Le député LR du Rhône, ancien maire de Villefranche-sur-Saône, a publié un communiqué de presse dans lequel il salue les premières mesures des ministères de l’Economie et de l’Agriculture en direction des viticulteurs. Mais il les juge "insuffisantes" et réclame un véritable "plan de relance d’au moins 500 millions d’euros". "Il faut aller plus loin et une nouvelle étape est indispensable pour mieux aider la viticulture", selon Bernard Perrut.
Dans les vignes, le coronavirus a eu diverses conséquences. Outre les ventes de vin qui ont chuté durant le confinement, avec des exportations muselées, la période des vendanges pose question. Les viticulteurs ne savent pas encore s’ils pourront compter sur la main-d’oeuvre étrangère moins onéreuse à la fin de l’été. "Les saisonniers européens devraient pouvoir entrer sur le territoire sans autorisation spéciale dans les prochains jours mais c’est encore à confirmer, la circulaire n’est pas signée", révèle Bernard Perrut, à l’initiative de la fronde parlementaire à ce sujet.
Quand on parle du Beaujolais moi je ne bois absolument pas mais je m intéressé bcp à ce métier de viticulteur. J ai vu ma belle mère travailler ses vignes a'lors qu elle était très âgée. Elle et son mari avaient planté chaque parcelles avec tout le travail que représentait ce métier. Leur vin n était pas vendu au prix de leur travail. Ici le Beaujolais n à pas la va'eur de ces vins de Bourgogne et pourtant le travail est le meme.mais ce qui me désolé c est que notre patrimoine n est pas valorise. Vous prenez n importe quel magasine quand on vous parle de vin on cherche 'le beaujolais. Chaque fois que je me déplace dans toute la France je regarde toujours qu elle place représente le Beaujolais dans les rayons de vente ? Pas grand choix. Il y a ds le Beaujolais sud ce pays des pierres dorées unique au monde. Le vin de ce terroir aurait pu être connu et reconnu comme jamais ! Moi qui suis italienne je fais la différence de ce patrimoine qui rappelle la Toscane ! Monsieur perrut parlez de ce Beaujolais sud nord !
Signaler RépondreQuand on parle du Beaujolais moi je ne bois absolument pas mais je m intéressé bcp à ce métier de viticulteur. J ai vu ma belle mère travailler ses vignes a'lors qu elle était très âgée. Elle et son mari avaient planté chaque parcelles avec tout le travail que représentait ce métier. Leur vin n était pas vendu au prix de leur travail. Ici le Beaujolais n à pas la va'eur de ces vins de Bourgogne et pourtant le travail est le meme.mais ce qui me désolé c est que notre patrimoine n est pas valorise. Vous prenez n importe quel magasine quand on vous parle de vin on cherche 'le beaujolais. Chaque fois que je me déplace dans toute la France je regarde toujours qu elle place représente le Beaujolais dans les rayons de vente ? Pas grand choix. Il y a ds le Beaujolais sud ce pays des pierres dorées unique au monde. Le vin de ce terroir aurait pu être connu et reconnu comme jamais ! Moi qui suis italienne je fais la différence de ce patrimoine qui rappelle la Toscane ! Monsieur perrut parlez de ce Beaujolais sud nord !
Signaler Répondre"Les saisonniers européens devraient pouvoir entrer sur le territoire sans autorisation spéciale dans les prochains jours mais c’est encore à confirmer, la circulaire n’est pas signée"
Signaler RépondreEt pourquoi les agriculteurs n'appliqueraient pas le droit du travail et le salaire minimum ? Juste histoire qu'on puissent y postuler.
Non parce que aller travailler à plus de 50 km, c'est un peu compliqué, il faudrait venir en étant logé, les agriculteurs ne fournissent rien, au mieux un terrain pour camper, certains fournissent le logement mais le font payer, du coup ça rend caduque l'intérêt de venir travailler parce que le temps plein au smic se transforme en rsa ...
C'est bon au bout d'un moment faut dire stop, depuis le 19e siècle on fait venir des gens, pour bosser à notre place dans ce secteur, l'excuse de la mondialisation et des excès d'importation des amériques et d'angleterre est devenue caduque depuis longtemps, maintenant on consomme sur place pour l'essentiel, les importations de pdts alimentaires sont marginales, donc la concurrence internationale elle à bon dos.
Le pire c'est qu'ils abusent du système depuis plus d'1 siècle, mais la plupart ne gagnent même pas le rsa ... Pas des dégourdis dans les coopératives, au lieux de faire des rebellions armées y'a 50 ans, ils auraient mieux fait d'organiser leur secteur pour qu'il puisse marcher de manière normale....
Il peut aller partager ses lamentations avec toutes ces pauvres dames battues comme du plâtre par leurs conjoints alcoolos et mal choisis...
Signaler RépondreMais puisqu'on vous dit que l'alcool n'est pas une drogue !!!!
Signaler RépondreBernard Perrut connait très bien le sujet, on ferait mieux de l'écouter, c'est un homme droit honnête et sincère..enfin un, son plan est crédible
Signaler RépondreA voir les belles demeures du Beaujolais vu du ciel les viticulteurs ne sont pas à plaindre Ils ne font pas parti des gens qui doivent recevoir des aides en priorité. Quand il y a de belles années ils ne partagent pas les supers bénéfices.
Signaler RépondreCe qu'il faut pour les viticulteurs ce sont dés vélos !
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