Intitulé "La délinquance à Lyon", il propose un portrait de la jeunesse locale adepte des bêtises, des conneries, et irrémédiablement, des séjours en prison.
Et au fil des minutes de cette vidéo disponible sur Youtube, on remarque de grandes similitudes entre les faits dépeints en 1965, et ceux de 2020.
Le reportage s'ouvre sur ce qu'on appelerait aujourd'hui un rodéo urbain. Des adolescents filent à toute vitesse et sans casque dans les rues de Lyon sur des mobylettes.
Puis les journalistes de l'ORTF débutent leur travail au Tonkin, "l'un des quartiers de Lyon qui a la plus mauvaise réputation. Dans certaines familles, on est délinquant de père en fils". Après un passage au bar du coin où les canailles jouent aux cartes, on découvre le portrait d'une mère seule, qui a toutes les difficultés du monde à surveiller ce que font ses enfants adolescents une fois dehors.
En 1965 déjà, les bandes de potes aimaient passer du temps ensemble. Refoulés du dancing, ils veulent "s'amuser en mobylette", "en bagnole", "on roule".
Le commissaire-divisionnaire de l'époque estimait que les deux formes de délinquance juvénile les plus importantes dans l'agglomération lyonnaise étaient les vols et "tout ce qui touche à la sexualité".
Enfin, le reportage daté du 22 avril 1965 donne la parole à des détenus des prisons Saint-Paul et Saint-Joseph à Perrache. Au dernier jeune interrogé, il est demandé si son séjour en prison lui aura appris quelque chose : "Je pense pas. Sauf à détester quelques gens supplémentaires".
En 2020, les lascars ont remplacé les loubards à Lyon. Les occupations sont restées les mêmes, les solutions semblent toujours aussi inefficaces.
Je me souviens qu en 64/65 , élève de l INSA ( zone excentrée de Villeurbane ) lorsqu on rentrait du cinéma à Lyon , en bus,le soir ,, à la descente du bus jusqu'à notre résidence , il fallait que les copains viennent au devant de nous pour dissuader les blousons noirs.
Signaler RépondreNous avons eu d homériques bagares avec eux ;
Nous avons retrouvé des blousons noirs avec des armes dans le coffre d une voiture !
Étaient ils des malfrats qui venaient s agglomérer aux bandes de blousons noirs, ou venaient ils pour leur propre compte ?
Un soir, alors que nous festoyons ensemble à une vingtaine , ils nous ont cherchés ; manque de bol pour eux, nous étions l équipe de rugby .
Donc la coexistence était un peu difficile !
l'OAS était un mouvement militaire de révolte politique...
Signaler RépondreComparer 2020 et 1960 au plan de la sécurité, et en conclure à l'identique ,c'est au choix , faire preuve ,soit d'ignorance,soit de promouvoir l'intox pour calmer les esprits,afin de couvrir la totale incapacité des ces gouvernements successifs de girouettes,le dernier en tête de liste .
les jeunes qui se regroupent dans les halls d'immeuble sont considérés comme des délinquants aux yeux de la loi mais pas en 1965.
Signaler RépondrePour être un délinquant il suffit juste de modifier les lois : plus de lois répressives, plus de délinquants.
Le grand banditisme c'est juste de la délinquance organisée entre un groupe de plusieurs individus... Ah ben si ils volaient les voitures pour s'en servir et non pas pour les brûler tout va bien... Ah ben si ils se tapaient entre eux ça va haha
Signaler RépondreOn parle de délinquance (qui est d'ailleurs un terme très vague, enfin de compte ça regroupe toutes les infractions), on ne peut pas dire aujourd’hui il y a plus de délinquance car ça me touche directement alors qu'avant c'était entre eux. Non ce sont quand même des actes de délinquances que ça vous touche ou pas.
Et c'est ce que dit l'article, toujours autant de délinquance, au mêmes endroits mais organisée et réalisée différemment... là où je vous rejoins c'est en effet aujourd'hui c'est moins vivable du coup.
Je pouvais à 2 h du matin traverser Lyon après une soirée cinéma et un repas à la Brasserie Georges sans le moindre risque....Cette histoire d'insécurité des années 60 est de la pure intox....pour nous faire oublier le présent.... où nos politiques sont parfaitement incapables de faire simplement appliquer la loi...Macron en tête de liste
Signaler RépondreJacques Mesrine faisait parti du grand banditisme ,rien a voir avec les petites frappes qui nous emmerdent au quotidien....
