Les policiers ont trouvé dans leur chambre d’hôtel des bijoux, des jeux vidéo et une somme de 2500 euros en espèces. Les jeunes femmes, relâchées, sont convoquées devant la justice pour vols en réunion et recel.
Arrivées vendredi 3 juillet dans la région, elles conviennent d’un rendez-vous avec un homme de Riom dans le Puy-de-Dôme, puis avec un homme originaire de Saint-Etienne. Dans les deux cas, le même mode opératoire. Les Marseillaises se font offrir des bijoux, amènent la victime à retirer de l’argent tout en la poussant à boire de l’alcool, jusqu’à l’ivresse. L’homme est ensuite ramené à l’hôtel et dépouillé de ses effets personnels.
A Saint-Etienne, les trois femmes repartent avec le véhicule de leur victime. Elles préviennent tout de même les services de secours de l’état d’ébriété de ce dernier.
Leur aventure se termine ce dimanche. Les Marseillaises logent dans un hôtel de Saint-Priest dans l’attente d’un rendez-vous avec une nouvelle victime, rendez-vous qui tombe finalement à l’eau. Dans l’après-midi, l’une d’entre elles décide alors de contacter la police en se faisant passer pour une victime de séquestration, et communique la plaque d’immatriculation du véhicule volé la veille.
Marine Le Pen president
Signaler RépondreA part des désespérés qui tombent dans ce panneau médiocre?
Signaler RépondreComme tout article de presse, il faut mentionner le maximum d’informations possibles (même si elles sont minimes) sans nuire à une enquête. D’autres victimes pourront ainsi se manifester s’ils pensent que ce sont leurs agresseurs. Accent, échanges avec elles etc....
Signaler RépondreLes marseillaises aiment trop le pognon. C'est assez connu pour pas être choquant d'entendre cela
Signaler RépondreRive sud de Marseille
Signaler RépondreQu'apporte la précision "d'origine marseillaise" dans ce fait divers ?
Signaler RépondreDes marseillaises, vraiment ?
Signaler RépondreQuartier nords ???
Signaler RépondreMoins dangereux et moins cher à gerland dans les camionnettes
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