Quinze boîtiers vont être distribués chaque mois dans le cadre de l'expérience Capthothèque. Le processus va durer 10 mois, au minimum. Ces micro-capteurs sont capables de mesurer les particules fines de type PM 10, PM 2,5 et PM 1.
"Les bénéficiaires pourront effectuer de manière très libre des mesures sur l'ensemble du territoire lyonnais. Faire différentes explorations, en vélo dans la ville, dans la cuisine, dans les transports en commun...", explique Claire Chappaz, responsable innovation d'Atmo Auvergne-Rhône-Alpes.
"Les résultats s'affichent en direct sur une application. Ils sont aussi visibles sur une plateforme Web, qui est une plateforme de consultation des données, mais aussi une plateforme d'échange", ajoute-t-elle.
L'objectif affiché est clair : sensibiliser les populations sur la qualité de l'air. Après deux semaines de tests, les volontaires pourront se retrouver dans des ateliers organisés en collaboration avec des experts. Ils permettront d'expliquer les données récupérées par "les cobayes".
Cette expérimentation a également été lancée sur les communes de Grenoble et Clermont-Ferrand.
Les demandes de prêt ouvrent ce lundi sur leur site internet.
bonne initiative ! La pollution de l’air entraîne des atteintes respiratoires et cardio-vasculaires ainsi que des risques d’effets cancérigènes. La pollution de l’air devrait donc être une des premières préoccupations en termes de santé publique et d’environnement : https://www.officiel-prevention.com/dossier/environnement-pollution/pollution-de-l-air/pollution-de-lair
Signaler Répondreil y a déja plein de capteurs de ce genre , dans toute la ville . Mobiliser des citoyens , des experts et tout le dispositif , c'est très cher payé et une perte de temps !! Tout ça pour faire la grande découverte du Siècle : " l'air est polluée " !!! .. Il y en a qui n'ont vraiment rien d'autre à foutre !!
Signaler RépondreC'est sûr que pour nous expliquer ce que l'on sait déjà...
Signaler RépondreEnfin, cela intéressera sûrement du monde.
On pas avoir les mêmes pour les nuisances sonores.
Signaler Répondrevers l'usine de St Fons, Feyzins, le 8ème, et d'autres..
Signaler RépondreMerci Monsieur l'omniprésident Bruno Bernard, je me sens plus en sécurité maintenant, sachant que la plus grande insécurité, c'est l'air que nous respirons...
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