Les menaces de mort ont été tenues entre le 3 et le 6 juillet.
Le 10 juillet dernier, le mise en cause a volé le téléphone portable de la victime en la tirant par les cheveux. Il avait bloqué le véhicule de son ex-femme, alors que celle-ci fuyait de son domicile, ayant été au courant de l’arrivée de son ex-époux pour voir leurs enfants.
Le Lyonnais, disposant par ailleurs de dix antécédents judiciaires, a reconnu lors de sa garde à vue les menaces de mort, en les justifiant par son énervement dû au fait de ne plus voir ses enfants. Il a également reconnu le vol, justifié par la volonté de posséder une monnaie d’échange pour voir ses enfants, tout en niant avoir agi avec violence.
L’individu est présenté ce vendredi au parquet pour vol avec violences par ex-conjoint et menaces de mort réitérées.
Mouais. Il a quand même un casier bien rempli. Est-ce si étonnant que la justice ne lui accorde pas de voir ses enfants (aussi souvent qu'il le voudrait) ? Moi un père comme ça je préfèrerais ne pas le voir.
Signaler RépondreC'est les mêmes qui vont venir dire "mais que fait la justice ??" lorsqu'il arrivera une bricole aux enfants.
On se doute du profil du mec et même de ses origines ça n'est un mystère pour personne voyons
Signaler RépondreCet homme déclare avoir agit de la sorte, car il veut voir ses enfants.
Signaler RépondreSauf a être dans l'entourage proche de cet ex-couple, personne ici ne connait le vrai contexte.
Cette affaire me rappelle le combat de pères qui, dans les années 80/90, on réagit face au mépris de leurs droits de pères.
Mépris judiciaire, social et sociétal.
Quelques-uns sont monter sur des grues et menacer de se jeter. D'autres ont entamer des grèves de la faim, etc.
Grâce a ces actions, beaucoup de gens ont découvert que les pères, n'avaient aucun droit de pères dans les faits.
Les gosses étaient systématiquement attribuer a la mère, sans droit de visite, mais avec l'obligation d'une pension alimentaire.
Depuis toutes ces années je ne sait pas si les associations de pères existent toujours.
Je sait que la loi et les esprits, notamment de certains magistrats, on changer.
Alors je ne cautionne pas les potentiels gestes violents de cet homme.
Mais, je voit avant tout le combat d'un homme pour voir ses enfants.
Le R0 de la prénomite et des pathologies de la même catégorie est en effet très élevé sur les réseaux sociaux. Des formes particulièrement sévères affectent une population déjà fragilisée par des comorbidités type déficience du discernement, raisonnement binaire, syndrome du bouc émissaire, mauvaise foi, immaturité et haine chroniques. Elle les aggrave et, par voie de conséquence, fait des victimes collatérales parmi les personnes non atteintes.
Signaler RépondreQuiconque tant déjà travaillé dans des structures d’accueil ou de défense des victimes de violences conjugales, ou simplement s’intéressant un tant soit peu au sujet, sait que c’est un problème transversal à absolument toutes les catégories sociales. Ce qui n’enlève rien à la responsabilité individuelle des salopards qui les commettent.
Dans le cas présent, le symptôme est caractéristique : le sujet détourne de manière totalement opportuniste le débat, avec pour conséquence pernicieuse de désinformer et donc de nuire à la lutte contre ces violences.
Votre diagnostic se vérifie donc malheureusement : prénomite aigüe avec détérioration accélérée du tissu social.
"Femme en danger"? Quand je vois autour de moi des pères dont l'ex femme ne présente plus les enfants et les déscolarise depuis 8 mois (merci covid d'avoir donné une excuse) que le père va quand même les chercher chaque fois que c'est sa garde, et qu'à chaque fois la mère lui dit "les enfants ne viendront pas avec toi ce weekend" sans qu'il ait pu les voir, qu'il a 0 nouvelle, alors que si lui il les avait ramenés une heure en retard il aurait eu le GIGN à sa porte... Les femmes sont pas en danger, au contraire, et c'est bien le problème, elles sont surprotégées, se dérobant à toutes leurs responsabilités comme des petites filles fragiles. Il est souhaitable que l'égalité arrive, rapidement, mais je suis pas certain que l'égalité soit vraiment ce qu'elles souhaitent...
Signaler RépondreTu prêche pour ta mosquée ou quoi ?
Signaler RépondreNe soit pas inquiet on n'est pas méchants .....
De tout cœur avec le père
Signaler RépondreEncore un gros taré qui va réussir à butter sa femme ! Elle doit impérativement se mettre à l'abri. Femme en danger. Enfants en danger aussi.
Signaler Répondrela demande de prenom systématique est le symptome d'une maladie mentale qui a la particularité d'être elle aussi contagieuse. elle se diffuse pernicieusement sur les réseaux sociaux, elle attaque et detruit le système limbique . si vous ou l'un de vos proches pensez être touché il est sans doute déjà trop tard. Après OUI c'est un salopard
Signaler RépondreJe peux comprendre ce genre de comportement. Les mères, vu que ce sont des femmes avec l'image de la douce petite fille fragile, attendrissant les juges.
Signaler RépondreMais beaucoup sont de vrais sa**** qui pensent qu'à leur pension et s'en fiches complètement du bien-être de leurs enfants.
Et les pères sont souvent privés de voir leurs enfants, mais obligés de payer pension et vivre dans des cages à rats
Je comprend totalement qu'un père puisse pêter un cable concernant la garde de ses enfants. D'ailleurs je trouve que comparé au nombre d'injustice de ce type, il y a peu de drame familiales en France
ce n.est nullement une question d'origine mais simplement celle du lieu où l'on a vécu (nabil anthony salem david)
Signaler RépondreLe prénom de l'individu suffira à identtifier l'auteur de ses faits digne d'un salopard....
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