Franck Supplisson, repreneur d'entreprises en difficulté, a indiqué ce dimanche dans un communiqué vouloir "recréer un acteur de référence de l'industrie pharmaceutique en France" .
Associé à Cofilux-Secufund et Neovacs, Supplisson ne propose de reprendre que 150 salariés, sur les 250 que compte l'usine Famar basée à St-Genis-Laval. Mais les effectifs pourraient remonter à plus de 400 personnes, assure l'homme d'affaires, qui évoque un accord de la bpiFrance pour une enveloppe de 6,5 millions d'euros.
Depuis le placement en redressement judiciaire de l'entreprise en juin 2019, plusieurs élus se sont mobilisés pour la reprise du site, notamment Annie Guillemot, Gilbert-Luc Devinaz, mais aussi Jean-Luc Mélenchon et Laurent Wauquiez, en particulier depuis le début de la crise sanitaire.
Le plan de reprise doit être examiné mardi par le tribunal de commerce de Paris.
Ce n’est pas bien cette solution qui pose un souci. C’est l’offre concurrente d’un libanais qui cherche a ventilé de l’argent, ni vu ni connu en france, alors que son pays lui interdit toute sortie d’argent ....
Signaler Répondre..de ce genre en france!! elle est belle l'industrie francaise..quels gouvernements nous avons subis depuis des lustres ! des vendus au pouvoir de l'argent !!
Signaler RépondrePour la chloroquine, pensons d'abord aux moustiques qui vont bientôt nous apporter le paludisme en Europe avec le réchauffement climatique...
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