Pour eux, "la réouverture des écoles en cours de pandémie pose de nombreuses questions. Les sentiments qui dominent parmi les enseignants sont l’inquiétude et la colère face à ces décisions". Les enseignants se disent d’abord "très surpris d’avoir appris par les médias le calendrier de réouverture des écoles, dans le courant de la semaine dernière avant même d’en avoir été informés par nos supérieurs hiérarchiques".
Mais c’est surtout sur la date de réouverture des écoles, dès le 14 mais à Lyon et Villeurbanne, qui interroge : "le ministre de l'Education Nationale, Monsieur Blanquer a justifié cette décision du gouvernement par un avis de l’Académie des sciences d’Allemagne, alors même qu'en France, l’Ordre des médecins, l'Institut Pasteur, l'INSERM, et même le conseil scientifique du 20 avril, ont fait part de leur désapprobation quant à cette décision, voire ont demandé un report de la reprise en septembre".
Les 76 professeurs des écoles craignent désormais que leurs bâtiments "ne se transforment en bouillon de culture, donnant lieu à une relance de l’épidémie, donc à une nouvelle fermeture des écoles". Ils rappellent que "certains pays constatent déjà une nouvelle hausse des cas de Covid-19 du fait d'un déconfinement qui semblait prématuré, comme en Allemagne, au Japon ou à Singapour". Une crainte, justifiée selon eux par la difficulté pour mettre en œuvre des règles sanitaires drastiques.
Toi aussi mon pote , tu as étais à l’école des pauvres.
Signaler RépondreL’ensaignement,n’est plus ce qu’il était et depuis maintenant 40 ans et plus . C’est comme toutes les institutions, l’éducation nationale est en faillite, tout est payant et ils cultivent le gobassent de gamme pour former les futurs RMISTES de demain . Voilà pourquoi, j’ai été obligé dans les années 90 démettre les enfants dans le privé, car dans déjà d’an sla classe de ma fille , 23 élèves sur 30 ne savaient NI lire NI écrire en fin De CP .
Signaler Répondrela lettre en question date de début mai, votre commentaire est en retard !
Signaler Répondre*mi-Juin, pardon
Signaler RépondreSurpris d'avoir appris le calendrier par les médias??
Signaler Répondre-- Certes c'est peut-être pas l'idéal, mais on chipote pas un peu là?
Inquiets de la pandémie?
-- On est quasi mi-Mai, bcp de travailleurs ont repris le boulot depuis belle lurette, d'autres ont jamais arrêté, même au plus fort de la pandémie… alors qu'aujourd'hui le virus circule bcp moins et que les enfants sont a priori (d'après certaines études) un public pas du tout à risque.
Je crois surtout que certains se trouvent le moindre prétexte pour pas retourner bosser...
Avec le confinement, les cours à distance suivis parfois difficilement par les élèves (sans parler des fameux "décrocheurs"), il n'y a donc aucun intérêt à reprendre?
Signaler Répondremdr ...
Signaler Répondreça fait un mois et demi qu'on bosse comme des dingues à l'hôpital !
heureusement qu'on n'a pas fait les pleureuses au début de la crise ...
c'était chaud, le bordel et pas de matos !
si tout le monde refusait de reprendre ou de s'adapter à la situation :
vos mères et vos grands mères seraient mortes devant l'hôpital !!!
Ils ont raisons les profs. A 2 mois des vacances d'été quel intérêts ???
Signaler RépondreInquiétude mdr, ma mère travaille en école, elle est en permanence en train de se balader et de pailler avec ses collègues qui font pareils. Moi je me fait plus d'illusions, c'est comme quand j'étais à l'école, la moindre occasion on demandait à rentrer chez nous, ces gens qui n'ont rien connu d'autre que l'école, ont gardés ce comportement et cherchent à ne pas retourner bosser...
Signaler RépondreCes individus sont prêts à tout pour le pas travailler.
Signaler RépondreQuelle honte !
Bande de feignants !
C'est du grand n'importe quoi, cette gestion de crise.
Signaler RépondreOn aurait pu éviter d'avoir autant de morts 35000 entre les hôpitaux les ehpads et les autres non comptabilisés.
Alors!? Encore personne pour traiter ces profs de fainéants!? J’attends!
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