L'affaire a été révélée ce vendredi par le Progrès. C'est l'avocate d'une des deux victimes présumées qui a saisi la direction interrégionale de l'administration pénitentiaire.
"Il m’a été demandé nu, de faire des flexions et d’écarter la jambe et les fesses derrière cinq surveillants. […] L’un d’eux était plus virulent que les autres", peut-on lire dans le quotidien régional.
Un deuxième témoignage viendrait confirmer ces accusations et le nom d'un surveillant serait cité plusieurs fois.
L'enquête interne ouverte par la direction de la maison d'arrêt de Villefranche doit désormais établir s'il s'agit ou non d'un faux témoignage. Si les faits sont avérés, le ou les surveillants incriminés seront exposés à des sanctions administratives, précise Le Progrès.
Arrêtez vous allez nous faire pleurer.
Signaler Répondrevous ne savez pour quoi ces détenus ont été écroués. De plus est il nécessaire de les humilier ? Passez quelques mois ou année dans 9m2 à 4 (et pas votre famille) et on en reparlera.
Signaler RépondrePauvre racailles, ils ne peuvent même plus rien rentrer par leurs fondements !!!
Signaler Répondreet la dignité de victimes on en parle quand..
Signaler RépondreOn va pas pleurer sur le sort des racailles.
Signaler RépondreOn s en fout.......
Signaler RépondreNormal, et c est pas assez. Ras le bol du laxisme !!!!!!
Signaler RépondreBien que je n aime pas ces gens là encore que il faut savoir si C est un petit délit ou pas la personnalité doit être respecter et en tant qu être humain je suis totalement contre ce genre de procédé....
Signaler RépondreCertes ce ne sont pas des tendres mais bordel il s agit de la dignité avant tout.....
Il fait la même chose avec ses compagnons de cellule. Ça va c'est pas l'enfer !
Signaler RépondreLe plus virulent aime les assouplissements çà doit lui faire de l'effet , chose qu'il n'a plus avec sa bonne femme obligé de faire son calin dans le noir.....petit pervers comme quoi toutes les professions sont touchées.
Signaler RépondreSchappia un No vert pour exposition de nudité non consentie , l'hébergement ils l'ont
Ça va il n'y a pas mort d'homme
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