Signaler RépondreDe plus un jeune qui volait une voiture ,s'était pour s'en servir ,pas pour la bruler.... Coté blousons noirs les affrontements étaient inter quartiers et entrez eux ......Jamais vu un blouson noir massacré une grand Mère pour lui voler un collier ..
Enfin le modérateur de LYONMAG cherche à vous endormir petite nuance......
Signaler RépondreSalut ma poule à cette époque les voyous réglaient leurs problèmes entre eux,et on pouvait passer tranquillement vers 19heures devant le Café de la Paix place Bellecour.
Signaler RépondreBisounours.
Signaler RépondreFaites attention l'Alzheimer vous rattrape, vous semblez oublier les attentats commis par l'OAS dans les années 60, mesrine (c'est sûr quel respect énorme il avait envers les FO), le jeune Thévenin mort dans une cellule de prison (ça rappel l'actualité d’aujourd’hui), etc...
Je suis d'accord avec le fait qu'il y avait plus de "respect" entre les gens avant mais ne faites pas croire pour autant que tout allait bien.
Les sanctions étaient TRÈS sévères. Les prisons, pas des 5 étoiles . Et le bagne, personne ne voulait y aller ,ils étaient enchainés avec des boulets aux pieds et travailler sur les routes . Quand , les populations les croisées, sa les faisaient réfléchir à deux fois avant de faire des bêtises .
Signaler RépondreC’est tout à fait exact. Un ancien d’Algérie , le disait, que même là-bas. , les maisons rester ouvertes , les deux policiers qui patrouiller en vélos avec leur longues gabardines faisaient même peur ,à la population. Et les trois principales religions se respecter en tapant le cartons ,avec une anisette au bar des délices .
Signaler RépondreDans les années 60 les Policiers étaient respectés,les Pompiers n’étaient pas caillassés les femmes n’étaient pas harcelées pas besoin d’Agents de Sécurité dans les Hôpitaux les chauffeurs de bus pas agressés les occupants d’HLM ne se barricadaient pas chez eux ,les voitures n’étaient pas incendiées le 14 Juillet,voilà la différence,mais il est vrai qu’à l’époque la justice était moins laxiste...
Signaler RépondreTu as le droit de rêver mais pas mépriser tes semblables !
Signaler RépondreSi tu crois que ta réussite ne vaut que par la force de ton travail, tu es un bel utopiste !
Regardes tes semblables autour de toi, vis ne serait qu'un an dans une tribu et ton labeur se vendra en miettes face à la misère de tes semblables !
C'est bien connu, le problème, c'est les autres, surtout pas son petit nombril de contribuable !
Regardes nos biens penseurs a nous faire les leçons de morales mais qui en fait, sont les.plus dépravés qu'on puisse imaginer !
Je te pleins de voir notre si belle nation et notre si belle société de ce regard si sombre !
En Afrique du sud, il y a des magnifiques villas en front de mer, avec des baies vitrées à tombes par terre et des gros barreaux devant pour se protéger !
Et la.bas, ils bossent, crois moi, pas pour des.prunes, pas pour vendre des pains au chocolat !
La délinquance est le doigt du sage qui montre la lune
Signaler RépondreLe diagnostic permettant le remède, il y a deux notion à avoir en tête quand il est question de statistiques sur les homicides :
Signaler Répondre- L’immense majorité des homicides sont commis par des hommes vivant dans une situation de grande précarité
- La diminution des homicides résulte en grande partie du déclin des crimes racistes
Plus d'info ici : www.observationsociete.fr/modes-de-vie/de-moins-en-moins-dhomicides-en-france.html#note-3657-3
Donc commençons à nous attaquer aux racistes, et le nombre d'homicide diminuera mécaniquement !
Un belle créature voilée !! ......... Désolé ! mais on ne met pas tout les français dans le méme sac !! OK ?
Signaler RépondreÉvidemment, dans les années 60 il n'y avait pas internet, les RS, les chaînes d'infos en continu qui ressassent en boucle les mêmes faits divers anxiogènes, le chômage à 2 chiffres....
Signaler RépondreIl y avait cependant l'OAS qui faisait des attentats.
Eh bien voyons !
