La plus haute juridiction française étudiait les recours de l’OL mais aussi d’Amiens et de Toulouse concernant l’arrêt de la Ligue 1 décidé dans le cadre de l’épidémie de coronavirus.
Jean-Michel Aulas avait pour l’occasion fait le déplacement afin de défendre l’avenir de son club, septième à l’issue du classement final de la LFP, une place non-qualificative pour les compétitions européennes. "Nous sommes dans une situation invraisemblable, par rapport à la décision d’arrêter alors que nous pouvons redémarrer. Je suis consterné", a déclaré le président de l’OL au cours de l’audience qui a duré près de trois heures, et durant laquelle Jean-Michel Aulas a tenu tête à Didier Quillot, directeur général exécutif de la LFP.
"Le classement déterminé par un quotient, on n’a jamais vu ça ! Jamais ! On balaye toute l’histoire, tous les investissements réalisés par Lyon, Amiens et Toulouse", a également affirmé Jean-Michel Aulas qui devra encore patienter quelques jours pour connaître la décision du Conseil d’État. Le juge des référés a indiqué que l’ordonnance était attendue lundi ou mardi.
.... j'adore les commentaires "libérés" envers le champion de la succion cette année ...
Signaler Répondre... à défaut d'autres championnats .... :))
Pas convaincant en tout cas devant le Conseil d'Etat
Signaler RépondreUn justiciable est CUIT quand son avocat n'est pas crû !
et le voilà que, le conseil d'Etat n'étant pas un canardeau de l'année et n'ayant pas des peaux de soce sur les yeux, le père aulas ne compte plus trop sur le lobbying qu'il avait mobilisé devant cette instance,
Signaler Répondreet le voilà donc, qui veut agir devant le conseil de la concurrence !
Eh bien il va devoir justifier d'avoir bénéficié, au détriment des contribuables, et en déphasage de concurrence avec tous les autres clubs de foot de France, de près ou de loin, d'un DEMI-MILLIARD d'euros de finances publiques pour se construire son caprice de stade privé
sans compter les crédules qui ont apporté 24 euros par action, en espèces sonnantes et trébuchantes dans sa caisse, action qui ne vaut aujourd'hui plus que 10 fois moins, sans compter encore la dilution compte tenu de l'obligation d'avoir ouvert le capital aux chinois, ce qui fait que chaque action reçoit un divididende divisé en 5 fois plus d'actions émises autour du camembert
Maintenir Amiens, je suis d'accord. Ils avaient encore les moyens de se redynamiser et de partir en mission commando pour le maintien. En revanche, maintenir Toulouse serait un scandale absolu : ils étaient affligeant de nullité et leur saison était de toute façon terminée, ils n'avaient rien à faire en ligue1. Si l'idée est de faire une ligue1 à 22 autant sauver Amiens et faire monter l'équipe qui était troisième de ligue2 au moment de la clôture du championnat (le club sarde de l'AC Ajaccio), en revanche les affligeants Toulousains n'ont le droit à aucune grâce divine, qu'ils assument leur nullité abyssale.
Signaler RépondreMerci bien pour le lien, et cet Aulas pense qu'il va survivre à cette crise ?
Signaler RépondrePathétique personnage, d'aller ainsi en pleureuse.
J'espère que la prochaine saison de L1 se fera à 22 pour rassurer Amiens et Toulouse et que l'arrêt définitif pour cette saison avec classement au quotient à la 28ème journée sera maintenu, pour mettre Aulas à la rue.
En attendant, il doit en avaler des cachetons le pérolas.
Aulas qui soi disant défendrait l'INTERET GENERAL
Signaler RépondreIl faudrait être sourd que d'entendre de telles inepties
Il a déjà profité de toutes les faveurs locales (terrain presque gratos - voies d'accès dédiés (pour 180 millions d'euros pour voir passser 80 bus aller et retour depuis Eurexpo, fermés physiquement à la circulation parce qu'inutiles, 330 jours par an) subventions annuelles de 600.000 euros de billetterie, prêt de la caisse des dépots (l'épargne des français) etc.. etc...
https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Justice-les-temps-forts-du-recours-de-l-ol-amiens-et-toulouse-devant-le-conseil-d-etat/1140259
Les c.... Ça osent tout, c'est même comme ça qu'on les reconnaît. (Michel Audiard)
Signaler RépondreBravo JMA mais malheureusement tu luttes seul . Et la LFP est nulle pour le business
Signaler Répondreaprès examen des faits..il n'a pas tord même si l'on ne l'apprécie pas..mais je ne peux en dire plus
Signaler RépondreVas-y Jean Mimi, c'es pas un parisien président de Marseille copain-copain avec Macron qu va faire la loi.
Signaler RépondreOn a jamais vu le covid non plus !
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