Une nouvelle entrée
En arrivant par le Satobus ou par taxi, on pénètre dans le Terminal 1 par une nouvelle entrée, plus grande, plus aérée et qui donne sur un grand escalier. C’est le blanc qui domine dans ce nouvel espace, équipé d’écrans de contrôle, d’un point d’accueil mais surtout d’un coin "VIP ". Accessible avec le pass "Privilys", il met notamment à disposition deux douches. Plus d’espace, c’est aussi le cas dans le hall d’enregistrement, où il est désormais possible de circuler entre les files d’attente des différentes compagnies aériennes. Après avoir déposé ses bagages, on prend la direction de l’inspection et du filtrage des passagers. Là encore, l’attente est plus courte, le confort privilégié et les nouvelles couleurs commencent à apparaître. "Tout est fait pour aller plus vite", commente Philippe Bernard, le directeur général d’Aéroport de Lyon. "On a tout fait pour faciliter le passage terrien du voyage aérien", poursuit-il.
Plus de confort pour les passagers…
Du gris, du rouge et du blanc. Les teintes sont omniprésentes dans des salles d’embarquement. Des salles avec plus de sièges, plus de jeux pour les enfants et plus d’interactivité avec des bornes Internet. Les salles d’embarquement 12 et 15 sont désormais modulables et permettent de traiter des vols provenant de l’espace Schengen ou de plus loin, voire des vols considérés comme sensibles, au niveau sanitaire par exemple. "On a complètement repensé les 68 535m² du terminal 1" explique Yves Guyon, le président du directoire. "On a à notre disposition 1 000 m² supplémentaires, du matériel supplémentaire… On a un seul objectif : augmenter une nouvelle fois notre trafic voyageur et faire passer le chiffre du nombre de passagers de 8 à 9 millions dès l’année prochaine."
… et plus de sécurité pour les bagages
L’aéroport s’est également équipé d’un nouveau système de traitement de l’IFBS, c’est-à-dire de l’Inspection Filtrage des Bagages de Soute. Le terminal 1 centralise désormais les 20 banques d’enregistrements. Un système d’automatisation des procédés évite désormais une possible manutention par des assistants. Et les bagages sont directement basculés sur un autre tapis roulant au cas où le tapis principal tomberait en panne.
La rénovation du terminal 1 a couté 13,5 millions d’euros. Le prochain lifting devrait avoir lieu en 2013 ou 2014 pour le terminal 2, avec l’inauguration d’une nouvelle gare routière.
Gwenaël Windrestin
Parkings beaucoup trop cher
Signaler RépondreTous les noms ont été changés progressivement de LyonAirports à Aéroports de Lyon et le site lyonairports.com existe toujours car il correspond au site anglophone de l'aéroport Lyon Saint Exupéry. On a quand même le droit de fournir un site en version anglaise ou est-ce encore une fois une atteinte à la langue française?? La décision du préfet a donc été bien prise en compte!
Signaler RépondreLe 06 juillet 2009 1) Il y a quelques semaines, un contrôle du site des aéroports de Lyon montrait que celui-ci fourmillait encore d'anglicismes, en dépit de la position clairement exprimée du Préfet de région, lequel s'était s'était formellement opposé à la scandaleuse tentative de changer le nom des aéroports de Lyon en LYON AIRPORTS, notamment dans une lettre du 20 mars 2009 à cette société. À ce jour, le site www.lyonairports.com fonctionne toujours : les dirigeants des aéroports de Lyon sont au-dessus des lois et se moquent éperdument des ordres du représentant de l'État et de l'avis des citoyens qui avaient clairement exprimé leur indignation notamment en février-mars ! 2) On doit savoir aussi qu'aucune des marques anglophones des Aéroports de Lyon n'a été radiée : un contrôle effectué ce 06 juillet 2009 sur la base de données de l'INPI montre ainsi que la demande de marque "LYON AIRPORTS" est maintenant enregistrée ! En clair, le jour où l'État et les citoyens auront oublié la scandaleuse tentative de changer le nom des aéroports de Lyon en LYON AIRPORTS, les dirigeants des aéroports de Lyon pourront ressortir la panoplie presque complète de leurs outils d'anglophonisation et relancer leur projet d'éradication du français.
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