Signaler RépondreLes grandes différences :
- les commissariats freinent des quatre fers pour prendre les plaintes ;
- le gardien de la paix, autrefois omniprésent, a déserté l'espace public livré à la racaille de tout poil.
2019 : moins de mille homicides, youpi!!!
Signaler RépondreDonc tout va bien pour certains dont le passe-temps favori est de traiter les autres de fachos !
Une pensée pour les victimes et leurs familles....
Quant au français qui sont raciste et qui prenne dès électrochoque quant il voyent un arabe en couple avec une belle créature mdr quant ont vous voie sa ne vas vraiment pas pour vous on dirais c’est Dommage
Signaler Répondre"Des adolescents filent à toute vitesse et sans casque dans les rues de Lyon sur des mobylettes"... heu normal en 1965 le casque n'était pas obligatoire, hahaha!
Signaler Répondreils se foutent des faits... Seul comptent leur fantasmes de petits fachos qui rêvent de guerre civile et raciale.
Signaler Répondred'ailleurs, comme "Les jeunes des années 60 avaient tout ce qu'il faut pour s'intégrer après avoir arrêté les conneries", il n'y avait pas de prisons à l'époque.
Signaler Répondrec'est pour ça que la peine de mort a été supprimée : la guillotine rouillait !
1995 : plus de 1800 homicides en France.
Signaler Répondre2019 : moins de 1000.
Je sais que ça ne correspond pas à votre ressenti nourri de faits divers ou à vos envies de guerre civile anti étrangers... mais les faits sont là !
je suis bien d'accord.
Signaler Répondreil y avait plus de meurtres à l'époque.
vous avez bien raison de nous rappeler que notre société était plus violente avant !
si les faits ne correspondent pas à votre lecture du monde, ignorez-les !
Signaler RépondreMoi j’ai déjà eu affaire à des délinquant sorti de prison ou en voi d’y aller toujours les meme tête plonger dans la pornographie avide d’argent traine dans les bar à prostituer ou vont en voir veulent devenir scarface et ont toujours la même question d’ou Tu vien??est ce que tu baise?pour les plus directe y’a ceux qui ne pose pas la question et le garde pour eux et prépare leur vengeance dans leur coins car je vous explique vous leur faite du mal quant vous êtes tranquille démunie d’idEe obscène et bien plus motivé et débrouillard que eux et surtout quant il constate que vous êtes bien regarder par beaucoup de fille ou de femme il ont un sérieux problème de ce côté là et maintenant ce n’est pas que les délinquant pourtant il y a assez de travaille de femme et d’homme pour chacun bref dès perverti victime qui ne pourront jamais l’admettre
Signaler RépondreQuoi? La délinquance et les bandes existaient avant l' arrivée des arabes ?
Signaler RépondreEt tous les droitasses qui en bavent de rage dans les commentaires..
Ils sont au bord de la crise de convulsion et de l' apoplexie.
Installer une "famille" dans un bel immeuble du 6e?
Signaler RépondreCe serait musique rap à fond, en particulier tard le soir, tags sur les murs, insultes envers les autres habitants, dégradations voir vols d'objets dans l'immeuble.
Plus des fêtes fréquentes, où on invite en nombre les amis de la cité.
Voire deal en bas de l'immeuble, si ils faisaient ça dans leur cité.
De quoi effaroucher le "bourgeois respectable", à moins que ça plaise au bourgeois de gauche qui lit l'Obs' et Rue89, ceux qui prônent les joies du vivre-ensemble.
Allez savoir.
