L’arrivée d’une offre ferme de reprise n’a pas permis aux 250 salariés de voir l’avenir plus sereinement. "Une seule offre de reprise a été déposée auprès des administrateurs judiciaires par un tandem d’investisseurs dont le projet industriel ne permet pas de garantir un avenir pharmaceutique ni de pérenniser les emplois sur le site (reprise de 50 salariés sur 250)", assure la CGT.
Pour rappel, Famar Lyon est la seule usine en France à produire la Nivaquine à base de chloroquine ; un traitement donné à des patients atteints du Covid-19. "Les dernières commandes des clients (SANOFI, Merck, Astellas, Mylan, Abbott, P&G…) fixent un arrêt des productions le 3 juillet 2020", précise le syndicat qui tire la sonnette d’alarme. "L’urgence est d’obtenir de la part de ces donneurs d’ordre un maintien de l’ensemble des activités pour trouver une solution de reprise", demande la CGT qui estime une nouvelle fois que "la nationalisation de l’entreprise devient une décision incontournable pour répondre aux besoins sanitaires et satisfaire ainsi les intérêts de santé publique".
Ce souhait de nationalisation a déjà fait l’objet d’un courrier d’Annie Guillemot et Gilbert-Luc Devinaz, deux sénateurs du Rhône. Famar Lyon avait également reçu le soutien de Jean-Luc Mélenchon ou encore Laurent Wauquiez.
Oui, Excellent cette expérience de salariés responsable.
Signaler RépondreIl y a aussi les coop qui marche très bien.
Et dans tous les cas : il n'y a pas de syndicat !!
J'invite les syndicaliste de Famar à proposer une rachat de leur entreprise par les salariés et ensuite j'invite les salarié à virer les syndicalistes et à se mettre au travail !
Aux 250 employés : Ne comptez ni sur les « patrons » ni sur les politiques mais comptez sur vous. Rachetez la société en liquidation puisque j’ai compris qu’il y avait une vraie fabrication de produits agréés et donc un vrai savoir-faire. La cgt sera certainement heureuse de vous faire un prêt pour démarrer votre fonds de roulement. N’oubliez pas que c’est un prélèvement sur notre feuille de salaire ou notre retraite qui finance les syndicats. Ils ont de l’argent qui devrait servir à faire quelque chose de constructif. Avec le coronavirus c’est fini le temps de dire NON à tout il faut se mettre aux manettes et au travail.
Signaler RépondreDécidément la CGT met dans bâtons dans les roues partout où elle est présente le syndicalisme à la Française est un désastre
Signaler Répondrepourquoi un patron ?
Signaler Répondrevoici une entreprise industrielle qui a pris le temps de s'en débarrasser : http://www.favi.com/management/
C'est génial comme projet! FAMAR dégage!!!
Signaler RépondreUne station métro et un drive Auchan?
Signaler RépondreJe change d'avis je veux que Famar ferme !
#chacunpoursoi #persoçamarrange
Heureusement qu il y a la cgt ici pour défendre les salariés de famar n en déplaise à certains ici et puis si c était votre travail vous seriez les premiers à être caguer
Signaler RépondreEt oui dans cette entreprise on fabrique aussi alors avant de sortir autant de conneries on se renseigne avant
Désolé camarade syndiqué.
Signaler RépondreLe syndicat te veux pas toujours du bien, il est la pour défendre une idéologie parisienne et votre pomme il n'en a cure.
Combien de fois un syndicat a bloqué un accord alors que tout le personnel était d'accord !!
Le vrai combat c'est de s'associer de manière intelligente avec son patron et d'accepter de faire des heures supp pas payer lorsque les commandes afflux et accepter une baisse de salaire lorsque les commandes manques : COMME EN ALLEMANGNE, ou la logique du gagnant-gagnant prime sur le perdant-perdant
Au lieu de ça, le syndicat propose la grève lorsque l'entreprise est au fond du gouffre, comme cela a été le cas.
Et je pense que vous accueillerez le nouveau propriétaire avec un grève !
Vous ne pouvez que vous en prendre à vous même.
Je souhaite une reprise de cette entreprise à minima 50 personnes (et que les syndicats soient évincés pour que l'emploi des 48 personnes restantes soit assuré.
Sans cela, vous mangerez des petites pilules chinoises
avant de dire n’importe quoi tu ferrait mieux de te renseigner .
