Le musée a décidé d’alerter les élus, la police et Grand Lyon Habitat propriétaire de la cité qui compte près de 1500 logements.
"Une situation sans précédent. De nombreux appartements de la Cité Tony Garnier […] sont squattés. Ces logements sont vides depuis plusieurs années, dans l’attente d’une réhabilitation. La période de confinement semble avoir été propice pour certains réseaux qui ont organisé la prise de possession de dizaines d’appartements", dénonce le musée.
"Il ne s'agit pas là de familles sans logis qui auraient trouvé refuge mais de jeunes adultes liés, comme ce fut le cas lors du drame du 28 juin à des activités illicites", poursuit-il, en référence à un règlement de comptes durant lequel un homme avait été blessé par balles.
Des procédures ont été par ailleurs engagées pour déloger les squatteurs de l'ensemble bâti entre 1921 et 1933.
Est-ce qu'ils ont abîmé des bacs a compost ou des jardins partagés ? non ?
Signaler RépondreBon alors arrêtez de pleurnicher pour quelques balles perdues ya rien de grave.