La justice, saisie par l'inspection du travail, laisse un mois à l'entreprise "pour ordonner toutes mesures propres à faire cesser le risque sérieux d'atteinte à l'intégrité physique des travailleurs", sous peine d'une astreinte de 300 euros par jour de retard et par salarié.
Devront être mis en place un plan de prévention des risques, ainsi qu'une distributions de gel et de masques aux salariés de la sous-traitance de Carrefour.