L'ouvrage n'avait jamais été mis en vente. Annoncé pour le 10 janvier, le recueil de témoignage avait finalement été retiré des ventes par son éditeur, mais avait tout de même été envoyé à 186 personnes, notamment des journalistes.
La maison d'édition Temps a d'ailleurs également été condamnée mardi par le tribunal judiciaire. Elle devra payer, avec La Parole Libérée, 800 euros à deux victimes du père Preynat, dont Pierre Emmanuel Germain-Thill, selon Tribune de Lyon.
Malgré tout, les livres distribués ne feront pas l'objet de rappel.
La médiocrité de la justice, mais c est une honte. Ils iront à la messe après
Signaler RépondreIl ne fallait tout de même pas révéler l'ampleur du scandale. Barbarin est libre...
Signaler RépondreC'est pas cher payé, pour des vies brisées????????
Signaler RépondrePreynat est toujours en liberté.
Signaler RépondreJe me doutais bien que que cette affaire avait des relents manichéisme d ou ma non surprise vu l appétit financier que certains pouvaient en tirer......
Signaler RépondreOn a viré Barbarin et foutu Preynat en taule. La peur a changé du camp, acceptez le nouvel ordre de choses plus juste et humain pour la majorité des habitants de Lyon.
Signaler RépondreOu quand ceux qui dénoncent l'abus le pratiquent eux mêmes, d'où cette légitime condamnation.
Signaler Répondre