C’est devenu un rendez-vous hebdomadaire : le points presse de David Kimelfeld. Ce jeudi, le candidat sortant à la Métropole de Lyon a proposé six "mesures clés pour accompagner les plus fragiles", pour répondre à la crise économique liée à la crise sanitaire du coronavirus. Elles viennent compléter les 55 mesures qu’avait précédemment présenté dans son programme le proche de Georges Képénékian. "Ces mesures sont là pour favoriser l’emploi des jeunes, redonner du pouvoir d’achat, aider nos ainés, mais aussi répondre à l’urgence sociale et l’accompagnement des enfants en situation de handicap", a annoncé David Kimelfeld.
Aider les jeunes qui se lancent sur le marché de l’emploi
Dans un premier temps, il souhaite lancer un plan "tremplin pour le premier emploi". Concrètement, pendant quatre mois, les jeunes percevront une prime de 400 euros par mois. Ils auront également un accès direct à un éventail de formations professionnalisantes, "qui leur permettront d’améliorer leur employabilité". Cette mesure pourrait concerner entre 8 000 et 10 000 jeunes et devrait coûter 20 millions d’euros à la Métropole.
Ensuite, David Kimelfeld souhaite installer un revenu minimum de base pour les jeunes de 18 à 25 ans, sans ressource ni soutien familial. Il sera équivalent au RSA. Pour ça, il faudra avoir entre 18 et 25 ans, être sans ressource et ne pas pouvoir compter sur la solidarité de leur famille, résider sur le territoire depuis au moins un an et être engagé ou s’engager dans un parcours d’insertion.
Troisième point, le pouvoir d’achat. "Il est indispensable de redonner du pouvoir d’achat à nos concitoyens", assure le candidat. Pour ça, il propose la gratuité des transports en commun pour les enfants de moins de 11 ans ainsi que pour les personnes les plus précaires ; la baisse de l’abonnement pour les 12 à 25 ans à 20 euros, en incluant également l’abonnement Vélo’v ; la création d’un pass culture et sport pour tous les collégiens avec trois places de spectacle, une place de cinéma et un crédit de 50 euros pour participer à l’inscription dans un club sportif de la métropole ou à l’UNSS ; et la création d’une prime d’aide à l’installation de 300 euros pour aider les étudiants et apprentis de moins de 25 ans à s’équiper.
Il fait également aussi des propositions pour les plus âgés. Pour ça, il propose la création d’un "service public métropolitain du Bien Vieillir". Ce nouveau service pourrait proposer un service de garde de nuit métropolitain pour éviter "les entrées en EHPAD contraintes et l’épuisement des familles". David Kimelfeld souhaite aussi équiper aux mieux les logements des personnes âgées, ou encore proposer une subvention d’équipement couvrant un tier des frais d’adaptation des logements.
"Ne pas remettre à la rue ceux qu’on a mis à l’abri pendant le confinement"
Ces propositions concernèrent aussi les plus démunis socialement. "Ce n’est possible de remettre à la rue les personnes que nous avions mis à l’abri. Il faut qu’il y ait un minimum de personnes à la rue. C’est pour ça qu’il faut créer ces "urgences sociales métropolitaines"", affirme le candidat en pleine campagne. "Il faut permettra aux personnes à la rue de trouver un refuge, en attendant de trouver un logement sur le moyen ou long terme. C’est de la protection, du bon investissement, y compris économiquement", complète-t-il. Pour ça, la Métropole devra prévoir un investissement de 20 millions d’euros.
Dernier point, sur les jeunes handicapés. David Kimelfeld garantie une AVS à tous les handicapés de l’académie. "Chacun de ces professionnels sera formé à la spécificité du handicap de l’enfant qu’il accompagne", ajoute-t-il.
Et très bien lancé sur sa campagne, il en a profité pour glisser un petit message à ses adversaires politiques : "La Métropole est en bonne santé financière. Nous pouvons investir, ou encore emprunter. Ces élections se feront sur des propositions, qui répondront à la crise que nous traversons, pas sur des alliances. J’ai été étonné de ne pas avoir entendu certains candidats pendant la crise, ni les voir adapter leur programme", conclut-il.
euh, aussi le colon en ce moment !
Signaler RépondreKim qui se gauchise à cause de l'alliance Collomb-LR ??? lol
Signaler Répondreà mes parents je leur ai donné 80 000 euros.
Signaler RépondreToujours rien pour la classe moyenne à part des impôts.
Signaler RépondreDonc vous refusez volontairement les aides existantes puisque vous les connaissez. Mais vous couiner de ne pas recevoir de courrier a propos des aides ? On ne comprend pas bien où vous voulez en venir.
Signaler RépondreVous voudriez que l'état vous donne de l'argent sans faire la moindre démarche ? sans aucune justification ? Avez vous envisagez une formation après 4 ans d'inactivité ? un déménagement dans un bassin d'emploi ?
C'est a l'état de vous fournir un travail ? a vos parents ?
Triste ce pays d'assistés.
Il a essayé au détriment de ses colistiers de faire alliance avec les écologiste extrémistes
Signaler RépondreCes derniers ont refusé car il demandait la présidence de la metro
Un looser quoi
Bla bla bla bla bla.... Vous pensez qu ils vont vous dirent j ai des ressources et je suis aider par la famille ?
Signaler RépondrePuree c est terrible les élections...
Allez dire ça aux personnel des ehpad.....
Bla bla bla bla bla.... Vous pensez qu ils vont vous dirent j ai des ressources et je suis aider par la famille ?
Signaler RépondrePuree c est terrible les élections...
Allez dire ça aux personnel des ehpad.....
Perso ça fait 4 ans que je met 0 dans ma décla de revenus, et personne m'appelle ou m'envoi de courrier pour propo des aides, le fisc ne me demande rien n'on plus et savent que suis pauvre, car ils filaient mon adresse à edf pour qu'ils m'envoient un formulaire de subv à l'élec, sauf que vivant chez mes parents ça sert à rien ...
Signaler RépondreC'est beau comme solidarité dans ce pays, perso je vais pas voir les caf et autres trucs du genre, la stigmatisations je supporte pas, je lis assez de comms dans les rubriques journaux et à la radio des politiciens d'extrême gauche à l'extrême droite pour ne pas avoir envie de me sentir plus visé, déjà quand je touchais le chômage, ça me parlait comme à un gosse ou un chien suivant l'interlocuteur, comme si je volais l'alloc, au bout de 2 mois je me suis radié.
aussi l'accueil des urgences hôpitaux pour éviter les heures d'attente, l'accueil tél aussi du SAMU, l'exhorbitant prix des loyers..beaucoup à réaliser au lieu d'un parler creux
Signaler RépondreQu'appelle t'on les plus fragiles ? Les roms ,par exemple ?
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