Une jeune femme a été violemment renversée et trainée sur plusieurs centaines de mètres, dans la nuit de samedi à dimanche, près du parc des Hauteurs, dans le 5e arrondissement. La victime de 23 ans n’a pas survécu au choc.
Le paquet vient de faire un point sur les dernières avancées de l’enquête. "Dans la nuit du 18 au 19 juillet, vers 3h40, les services de police étaient avisés - via le 17 - d’une rixe en cours se déroulant Parc des Hauteurs dans le 5e arrondissement et faisant suite à un différend entre des automobilistes et un groupe de jeunes, ces derniers reprochant aux automobilistes d’avoir percuté un chien. Quelques minutes plus tard, un nouvel appel faisait état de ce que dans le contexte de cette rixe, un automobiliste conduisant une Golf aurait sciemment renversé une jeune fille et l’aurait traînée sur plusieurs mètres", confirment les premiers éléments de l’enquête.
"Rapidement sur place, les services de secours constataient que la victime de l’accident était décédée et que son corps se trouvait au niveau de la Place des Minimes, soit à plus de 800 mètres du lieu déclaré de l’accident", ajoute le parquet.
Vers 5h30 du matin, trois personnes se sont bien présentées à l’hôtel de police Marius Berliet et ont été placées en garde à vue. "Dans le cadre de leurs auditions, tous trois expliquaient s’être rendus avec des amis et dans trois véhicules distincts (une Twingo, une Golf et une Mercedes) sur les hauteurs de Fourvière pour discuter. Sur place, ayant constaté qu’une fête s’y déroulait en présence d’une quarantaine de personnes, ils avaient décidé de repartir et la conductrice de la Twingo aurait involontairement percuté un chien. A la suite de cet incident, la Twingo et la Golf auraient été violemment pris à partie par les personnes présentes", complète le communiqué.
Le conducteur de la Golf souhaitait quitter les lieux, paniqué de la situation. C’est alors à ce moment qu’une jeune fille était positionnée devant son véhicule. Il a reconnu l’avoir percutée mais prétendait ne pas "s’être rendu compte qu’elle était restée accrochée à son véhicule".
Les dépistages de l’alcoolémie des deux mis en examen se sont avérés négatifs et les analyses toxicologiques sont en cours.
A l'issue de leur mise en examen, le conducteur du véhicule a été placé en détention provisoire et le passager placé sous contrôle judiciaire, conformément aux réquisitions du parquet. Aucun des deux mis en examen ne présente d’antécédents judiciaires.Une troisième personne initialement placée en garde à vue a été mise hors de cause.
Les investigations se poursuivent.
Pas émotif quand il s'agit de roublarder le juge (en même temps, c'est pas compliqué)
Signaler RépondrePas besoin d'une interminable instruction, gagnons du temps et faisons directement le rappel à la loi
Signaler RépondreÉcoutez, c est pas compliqué. Il faut toujours rester dans les quartiers safe, ne pas sortir le soir, fuir les attroupements, ne pas parler aux "jeunes, ne pas répondre aux insultes, baisser la tête et fuir deès que le ton monde. Là vous avez de bonnes chances de survivre.
Signaler RépondreLe pauvre "il a paniqué"... Trop émotif ce garçon !!!
Signaler RépondreQuand on en aura assez de subir la haine des racailles, on ira voter.
Signaler RépondreVous prenez les juges et enquêteurs pour des bons a rien , sachez que la présentation des individus devant le procureur est juste assisté de leur avocats et que ceux ci se taisent et prennent des notes car ils ne connaissent que ce qu'à voulu dire leurs clients pendant 1 heure en garde a vue , et au sortie de cette présentation ils en tirent des conclusions sur les questions du procureur et les réponses de leurs clients et qui seront modifiés au long de l'enquête afin de proposer une stratégie de défense si il doit y en avoir une .Maintenant le dossier est dans les mains d'une juge d'instruction et ce sera long avant le procès
Signaler Répondrepour ceux qui font des interprétations hâtives ,seule la reconstitution du drame dira en grande partie la vérité
Signaler RépondreL'état a peur des émeutes. Ils fustigent et s'insurgent mais rien n'est fait...
Signaler RépondreUn fait divers et rien de plus...
Signaler RépondreComme disait la chanson.
Aucun commentaire du maire, pas de ministre sur les lieux.
Là c'est un meurtre non ?
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Quel commentaire pathétique de "Juges verts".
Signaler RépondreFaut-il vraiment tout lier à une élection. Faire feu de tout bois. Au risque de tout politiser.
Le ministre de la justice est-il encarté vert ?
Ceux qui ont écrit les lois depuis 200 ans et dans le cadre duquel les mises en examens doivent s'inscrire étaient-ils encartés verts ?
Souhaitez-vous le fichage des opinions politiques de chacun ?
Et si la victime est encartée vert ? Ce drame vous semblera-t-il moins odieux ?
Manifestement ils ont bien été coaches par leurs avocats ! A la lecture de cet article ce drame c'est déroulé à l'insu de leur plein grès ! Terrible...
Signaler Répondre"" Il a reconnu l’avoir percutée mais prétendait ne pas "s’être rendu compte qu’elle était restée accrochée à son véhicule".""
Signaler RépondreSérieux ? Le juge a cru en plus, puisque qu'il a pas retenu l'intention de tuer. Quel naïveté !!
Quand on traîne une femme sous la voiture, je pense qu'on s'en aperçoit.
Il faut être juge encarté chez les verts pour penser le contraire.
Traîner 800 m sous une voiture, cette femme a eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait. Quelle horreur. :-o
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