D’après Le Progrès, six individus ont agressé les employés d’une boucherie de l’avenue Paul-Santy le 19 septembre dernier. Selon le quotidien régional, le tort des bouchers était alors de vendre de la viande de porc. Insultés, les employés sont sortis pour demander aux jeunes de quitter les lieux.
Mais quelques minutes plus tard, la bande est revenue pour en découdre. Les provocateurs étaient alors en possession d'une bombe lacrymogène qu’ils n’ont pas hésité à vider dans l’enseigne malgré la présence de clients. Toujours selon Le Progrès, un jeune homme aurait même dégainé un pistolet factice pour tenter de se montrer menaçant. Une pierre sera également lancée en direction de la vitrine, sans faire de dégât.
Arrivée sur place, la police aurait réussi à interpeller un mineur de la bande âgé de seulement 12 ans. La boucherie a porté plainte, une enquête est en cours.
C'est de pire en pire... Attaquer une boucherie parcequ'elle vend de la viande de porc!!!! C'est une blague!! Et après il ne faut pas faire d'amalgame....Raz le bol de ces racailles qui savent qu'ils ne risquent rien, puisque la justice française est tjrs de leur côté. Continuons comme ça et une guerre civile nous pend au nez parceque les gens vont se défendre eux même..et ce sera encore de leur faute...
Signaler RépondrePendant ce temps le maire est occupé à poser des parpaings pour construire la mosquée de gerland.
Signaler RépondreIl faut quand même dire que c'est de la provocation de vendre du porc dans le 8ème.
Signaler RépondreNous appelons à l'apaisement, et demandons au boucher de déménager.
Par ailleurs la mairie s'engage à y installer un bac à compost et une piste cyclable afin d'apaiser les esprits.
Certainement des pro vegan agressifs!
Signaler RépondreTendons l'autre joue.
C'est bon enfant il faut que la jeunesse se fasse. Paix et amour et n'oubliez pas de sauver la planete votez EELV.
Signaler RépondreC'est beau le vivre ensemble.
Signaler RépondreOn leur apprend dès le berceau a haïr les autochtones du pays qui pourtant les accueille et les nourri.
Une engeance a renvoyer dans un pays ou ils se sentiront bien, où aucun commerçant ne vend une viande non approuvée par les écrits d'un pékin qui affirme parler au nom d'un dieu imaginaire.