Avec son système en 4-2-3-1, Jean-Luc Vasseur avait choisi d’aligner : Bouhaddi – Greenwood, Buchanan, Renard, Bronze – Kumagai, Henry – Le Sommer, Marozsan, Majri – Parris.
En somme, ce qui constitue probablement l’équipe qui affrontera le Bayern Munich lors du huitième de finale retour de Women’s Champions League, programmé pour la fin août. On espérait donc du beau jeu, avec de nombreux buts. Finalement, on repassera !
Une première période insipide
La joueuse de la première mi-temps se nomme Solène Durand, la gardienne guingampaise. En effet, le dernier rempart de l’EAG a parfaitement tenu son rôle lors des rares occasions lyonnaises. A la 24e minutes de jeu tout d’abord, devant Amel Majri, puis face à Dzsenifer Marozsan quelques instants plus tard. Ensuite devant Nikita Parris lors de la 42e minute. Et enfin, lors de la 44e minute du match, en détournant un tir de Lucy Bronze.
Arrivait la pause à l’issue d’une première période insipide. Les joueuses lyonnaises manquaient de tranchant dans les derniers mètres de la surface adverse. Leurs principales occasions ne sont arrivées qu’à la fin de cette première mi-temps.
Dès la rentrée des vestiaires, Amandine Henry donnait un peu de rythme à la rencontre avec son coup-franc qui passait légèrement à droit de la cage adverse.
But de la tête de Parris sur un centre de Renard
L’entraîneur lyonnais choisissait la 58e minute pour remplacer Alex Greenwood et Eugénie Le Sommer par, respectivement, Selma Bacha et Delphine Cascarino. S’ensuivaient une demi-volée de Marozsan qui ne donnait rien et du but de la tête de Parris, sur un centre de Wendie Renard, à la 65e minute. Pour la première fois du match, la gardienne de l’EAG manquait de chance, le ballon lui passant entre les jambes.
Depuis l’heure de jeu, les Fenottes prenaient peu à peu le dessus physiquement. La raison pouvait se trouver dans la reprise de l’entraînement par les Guingampaises trois semaines après les Lyonnaises.
Jean-Luc Vasseur continuait de faire tourner, en sortant Majri et Henry pour faire entrer Shanice Van de Sanden et Sara Gunnarsdottir.
Malgré le carton jaune obtenu par Saki Kumagai à la 88e et plusieurs situations chaudes en fin de rencontre, l’OL Féminin filait tranquillement vers la finale prévue le dimanche 9 août à Auxerre, contre le vainqueur de l’autre demi-finale, jouée ce dimanche à 20 h 30, entre Bordeaux et le PSG.
FINALE
— OL Féminin (@OLfeminin) August 2, 2020
La #TeamOL se qualifie pour la finale de la @coupedefrance avec cette victoire face à Guingamp grâce au but de @lilkeets ! #EAGOL
Nos joueuses affronteront Bordeaux ou Paris en finale dimanche 9 août prochain à Auxerre ! pic.twitter.com/maHVngnueX
Pas plus insipide que la victoire du PSG - OL masculin SUR LES TIRS AU BUT. . Mais voilà c'est l OL . LES JALOUX AURONT TOUJOURS À REDIRE. ..
Signaler RépondreLa chaleur puis une reprise de vrai compétition , un résultat bon a prendre , mais va falloir hausser le niveau cette année car d'autres équipes ce sont renforcées et les fenottes ne seront pas seules au monde comme ce fut le cas dans les années précédentes
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