Cette décision résulte d’une réunion entre les différents acteurs qui s’était tenue vendredi dernier en préfecture du Rhône.
Ainsi 33 salariés, parmi les 110, devraient reprendre le chemin de l’entrepôt.
Ce mercredi le Tribunal de commerce de Paris a accepté l’offre de reprise formulée par des quotidiens avec le soutien de quelques groupes de magazines. Cette décision acte la création de France Messagerie, qui a obtenu un agrément provisoire de la part de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des Postes (ARCEP). La nouvelle société devra regagner la confiance des éditeurs. Beaucoup d’entre eux sont passés à la concurrence, chez les Messageries lyonnaises de presse (MLP) qui assurent depuis gérer la majorité de la presse française.
Le seul bémol c est que les diffuseurs de presse se retrouvent avec deux mois de retour qui ne sont pas crédités et les fermetures vont s accélérer. Tous ça , pour une société qui est mal gérée. Petit rappel: même en temps de guerre la presse à toujours été distribuée.
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