Ils ont été plusieurs milliers à répondre présents à l'appel des différentes organisations syndicales pour rendre hommage à Samuel Paty, le professeur assassiné ce vendredi dans les Yvelines. Selon les derniers chiffres, plus de 12 000 personnes étaient présentes place Bellecour. Le maire de Lyon Grégory Doucet était présent, ainsi que de nombreuses personnalités politiques comme Bruno Bernard, président de la Métropole ou Anne Brugnera, députée LREM du Rhône. Le préfet Pascal Mailhos a également participé au rassemblement place Bellecour.
Vers 15h10, la foule a applaudi longuement le professeur de 47 ans assassiné ce vendredi. A travers les "claps", certaines personnes ont scandé le nom de Samuel Paty. Ensuite, l'intersyndicale a tenu un bref discours, avant qu'une minute de silence soit respectée.
Après un moment de flottement, vers 15h30, la foule a pris la direction de la place des Terreaux pour une marche silencieuse, ce qui n'était pas prévu. Les policiers ont même confié avoir été surpris. La Marseillaise a également été chantée lors de cette marche silencieuse.
Le cortège doit ensuite reprendre la direction de la place Bellecour selon la police.
A noter qu'un homme a été interpellé après avoir provoqué le cortège et les forces de l'ordre. Son discours était décousu, il a toutefois lancé aux manifestants qu’il allait "les aligner".
#SamuelPaty Le cortège à l'arrêt après l'interpellation d'un homme venu provoquer la marche #Lyon #JesuisSamuel #jesuisprof @lyonmag pic.twitter.com/VN5wn8Um2b
— Amélie Deloraine (@AmelieDeloraine) October 18, 2020
On s en fou.
Signaler Répondreune manif bien blanche, pas de chances
Signaler RépondreRDV dans un mois au prochain attentat
Signaler RépondreLa france a peur...
Signaler RépondreTous ces complices de l'islam au quotidien qui viennent rendre hommage ça fait gerber.
Signaler Répondreencore une une récupération politique qui médiatique d'un fait divers 10 million de personnes vivent tous les jours ensemble sans la moindre souci bien sûr de média profite pour cacher la vraie misère et le nombre de licenciement total de l'État pour la gestion du covid-19
Signaler RépondreIl y a du progrès, la dernière fois, en 2015, la Marseillaise avait été étouffées par les bobos!
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