Mais Railcoop compte bien remédier à cette suppression. Avec l’ouverture à la concurrence totale du transport ferroviaire en décembre, et avec l’interdiction programmée des vols intérieurs bénéficiant d’une alternative ferroviaire, "la réouverture de la liaison ferroviaire transversale Bordeaux - Lyon qui traverse le Limousin et l’Auvergne constitue un premier pas vers le développement de nouvelles offres ferroviaires adaptées aux territoires", indique la société Railcoop dans un communiqué.
La société Railcoop espère transporter 69 000 voyageurs par an sur cette ligne, à partir de 2022. Avec un temps de parcours de 6h46, cette ligne desservira Bordeaux, Libourne, Périgueux, Limoges, Saint-Sulpice-Laurière, Guéret, Montluçon, Gannat, Saint-Germain-des-Fossés, Roanne et Lyon. "Cela constitue un premier test pour Railcoop. S’il s’avérait concluant, Railcoop ouvrira d’autres liaisons en train classique avec comme objectif de mieux connecter les territoires aux services ferroviaires", précise Quentin Neurohr, sociétaire de Railcoop et dirigeant de COPOMO, un cabinet de conseil en mobilités.
C'est bien et utile, cela dit on sait faire depuis 50 ans des trains classiques (et confortables) roulant à 200km/h, c'est ça qu'il faudrait pour faire un Lyon-Bordeaux rapide (parce que 6H46 c'est bien trop long...)
Signaler RépondrePollueur !
Signaler RépondreIl doit y avoir une erreur dans l'article, parce que 6h46 pour aller à Bordeaux, c'est une heure de plus qu'en voiture.
Signaler Répondrel'ouverture à la concurrence ne peut être qu'une BONNE chose afin de libérer tous ces territoires abandonnés volontairement par SNCF réseau meme s'ils sont sous perfusion - et subvention - des régions. Il faut arrrêter avec le tout tgv et rouvrir des transversales !
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