Signaler Répondreici on reçois des matières premières et on fabrique des comprimés du sirops et crèmes.
un employer de famar lyon .
bonjour
Signaler Répondreje travail chez famar moi mème depuis 25 ans
si l'entreprise ferme c'est uniquement que le grand lyon a l'intention de récupérer le terrain de 15 hectares pour faire une station de métro des commerces et un grand drive pour auchan qui est a coté. le maire de saint genis laval est au courant .
ce n'est que de la magouille financière et nous employer de famar on le savait depuis longtemps
on a gagner 16 millions d'euros depuis que les autres entreprise on été vendu a delpharme . mais malgré cela il sent foute de la santé des gens c'est de l'argent pour KKR
un fond de pension americain.
un futur retraité qui dit la vérité et qui n'a rien a caché.
Cdt
Le frelon asiatique (un patron prêt à délocaliser ?) attaque la ruche ouvrière défendue par la CGT...
Signaler RépondreQui d'autres fait quelque chose pour sauver cette entreprise, personne !!
Signaler RépondreLes politiques ne reprennent le sujet uniquement car s'est d'actualité.
Personne ne veut de cette société, elle est plombée par la CGT qui est aux commandes... Nationaliser? J'espère que non, encore un boulet pour la société!
Signaler RépondreMerci pour ce commentaire très informé !!! Par qui ?
Signaler RépondreMoi je peut vous assurer que les comprimés, les crèmes, sont bien fabriqué sur place.
Quand à la concurrence, bien sûr qu'il y en a, mais certains médicaments essentiel aux patients, fabriqué sur ce site ne sont pas enregistrés pour être fabriqué ailleurs
Comme pour Presstalis, la décision de la solution étatique sera prise au dernier moment, afin de soulager l'achat de dettes au maximum et entretenir l'espoir qu'un repreneur privé reprenne le truc.
Signaler RépondrePar contre si aujourd'hui les pharma estiment pas rentable de faire continuer l'usine, alors que les courants politiques veulent une relocalisation, il y'a des questions à se poser sur l'efficacité du "médicament miracle" et des coûts d'exploitation et d'investissements de cette usine, y'a peut être un piège à doigts que personne ne veut risquer à mettre la main dedans.
Comme toujours, lorsque la CGT dicte la conduite à tenir dans la gestion de l'entreprise : il faut que ... ils doivent ...obtenir de la part de ... on court à la perte et probablement à la fermeture définitive de l'entreprise.
Signaler RépondreLe frelon asiatique qui attaque une ruche d'abeille ouvrière pour le détruire et l'abandonnée : c'est une belle métaphore animalière pour décrire l'action de syndicat dans les entreprises.
Que fait cette société ?
Signaler Répondre- elle ne fabrique , élabore aucun médicament
- elle reçoit des cachets en vrac, provenant d'usines pharmaceutiques implantées sur la planète
- elle mets sous emballages ces médicaments
Sauf si je me trompe , elle ne peut être qualifiée de vitale, importante certainement, mais en concurrence avec d'autres usines Françaises proposant le même service
A vérifier
Vu l’entrain général pour sauver cette usine, ça ne doit pas être l’affaire du siècle. Je ne suis pas contre nationaliser une usine mais autant en prendre une à pointe et pas un canard boiteux. Ça suffit de prendre l’état pour une pompe à fric devant s’occuper de toutes les daubes. Tout le monde veut de l’argent de l’état mais personne ne veut payer pour les autres. Cordialement
Signaler RépondreEt pourquoi la cgt avec l ensemble des salariés ne propose pas une offre de reprise . A eux ensuite de créer avec les salariés un comité de gestion..
Signaler Répondreque font les élus????? sauver une entreprise locale me semble faire partie de leurs attributions et compétences.
Signaler Répondreils pourraient prendre exemple sur le monde hospitalier pour se bouger plutôt que discourir et encore discourir…..
Notre monde est en autodestruction
Signaler RépondreBonjour
Signaler RépondreJe suis surpris d'apprendre que l'état ne nationalisé pas cette entreprise qui est sur un secteur de sécurité nationale.
la CGT semble s'opposer à un plan de reprise qui n'en est pas un... si c'est pour licencier les salariés et récupérer les machines pour les envoyer en Croatie ou au Maroc, comme cela arrive souvent, le syndicat fait juste son job !
Signaler RépondreComme d'habitude ! Les patrons et directeurs qui font des grosses erreurs de gestion, ils partent avant le déluge car ils ont les infos en 1er, biensur avec des grosses primes de départs, PUIS les salariés payés au lance-pierre perdent leur travail et sans indemnités de départ car la société à déposer le bilan.
Signaler RépondreJ'ai bien résumé ? A chaque fois pareil
Et la CGT fiche encore le bousin .... et ce syndicat anti tout tout tout propose quoi, comment et avec qui ?
Signaler RépondreÉternellement contestataire et pas constructif
Cette société ne sera jamais reprise .....
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