Le premier point était celui sur les particules fines. Elles existent sous deux formes : PM2,5 et PM 10. Le premier type pénètre plus rapidement dans les alvéoles pulmonaires que le second. En 2019, 170 personnes étaient exposées au PM2,5 dans le Rhône pour 1000 habitants. C’est environ deux millions de personnes de moins d’exposées à ces particules sur un an.
Du côté du dioxyde d’azote, particules fortement présentes en bordure de chaussée à cause du trafic routier, ce sont 2,6 personnes pour 1000 habitants qui ont été exposées en Auvergne-Rhône-Alpes, soit 21 000 personnes dans la région, et 15 500 dans le département. La moyenne est plus élevée dans le 69 à cause de la densité du trafic. Au total, 8 individus sur 1000 étaient exposés dans le Rhône.
Mais la grande inquiétude se fait autour de l’ozone. Fortement présent lors des fortes chaleurs et des épisodes caniculaires, il est de plus en plus présent dans la région. "Il faut être extrêmement vigilant sur ce polluant dans les prochaines années", affirme Marie-Blanche Personnaz, directrice générale de la fédération régionale d’Atmo. En effet, l’année dernière, 4,338 millions d’habitants ont été exposés à ce composant chimique dans la région, dont 584 200 dans le Rhône.
Pour faire face à ces particules polluantes, différents programmes, à court ou moyen terme, sont mis en place. Le plus populaire est celui des "zones à faibles émissions". Une étude a aussi été lancée avec le Sytral pour étudier la pollution dans les transports en commun et ainsi inciter les riverains à les prendre.
La fédération en a aussi profité pour revenir sur une des mesures phare de l’année 2019 : la diminution de la vitesse à 70 km/h sur le périphérique : "On observe un peu moins de 7% de gain sur les émissions sur le périphérique depuis qu’il est limité à 70 km/h", constate Claire Labartette, correspondante territoriale.
Du côté des projections, Atmo a bien sûr relevé les bienfaits du confinement sur la pollution de l’air dans la région. Pour autant, "il n’y a pas besoin de décisions si radicales pour atteindre les seuils conseillés par l’OMS", précise la directrice générale. En chiffres, pendant le confinement, c’est une baisse de 63% en émission d’oxyde d’azote dans la région et de 47% sur la Métropole. Seuls les indicateurs en particules fines sont en hausse, notamment en PM10, dû aux nombreuses activités résidentielles pendant cette période inédite.
Merci de rappeler que le programme écologiste n'est rien d'autre qu'un confinement avec ces conséquences économiques et sociales qui, appliquées à la lettre, nous conduiront au chaos bien avant la fin de la planète !...
Signaler Répondretre bien
Signaler RépondrePas besoin d'être écolos pour sentir la pollution , voir la poussière sur les meubles , l'odeur de chimie avec le vent du Sud sur Lyon . Pendant le confinement on a vu la différence...
Signaler RépondreÀ tous les écolos, arrêtez de faire des gamins si vous voulez vraiment être dans votre dogme.
Signaler Répondretout à fait pote, vert, vert et vert sera la couleur à l'aube du 29 juin
Signaler RépondreVive le confinement écologique !
Signaler RépondreTu as raison mon poto....! Allez oust ces écolos friqués dehors !!!!
Signaler RépondreStop à la dictature des écolos !
Signaler RépondreMarre de ces écolo !
Signaler RépondreMarre de la pollution ! Marre de ces politiciens complices des lobbys pollueurs ! VOTEZ ÉCOLOGIE
Signaler RépondreC’est mort...
Signaler Répondre