Je m'interroge car le bordel aussi ça s'organise. je suis aussi tres inquiet surtout pour les ehpad : sii on continue comme ça il y aura des dizaines sinon des centaines de milliers de décès.
Signaler RépondreExactement, les complots ne sont pas une Théorie, mais bien une certitude pour continuer à faire de cette planète ,un Enfer pour 98/100 des êtres humains.
Signaler RépondreC’est exact, je viens de regarder les chiffres mondiaux des décès pour le trimestre 2020 , c’est effarant . C’est bien ce virus qui a tué le moins de personnes sur cette terre en 3 mois . La palmes d’or reviens à deux millions sept cent milles décès de pauvres gens qui sont mort de FAIM .. et j’en passe , donc, cette propagande de la peur qui tétanise une bonne partie des populations est inexacte, c’est une certitude.
Signaler RépondreRien à ajouter tout est dit!
Signaler RépondreA tous ceux qui avaient encore des doutes sur l'utilité du dinosaure ARS... et de sa multitude de fonctionnaires payés par nos bon soins
Signaler RépondreIls laissent mourir depuis toujours des dixaines et des centaines de millions de personnes à travers le monde . Et d’un coup , d’un virus que l’ont réchappe et oui , ont emprisonne des peuples . Les maisons deviennent des prisons , des autorisations de sorties comme pendant la guerre mondiale, des contraventions salées et une Gestapo qui œuvre pour les ÉLITES,mais laissent TOUS les marchés de la drogue OUVERT en France . Un pr Raoult qui a guéris des milliers de personnes à Marseille et qui est de ce Fait , menacé de morts et discrédité par les collaborateurs du nouvel ordre mondial . La chloraquine qui depuis janvier est interdite en France par NOS élites de la santé, ME BUZIN qui bizarrement à son mari mr Cohen qui est directeur du laboratoire secret défense de Susan où est parti la pandémie. Une OMS qui au début n’a rien voulut faire ect.. ect..
Signaler RépondreJ’ai attrapé cette saleté de virus , sans que je m’en rendent vraiment comptes , ni moi ni mon médecin. J’ai été soigné mi février d’une rhino-pharyngite et d’une bronchite , avec toux sèches et de la fièvre qui venait et repartait..... j’ai été soigné en deux semaine et demie et depuis je me porte à merveille à presque 60 ans . Donc, ce virus a été lâché dans l’air aux quatre vents de la planète peut-être de la ionosphère, à savoir, en tout cas il n’est pas là Par MIRACLE . Seul , l’espèce humaine est capable de telle chose , par avidité et plus pour dominer leurs semblables et régner en DIEU vivant . Le nouvel ordre mondial existe bien , renseignez vous , les BILDENBERG, le Grand SIÈCLE, ect... des rassemblements d’ELITES du monde entier pour préparer votre vie de demain ,car tout est joué d’avance.
Signaler RépondreExact. La rentabilité, l’Europe de la récession pour enrichir les actionnaires delà mondialisation. L’hôpital, mais aussi toutes les institutions, l’éducation nationale , la police , l’armée ,la sécurité sociale,ect... tous sont dans cette logique de rentabilité qui ne dessert personne saufs des porcs grassouillets qui n’en ont JAMAIS assez ... il faut l’admettre , la France ,comme dàutres pays européen fondateur sont devenus les vassaux d’un EUROPE des Riches et des ÉLITES contre leurs peuples .
Signaler RépondreRien à craindre du Covid, nous avons le meilleur système sanitaire du monde. C’est ce que claironnaient les médias depuis janvier. Une variante du « Nous vaincrons car nous sommes les plus forts »
Signaler RépondreEn attendant, notre État super développé se trouve à fliquer des mecs qui font leur jogging. La stratégie sur le port du masque « évolue », la seule question étant de savoir comment faire un virage à 180 sans passer pour des irresponsables.
Quant à l’Etat profond, il poursuit sur sa lancée. On reproche à Lallement son manque de compassion, au directeur de l’ARS grand est de vouloir poursuivre le plan de réduction des effectifs dans les hôpitaux : mais ces gens ne font que suivre la stratégie du gouvernement décidée il y a plusieurs années. Trop facile de vouloir « sauver l’hôpital » quand on n’a plus le choix.
les residents ehpad sont confiné toute l'annee on se fou de votre geule
Signaler Répondrewauquiez cherche des voix comme tout politicien mdr
Signaler RépondreRenfermez tout un peuple , sans protection aucune , pour un virus , c’est PLUS que bizarre. Je sais pas ce que cachent les ÉLITES du nouvel ordre mondial , mais c’est certainement le retour à l’esclavage et au moyen âge pour les peuples.
