Les documents rendus font l’objet d’une quarantaine de trois jours avant leur remise en rayon, au lieu des dix jours précédemment prévus.
Le nombre de prêts autorisés augmente, passant de dix à vingt documents.
De plus, les services de la Bibliothèque relancent le système des réservations. Des mesures de précaution sont mises en place. Le retrait des documents s’effectue quatre jours après la réception de l’avis, le temps de leur mise en quarantaine.
Enfin, les usagers peuvent de nouveau rester dans les locaux pour lire, travailler ou encore utiliser un ordinateur.
Les gestes barrières et autres mesures d’hygiène restent bien évidemment d’actualité. Le port du masque demeure obligatoire, tout comme, à l’entrée, le lavage des mains à l’aide d’un gel hydro-alcoolique.
Oubliez le respect du port du masque : à part la peur du gendarme (et les bibliothécaires n’en sont pas), apparemment rien n’en fait comprendre la nécessité collective à un socle irréductible de décérébrés. Dans les bibliothèques comme dans les TCL, la mode est au masque sous le nez.
Signaler RépondreDans métro, c’est pire : aux heures de pointe, un quart des passagers n’en porte carrément pas...
Ne vous faites pas d’illusion : c’est pas parce que vous en portez que vous êtes protégés, sauf s’il s’agit de ffp2. Avec un masque maison ou chirurgical, vous protégez les autres... Dont une partie a décidé, pour son confort personnel, de ne pas vous rendre la pareille.