Pas de défilé cette année, épidémie de coronavirus oblige. Mais des revendications fortes face à la situation actuelle, et en prévision de jours sombres après le déconfinement.
"Le 1er mai 2020 sera plus que jamais la journée internationale des travailleurs, au premier rang desquels les personnels de santé mais aussi celles et ceux qui continuent à travailler, dans le public comme dans le privé, dans des conditions sanitaires déplorables, parfois au péril de leur vie, dans le commerce, dans l’agro-alimentaire, dans le social ou encore dans le nettoyage", écrivent les syndicats.
"Les droits et la santé des travailleurs ne peuvent être sacrifiés pour des raisons économiques. Et pourtant cette crise sanitaire révèle et accentue les multiples fractures de notre société (sanitaires, éducatives, culturelles, numériques, alimentaires…). Plus que jamais nous devons construire un monde d’après en rupture complète avec celui d'aujourd'hui. Il n’est pas question de travailler davantage ou de renoncer aux congés d’été pour refaçonner un monde capitaliste mortifère. Sacrifier les plus précaires n’est pas admissible dans une société d’égalité et de solidarité : Saisonniers, Vacataires, intérimaires, intermittent-es, services civiques, la précarité s’est multipliée ces dernières années, et la situation des chômeurs et étudiants a été dégradée, tout comme celle des sans-papiers aujourd’hui ignorés sur le plan sanitaire comme social. On le voit avec l’hôpital public aujourd’hui, les politiques d’austérité du néolibéralisme et leurs nivellements par le bas ont un coût final exorbitant. Des salaires décents, une vraie protection sociale, des retraites dignes, sont garants de la cohésion sociale ! La répression et l'autoritarisme n'ont jamais été la réponse aux crises sociales et économique. La crise sanitaire ne doit pas être prétexte, comme on le voit dans un certain nombre de pays, à des restrictions en termes de libertés individuelles", poursuit l’intersyndicale.
Une pétition sera mise en ligne le 1er mai "pour un monde meilleur", car "les applaudissements ne suffiront pas".
Y a qu'à essayer le socialisme....
Signaler Répondre10/05/20
Signaler Répondre960 personnes ont signé la pétition de la CGT et l'UNEF.
Allez, svp, encore 40 signatures!!!
https://1ermai2020unitaire69.wesign.it/fr
Je penche pour la 2eme hypothèse, mais qui est la moins reluisante.
Signaler RépondreEn tout cas, un échec total et humiliant pour ceux et celles qui ont lancé cette pétition: ignorés et méprisés par leurs propres militant.e.s
J'en ai vu dans 4 dans la presse reportés sous le mandat macron, et 1 pour chirac et ça en 40 ans de lecture de la presse, avant ça pour en trouver c'était dans les livres d'histoire.
Signaler RépondreVous êtes mauvaise langue, aujourd'hui 04/05 ils en sont à 954 signatures.
Signaler RépondreJ'ai regardé ils sont 7 syndicats à voir lancé cette pétition:
https://1ermai2020unitaire69.wesign.it/fr
2 explications possibles:
- Ces 7 syndicats ont à eux tous moins de 1000 adhérents dans le Rhône.
- Ou comme vous dites, les militants de ces syndicats ne prennent même pas la peine de signer les pétitions de leur propre syndicat car ils ne sentent pas concernés par ce combat.
946 signature en 3 jours!!...
Signaler RépondreQuel succès cette pétition de la CGT, solidaire et de l'unef!
Ca veut dire que même leurs propres adhérents ne la signent pas.
Et ça veut sauver les emplois et vaincre la précarité?
Hahahah bande de charlots!!!
Que pense Pierre Jourde, écrivain, professeur d’université et ancien responsable de l'UNEF, de l'UNEF d'aujourd'hui?
Signaler Répondrehttps://www.nouvelobs.com/les-chroniques-de-pierre-jourde/20190409.OBS11306/tribune-eschyle-censure-l-unef-est-devenu-un-syndicat-de-talibans.html
L'UNEF?? Qu'est ce que l'UNEF vient faire là dedans?
Signaler RépondreA cause du confinement ils peuvent plus bloquer des université et empêcher les vrais étudiants de bosser, du coup ils cherchent des occupations?
La CGT représente entre le quart et le tiers de salariés. Donc non, la représentativité de cette intersyndicale n'est pas nulle.
Signaler Répondre"Ce mardi, l’intersyndicale composée notamment de la CGT, Solidaires et l’UNEF"
Signaler RépondreDonc en gros une représentativité nulle ?
Les "étudiants" de ces syndicats se rendent compte qu'ils ne pourront jamais valider leur année avec leurs méthodes habituelles ? (Grèves bloquantes, violences...)
Et ils ne pourront pas trouver une place à la CGT...
Flûte alors ! Leur projet de vie part en cacahuètes...
Seul échappatoire possible : se faire embaucher dans une collectivité de gauche clientéliste. Soucis : elles disparaissent.
Rassurez-vous, CGT et consorts !. Les réalités économiques se chargeront de mettre les grévistes (et les autres, d'ailleurs !) en danger de survie. Quand toutes les entreprises qui génèrent du profit et du PIB seront par terre, même le fonctionnaires et les délégués syndicaux crèveront de faim !!!
Signaler Répondrequand on affirme des choses de la sorte on les source.
Signaler Répondremerci de mettre des liens vers des articles ou des enquêtes.
Sinon c'est du dénigrement gratuit.
ps : vous croyez vraiment que les centristes sont attachés à la démocratie ?
De toute façon au final c'est le contribuable qui paie...
Signaler RépondreC'est à dire Nous..
On paie une fois au grattage et une fois au tirage...
le cout pour la sécu et les assedic doivent donner des sueurs froides au gouvernement de droite français en ce moment
Signaler RépondreT'es idiot ? Va lire la réforme de l'assurance chômage.
Signaler RépondreUNE PUR HONTE
La réforme social la plus dur des 20 dernière années.
Le Covid19 j'espère leur permettra de voir que les entreprises ont besoin des intérimaires, et que le gouvernement enlève cette réforme inhumaine.
Et pour toi, perso, renseigne toi avant de poster
En attendant lui faisait quelque chose contre le chômage, et ça marchait, il descendait et sans coupes artificielles. Il convient de le souligner, on est le SEUL pays à ne pas avoir résorber le chômage de 2008.
Signaler RépondreUne grande part de la jeunesse qui est sortie sur le marché du travail sur cette période a été déclassée socialement d'après les études économiques, mais qu'est-ce que ça peut bien faire je suppose, c'est pas comme si c'était nous qui devions payer les retraites des dinosaures des syndicats.
Macron est le président le plus visé par des complots et des tentatives d'assassinats depuis De Gaulle, je le dis comme ça, car personne ne le relève.
Signaler RépondreQuelqu'un se souvient-il que le Mitt, Jaco, Sarko, Holla aient été visé par des tentatives ? Non y'en a presque pas eu.
Et pour le moment tout ceux qui ont été arrêtés sont sympathisants MLP et JLM.
Et les droits des chomeurs et de ceux qui ne le touche pas ? Comme d'hab j'amais un sujet, en même temps depuis le début de la crise pétrolière des années 70, je les ais jamais vu en parler.
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