Dans son édition mensuelle du mois d’octobre, LyonMag se faisait l’écho de sa victoire à l’issue de son long bras de fer contre l’ancienne maire du 1er arrondissement qui poursuivait notre rédaction pour diffamation.
Ce mardi, c’est un nouveau revers que révèle Salade Lyonnaise. Il concerne la procédure de Nathalie Perrin-Gilbert engagée contre Jean-Pierre Bouchard, son adjoint de l’époque. Lui aussi était poursuivi pour diffamation après avoir, lors d’une conférence de presse, indiqué que l’élue employait des "techniques raffinées, parce qu’elles sont anciennes, de harcèlement" et des "méthodes d’humiliation". Jean-Pierre Bouchard avait été condamné en première instance à une amende de 1000 euros, et devait verser à NPG 1500 euros au titre des dommages et intérêts et 2000 euros en remboursement des frais d’avocat.
Après avoir perdu en appel, Nathalie Perrin-Gilbert, défendue par Me Alain Jakubowicz avait traîné l’affaire devant la cour de cassation. Et cette dernière vient donc de se prononcer contre l’adjointe de Grégory Doucet. Le pourvoi de cette dernière n'est pas admis, et elle devra également verser 2500 euros à Jean-Pierre Bouchard.
En tout cas, au Petit Bulletin et à Radio Nova, ils la trouve géniale.
Signaler RépondrePerso, j’appellerais pas ça un « placard ». Par contre, c’est vrai qu’elle est très... « apaisée » depuis qu’elle a le poste. La soupe tiédasse des bobos d’EELV et leur politique en direction des privilégié.e.s ... Ça n’a pas trop l’air de la heurter. L’ex gauchiste a retrouvé les bonnes vieilles habitudes de pantouflage du PS.
Signaler RépondreElle s'en fout, elle a un beau placard doré maintenant :o)
Signaler RépondreJP Bouchard a perdu en première instance car le dossier était vide et il n'a pas pu démontrer les pratiques de harcèlement de NPG.
Signaler RépondreEn appel, il a changé de ligne de défense et s'est appuyé sur le droit européen qui accepte que des éléments donnés soient faux ou erronés dans le cadre d'un combat politique. Il a donc gagner le droit de diffamer.
Et NPG n'a plus que ses yeux pour pleurer.
Merci d'avoir précisé le nom de son avocat... ce n'est pas anodin!
Signaler RépondreProfiteuse des deniers publics, sa spécialité depuis 30 ans
Signaler RépondreNPG à la kultur c'est déjà le gros budget sorti des caisses municipales !
Signaler Répondre....la Belle, Nathalie la rebelle..femme d'expèrience, de probité et de combat..ah, vous avez de la chance lyonnaie d'avoir une telle battante, on voit tout votre altruisme dans votre vote aux minicipales et métropoles
Signaler Répondre"Si 2020 a souri électoralement à Nathalie Perrin-Gilbert,"
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2020 n'a pas souri électoralement à NPG qui n'est même pas arrivé en tête dans "son" 1er arrondissement et qui n'a fait que 10% sur Lyon, c'est plutôt G.Doucet qui lui a fait un beau cadeau avec ce beau lot de consolation qu'est son poste d'adjointe à la culture...
NPG confirme ses méthodes de gestion déjà prisent à la mairie du 1° avec son équipe dan les années 90 !
Signaler RépondreExcellent résumé !!!! Ptdr !!!!!
Signaler RépondreDommage que ce type de condamnation, ne puisse être incompatible avec l'exercice d'un mandat électif...
Non seulement les pastèques n'ont aucune légitimité avec leur 15% d'électeurs, mais en plus ils trimballent des gamelles...
Avant le fin de leur mandat, ils pourront s'associer avec Balkany pour ouvrir un magasin de casseroles !!
Ah bataille de gauchistes !!!!
Signaler RépondreL arroseuse arrosée...........
Signaler Répondreil doit être de mauvaise humeur le ténor du barreau !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Signaler RépondreCette personne fait bcp pour l'égalité des sexes... Elle démontre qu'une femme peut avoir les pires défauts des hommes politiques... Bravo
Signaler RépondreNPG démission
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