Et notamment les producteurs et les forains qui vendaient sur les marchés.
A Villeurbanne, la décision avait été prise de favoriser les premiers et d’évincer les seconds sur les six marchés ouverts durant le confinement.
Ce qui a entraîné un recours des forains via le Simal et la fédération Saveurs et commerces. En attaquant la Ville de Villeurbanne devant le tribunal administratif, ils espéraient faire suspendre ce privilège accordé aux seuls producteurs locaux.
Sauf que les forains sont allés trop vite en besogne et n’ont pas détaillé suffisamment leur recours. Le juge des référés a fait remarquer qu’aucun préjudice économique chiffré n’était donné. D’où le rejet de leur demande trop hâtive.
Les forains, qui ont repris normalement leur travail à Villeurbanne cette semaine, comptent encore faire condamner la municipalité pour illégalité en maintenant leur action sur le fond.
Ce sont les Forains alimentaires habituels qui n'ont pas pu venir. ce n'est pas le cas dans toutes les communes de la Métropole
Signaler RépondreEn France ,il vaut mieux vendre de la drogue que des fruits et légumes qui eux ont été fermés et même réprimandés pour certains, une honte .
Signaler RépondreCe n'est pas exactement la même chose. Là, c'est plutôt comme si tu avais une boutique de vêtements. Et pendant le confinement, la mairie autorise des personnes extérieures à l'exploiter pendant que toi tu restes chez toi.
Signaler RépondreEt tous les commerces qui ont du fermer pendant le confinement ils devraient porter plainte aussi ? Les producteurs locaux vendent de la nourriture, donc indispensables. Les forains vendent des machins loin d'être indispensables donc aucune raison de polémiquer.
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