Signaler Répondre27 jours d'attente, quelle performance pour "le système de santé le meilleur du monde" en faveur "des gens qui ne sont rien".
Signaler RépondreL'ARS ou plutôt Agence Politique de Santé.. une bande de bon à rien payés grâcement avec nos impôts ! Virez moi tout ça !
Signaler RépondreUne victime parmi tt ces victimes juste pas d commentaire
Signaler RépondreVous avez raison ,le discours qui ne sert à rien juste à endormir les gens!Pays à la dérive total.
Signaler RépondreBonsoir,
Signaler RépondreVôtre maman est chez elle ?
Je n'ai plus la chance d'avoir la mienne, mais croyez moi confinement ou pas, je serait avec elle 24/24.
Une maman on n'en a qu'une.
Donc dans les epadh,les personnes âgés ne meurent que du covid.. Pour en être sûre, faudrait que des tests soient fait afin d en être sûre. Pour ceux qui travaillent ou ont travaillé auprès de ce public, on connaît parfaitement les conséquences l'orsqu on change les habitudes certaines personnes âgées et qui se sont laissé mourir à petit. Ne nous leurrons pas le confinement fera autant de morts chez les, personnes âgées que le covid....et 'n oublions pas les personnes âgés à domicile qui se' laissent dépérir... Ma mère de 86 ans est dans ce cas et c est pas les coup de fil journalier qui y changera grand chose..
Signaler RépondreLundi 13 avril 2020, à 20h00 tapez sur vos casseroles !!!
Signaler RépondreManifestation de casseroles à toutes les fenêtres et balcons, durant le discours de macron !
Dénonçons tous ensemble son incompétences et décisions criminelles.
ARS une bande d'incapable au vu ce qui est pratiqué en Allemagne ou Corée du sud
Signaler RépondreEt des décès à tour de bras mais faux pas inquiéter la population par peur d une révolution Alors les chiffres c est faux
Signaler RépondreNous ne sommes pas tester ni nous ni pas grand monde Chiffre truqué beaucoup plus de décès a cause de ce virus . Les gens on peur d aller chez leur docteur
Signaler RépondreAprès cette catastrophe, il viendra le temps de se poser des questions sur le fonctionnement archaïque des ARS en règle generale. Depuis le début ils jouent au cache cache avec la confusion au niveau des chiffres. Ce n'est pas sérieux.
Signaler RépondreDeux coms pour le moment... l'un qui dit qu'il ne faut pas tester en EHPAD pour se concentrer sur le reste de la population et l'autre qui dit le contraire (tester en EHPAD même s'il n'y a aucun cas au détriment de la population puisqu'on manque de tests).
Signaler RépondreComment voulez vous que les politiques ou l'ARS arrivent à faire plaisir à tout le monde !
Sinon, côté Chloroquine, une étude anglaise publiée le 4 avril dans "The new England journal of medicine" conclut que les patients n ayant PAS reçu de Chloroquine ont eu plus besoin d assistance respiratoire que les autres, et qu'il n y eu aucun bénéfice sur la mortalité ni la réponse immunitaire. Je dis ça pour les 59% de Français convaincus que c est un traitement efficace. (PS: 63 patients dans l étude, dont 31 témoins et 32 sous hydroxychloroquine. À voir ce que l'étude Discovery va donner mais attendons nous à des résultats bien décevants)
Signaler Répondre27 jours...
Signaler RépondreTerrible constat de fait et de morts.
Ensuite, il est dit dans l'article que les test de dépistage, ne commenceront qu'a partir du premier cas...
Je me pince et relis une seconde puis troisième fois !
Donc en fait, ils attendent que cette saloperie de virus entre dans les EHPAD, pour tester les personnes qui seront probablement contaminées, vu le temps d'incubation !!
De la folie !!!
J'espère que les familles des personnes et personnels des ehpad, malades ou décédées, déposeront plainte notamment contre l'Ars !!
La préservation de la santé devrait conduire la macronie a tester systématiquement tous les EHPAD avec ou sans cas déclaré !!!
A croire qu'ils veulent des morts !!
Scandaleux.
Génial et tester la population ne serait il pas mieux ? Ils vivent confiner depuis mars nous on vie dehors avec des possible cas quand on va au courses
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