Mais en appel, les juges ont décidé de condamner un homme âgé d'une vingtaine d'années pour des faits d'agression sexuelle.
Le 17 décembre 2019, l'individu, détenu à la prison de Lyon-Corbas, se plaignait de vives douleurs aux testicules. Il souffrait effectivement d'un kyste aux parties génitales.
Sauf que face à la femme-médecin, il s'est masturbé, le sexe en érection. Et sa victime l'accuse de lui avoir saisi la main et de l'avoir posée sur son appareil génital.
En première instance en février dernier, le détenu avait reconnu s'être masturbé pour soulager sa douleur. Et avait été relaxé, notamment parce que la scène, filmée par la vidéosurveillance de la prison, permettait de voir la médecin congédier dans le calme le détenu, prenant même soin de lui serrer la main.
Rejugé fin août en appel à la demande du parquet et de la partie civile, l'individu a cette fois été condamné à 4 mois de prison ferme. Aucun nouvel élément ou preuve n'a été apporté. Mais l'avocat de la victime a rappelé opportunément que le prévenu avait déjà écopé d'une peine par le passé pour agression sexuelle.
J'irai même plus loin: faites construire des prisons par... des prisonniers.
Signaler RépondrePrenez les meilleurs (ou moins mauvais), proposez-leur de travailler durement mais décemment 8 heures par jour. Encadrés par du personnel compétent bien sûr.
En échange, accès à la télé, jeux vidéos, moments d'intimité avec sa femme, possibles remises de peine, ...
Ca inciterait à travailler plutôt que glander, à s'occuper plutôt qu'à vivre dans les embrouilles, et serait réellement formateur et utile à la réinsertion.
Et permettrait aussi de trouver le temps moins long, de moins déprimer. Ben oui le travail ça occupe l'esprit...
Gagnant-gagnant sur toute la ligne.
Au lieu de dénigrer, réfléchissez à ce système comparé à l'actuel, un enfer de violence qui n'apporte rien de bon.
encore un malade ,qui faut laissez enfermer. .
Signaler RépondreFaux témoignage du médecin, Heureusement que la vidéo a démontré qu'il n'y a pas eu d'atteinte ou de contrainte physique.
Signaler RépondreIl s'agit donc d'une exhibition sexuelle et non d'un viol.
Soumettez cette idée à Dupont Moretti , ce Monsieur sera tout de suite d'accord !!
Signaler RépondreLa pénitentiaire ah parlons en les personnels ne sont pas recrutés en fonction de leur intelligence ça se saurait on peut leur attribuer le bonnet d'âne sans problème .....
Signaler RépondreQuel branleur , celui là ! Il mérite ....." une branlée " ????
Signaler RépondreIl y a une telle frustration sexuelle en prison que ce genre de comportement était prévisible...
Signaler RépondreOn devrait plutôt imaginer un système ou les prisonniers qui travaillent bien, se tiennent bien, gagnent des points permettant d'avoir en échange un moment d'intimité avec leur femme ou copine.
Quand je pense que j'ai en ce moment méme , un pote sénégalais ( du Sénégal ) en stage international à l ' E.N.A , vous m'inquiétez !! j'espère qu'il ne va pas déteindre sur ces anes !!
Signaler RépondreUne femme comme médecin en prison... Pas futé les énarques normal E N À = ÉCOLE NATIONALE DES ANES....
Signaler RépondreC'est sur que pour ce genre de problème , dans une prison , et pour ce cas précis , il faut ètre complétement barré pour faire appel à une femme médecin !! ... Le coupable : le directeur de la prison
Signaler RépondreEncore un cas désespéré qu'il va falloir se traîner pendant des années...
Signaler RépondreElle n'avait qu'à pas l'exciter et si ils avaient envoyé un toubib homme ça ne serait pas arrivé pas vraiment futés la pénitentiaire c'est bien connu.
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