en 1965 la plupart des gens de l'INA et des politicards actuels n'étaient pas nés ou étaient encore au biberon. ils parlent donc de ce qu'ils ne connaissent pas. j'ai effectivement assisté à des bagarres à cette époque mais c'était à main nues pas à coup dd couteau et s'était beaucoup moins fréquent tandis qu'aujourd'hui à Lyon c'est tous les jours. je me souviens qu'a on pouvait se promener de jour comme de nuit sans être inquiété. les gens ne se droguaient pas ils se saoulaient au vin rouge. quand aux médias c'est faux de dire qu'ils y en avaient moins sauf que ce n'étaient pas les mêmes. a cette époque la presse écrite était très populaire. il y avait au moins 4 journaux quotidiens dont je me souviens la tribune, l'espoir, la dépêche et je crois le progrès ( pas sur pour ce dernier).ils se vendaient comme des petits pains.ils se trouvaient en bureaux de tabac bien sur mais aussi dans les nombreux kiosques et dans les rues avec les multiples crieurs de journaux.dans chacun d'eux il y avait tpous les jours une page entière de faitspmppkko divers et un peu moins d'une demi page d'avis de décès ( lecture préférée de ma grand-mère).mon grand-père y était abonné il le lisait et le donnait ensuite àmon père qui le lisait à son tour ainsi que toute la famille. bien sûr.la jeunesse était parfois violente et turbulente mais pas au point d'aujourd'hui et beaucoup moins souvent et beaucoup moins d'assassinats. Et surtout ce n'était pas de la violence gratuite. enfin à l'époque les gens prenaient leurs responsabilités ce n'était pas toujours de la faute des autres ni de la société
Signaler RépondreC'est facile de dire y à des similitudes, mais en 65 les gars ne foncaient pas sur des jeune fille et les traînait sur plusieurs centaines de mètres, on frappait pas les gens pour un regard ou une cigarette. Il serait temps d'arrêter de relativisé les faits et sévir sur cette nouvelle RACAILLE avec fermeté. Crée des prisons pour ces habitué de la zonzon. Et ces mères qui n'en n'ont rien à faire de ce que peut faire les progéniture, tant que la CAF versé l'argent tout les mois.
Signaler RépondreExactement. Ce que sont devenus les français, en écoutant les médias ,comme des enfants attardés.
Signaler RépondreCe n'est plus du tout la même délinquance à cette époque il n'y avait pas de deal comme aujourd'hui pas de violence gratuite, le gars était en tête à tête et a mains nues, et en aucun cas on ne voyait des gamin de 13 ou 14 ans commettre des délits
Signaler RépondreÀ l'époque les délits n'avait rien à voir avec ce d'aujourd'hui, les bagarres c'était en tête à tête et à mains nues, on ne voyait pas des gamin de 13 ou 14 ans commettre des délits, il y avait beaucoup moins de deal et de violences gratuites ...
Signaler RépondreLyon mag, recrutez des journalistes svp. Ce discours de pilier de bar devant une vidéo sur internet ne constitue en rien une analyse de l'évolution de la criminalité sur un demi siècle
Signaler RépondreMéfiez vous de l'effet grossissant de certains reportages, plus ou moins représentatifs de l'époque
Ce torchon est une honte. Quel genre de """"journaliste"""" peut écrire un truc pareil et se regarder dans le miroir. A vomir.
Signaler RépondreQuelle délinquance ?!?? un crime n’est plus un crime c’est une incivilité !!! Merci la novelangue des dégénérés
Signaler Répondrec'est une plaisanterie ou une provocation
Signaler RépondreBasez vous sur les statistiques plutôt que sur une vidéo pour ecrire votre article et tenter de convaincre votre lectorat. Parce que là sur le coup, c'est raté....
Signaler Répondreil nous prenne vraiment pour des cons!!!!!!!!!!!!
Signaler RépondreJe suis entièrement d'accord avec vous notamment sur les gens "friqués" qui ne mélangent pas leur marmaille avec celle du quartier et du public, et le plus drôle c'est que généralement ce sont les mêmes parents qui votent "bien" et nous donnent des leçons …
Signaler RépondreD'accord également sur le tolérance 0 (encore que des circonstances atténuantes peuvent dans bien des cas s'appliquer)
D'accord également sur le fait que de nombreuses personnes … comment dire … oui, "racisées", nouveau terme à la mode, ne posent aucun problème et saturent elles aussi sur ce genre de faits.
Mais mais mais, la pauvreté n'excuse ni n'explique le phénomène, ça, non … Rien ne justifie ce qu'il se passe depuis qq temps … Et croyez moi : les faits évoqués ici ou là dans les médias ne reflètent pas - malheureusement - le tiers de l'iceberg ...
Aucun intérêt en l'absence de chiffres comparatifs... Nombre de délits, crimes, etc. Taux pour 100 000 habitants.
Signaler RépondreAfin de comparer ce qui est comparable.
Ça veut absolument rien dire ça
Signaler Répondre"Le sage montre la lune avec son doigt !
L'intelligent pointe la lune alors que l'idiot regarde doigt !
La délinquance est le doigt du sage !"
