Avec Angell, il fait son entrée dans le monde de la petite reine et a annoncé avoir confié la production de ses vélos électriques haut de gamme à SEB. L’entreprise de petit électroménager basé à Ecully va confier l’assemblage des vélos à son usine bourguignonne. Ce qui permettra dans un premier temps la création de 65 emplois directs.
Marc Simoncini compte surfer sur la vague post-confinement pour vendre 10 000 unités de ses vélos dès la première année, contre 1500 prévus initialement.
Ce vélo électrique ne sera pas pour toutes les bourses, car il faudra débourser près de 2700 euros pour l’acquérir.
SEB, outre la production, a négocié une entrée au capital d’Angell "en millions d’euros" selon Thierry de La Tour d’Artaise, richissime PDG du groupe écullois. "C'est un projet qui est porteur d'avenir et de sens", a-t-il précisé à l'AFP.
Achetez des vélos recyclés pour une bonne cause
Signaler Répondrehttps://www.maisonduvelolyon.org/zoom-partenaires-fndsa/
Il ne faut plus acheter des vêtements chinois Sortez vos teeshirt du temps de votre mère Ils sont sûrement très présentables si vous ne les avez pas donné à EMAUS
Signaler RépondrePas touche au créateur de Meetic apparemment pour lyon mag.
Signaler RépondrePour les vélos à 490€ c'est de la production chinoise vendu en hyper.
Signaler RépondreLa cible n'est pas les particuliers en direct, mais les flottes et propriétaires institutionnels, proposant un produit iconique
Il paraît illusoire de vouloir jouer le dumping asiatique.
Vous croyez qu'il y a encore de la fabrication européenne pour du t-shirt à 2€ ?
Bravo pour une production française de cycles électriques, mais le marché haut de gamme a-t-il bien été identifié, 2700€, cela élimine une bonne partie de ceux qui en ont réellement besoin
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