Juste que les délinquants espèrent la lune pour leur mieux être égoïste (c'est bien ça l'idée du deal, se faire plein de pognon sans rien faire).
Et pour cela ils sont prêts à écraser tout le monde sur leur passage.
Alors que l'idiot, qui ne voit pas l'intérêt d'atteindre la lune si éloignée, ne voit que le délinquant qui lui marche sur la tête et lui pourrit sa petite vie.
Et vous, vous donnez presque raison aux racailles sous prétexte que des riches ne veulent pas partager le fruit de leur travail avec les racailles qui glandent.
Le secret de la réussite, c'est le boulot essentiellement, sauf si vous avez des dons extraordinaires.
Bosser, c'est à la portée de tous.
ne mélangez pas la grande délinquance ,les truands si vous préférez ....et la petite vermine de 12 /17 ans qui en Amérique à l'époque aurait fini sur une chaise électrique
Signaler Répondrececi dit en 1961 un 4 cv volé et c'était un article sur le Progrès ......et je sais ce dont je parle .... en 1962 on pouvait le samedi soir traverser Lyon à 2 h du matin sans le moindre risque ........On est loin du compte de nos jours
Cet article est une intox......rien de plus....
Signaler RépondreLes blousons noirs de l'époque étaient des saints ,par rapport à la vermine de nos jours....... et je suis près à en débattre ....pour autant que les auteurs de cet article aient des couilles ...
Non non et non. Ce sont bien des habitants du quartier.
Signaler RépondreC'est même complètement stupide de les comparer aux racailles contemporaines.
Signaler RépondreC'est des anges à côté.
Tant qu'à faire, autant dire que c'est la faute à Jojo l'idole de ces jeunes !
Quand je lis de la part de l'auteur de l'article
" Le reportage s'ouvre sur ce qu'on appelerait aujourd'hui un rodéo urbain. Des adolescents filent à toute vitesse et sans casque dans les rues de Lyon sur des mobylettes."
C'est vrai, la marque à la mode, c'était Mobylette.
En 65, le casque n'était pas obligatoire, même les "vieux" n'en mettaient pas, c'est beaucoup plus tard qu'il l'est devenut pour ces petites cylindrées.
J'étais un peu jeune en 65, mais si je comprends bien, moi aussi j'étais une racaille à 15 ans, avec ma 103 Peugeot, je passais mon temps avec les potes à rouler à toutes vitesse (45 km/h), sans casque, partout où on pouvait aller.
On appelait pas ça faire du rodéo...
Non non non.. Les vendeurs se sont juste rapprochés de leur clientèle car à Villeurbanne la voisine, la guerre des territoires fait rage depuis + de 2 décennies.
Signaler RépondreLa drogue, ça ne dérangeait personne quant ça se cantonnait aux banlieues. Elle a désormais gangrené toute la Métropole.
Qu'on soit bien clair: la délinquance il y en a. J'ai grandi, étudié et suis retournée dans une banlieue lyonnaise réputée sulfureuse.
Signaler RépondreJ'ai vécu à Lyon également.
La délinquance pour X raisons je la côtoie quotidiennement ( et pas forcément dans ma banlieue, loin de là!)
Mon constat est formel : une infime minorité de personnes dites "racisées"( nouveau terme à la mode) surreprésente une majorité que TOUS ici sur ce forum côtoyez quotidiennement de manière tout à fait cordiale.
Maintenant, je l'affirme,ceux qui ne veulent pas se "mélanger" ne sont pas forcément ce qu'on croit..
Il y a une rupture nette sociale et économique dans ce pays et cette ville.
Même dans les quartiers type Monplaisir les parents friqués préfèrent mettre leurs gamins dans le privé alors que le public dans leur coin est loin d'être défavorisé. Faudrait pas se mélanger avec la classe moyenne hein.Il faudrait peut être essayer de penser à la génération suivante avec de réels réaménagement du territoire.
Quant à la délinquance actuelle, clairement, je suis pour 0 tolérance. Saisie de biens, frapper au porte feuille, TIG, prison GARANTIE pour les multirécidivistes.
Expliquer un phénomène ne le justifie pas, cela n'a jamais été mon propos.
On n a donc rien appris depuis 1965?
Signaler RépondreSi la délinquance est équivalente, alors que nous avons plus de moyens techniques, je crois que c est encore pire!
On fait quoi?