Les juges étudiaient la demande de condamnation de Pascal Neveu réclamée par Nordahl Lelandais. Le tueur présumé de la petite Maëlys et du caporal Arthur Noyer estimait avoir été diffamé par l'expert psychologue intervenant dans l'émissions "Crimes et faits divers" présentée par Jean-Marc Morandini sur NRJ12. Pascal Neveu l'avait traité de "prédateur (...) qui veut sentir sa proie".
La demande de Nordahl Lelandais n'a pas été appuyée par le procureur de la République, la diffamation n'a donc pas été établie par le tribunal lyonnais selon le Progrès.
Je dis ça en passant...
Signaler RépondreAu commissariat de (. existe plus )
Dans une pièce noir on faisait rentrer un truand qui assassinait et la a coups de poing les flics s occupait de son matricule... Et jamais de plainte......
Mais maintenant cette une justice a
L américaine... Voyez le résultat....
Si Dupont-Moretti n'avait pas été occupé à Paris, il aurait pu s'occuper de l'affaire.
Signaler RépondrePauvre bichon qui ne supporte pas qu'on appelle un chat "un chat".
Signaler RépondreHeureusement ! Les assassins réclament la condamnation de ceux qui les décrivent maintenant !
Signaler RépondreUne ordure totale cet individu.
Dans beaucoup de cas, le but de certains interrogatoires musclés étaient de faire "avouer" même ce que le présumé coupable n'a pas fait.
Signaler RépondreJe doute donc que se soit la meilleure méthode pour arriver à la vérité.
En tout cas dans le cas présent, la réponse de la justice à un sens, à la question "est-il un prédateur?" la réponse est claire, et assimilable à OUI.
...oui les "méthodes" d'interrogatoires étaient..très musclé..ce n'était pas un film, voir violente, d'ailleurs le juge Renaud lui-même fit part de sa "surprise" au vue de l'état de certains..mais alors lelandais porter plainte pour diffamation?! on rève..et oui si interro..musclé(!) il aurait peut-être avoué bien des "choses"..
Signaler RépondreLa justice n'a pas assez de moyen!!!!!
Signaler RépondreMais elle trouve les moyens pour ce genre de chose?
Un film oui mais Olivier Marchal, le réalisateur, est un ancien policier et connait bien leurs méthodes.
Signaler RépondrePour ce genre d'individu, si reconnu coupable, le supplice de la roue (regardez sur wikipedia pour voir en quoi ça consiste) me semblerait approprié.
Signaler RépondreNB: ne vous emballez pas, ce n'était pas une méthode de torture pour faire avouer... comme le croient certains.
Malheureusement on n' est plus dans les années 70 !! Maintenant les interrogatoires des criminels ce font avec café et croissants et c'est filmé , la police ne doit pas poser certaines questions , ne doit pas toucher un cheveux du suspect et doit parler correctement ... Donc obtenir des aveux c 'est quasi impossible !
Signaler Répondre"... Les méthodes des policiers lors des interrogatoires étaient alors très musclées, selon le film..."
Signaler RépondreUn film reste un film, avec sa part de fiction, de mise en scène.
Cette ordure ne doute de rien... Il tue, viole et aligne les cadavres mais voudrait qu'on parle de lui en termes "modérés" ! Et il se sent offusqué au point d'envoyer son avocat au charbon.. pour défendre son "honneur"...
Signaler RépondreDommage que la peine de mort (avec si possible torture préalable) ne lui soit pas applicable.
Je viens de voir le film "Les Lyonnais" d'Olivier Marchal. Une histoire sur un groupe de bandits dans les années 70s. Les méthodes des policiers lors des interrogatoires étaient alors très musclées, selon le film. Les suspects, durs à cuir, étaient tabassés pour les pousser à avouer.
Signaler RépondreJe pense que si c'était toujours appliqué aujourd'hui, on aurait obtenu des aveux et des précisions plus rapidement de Lelandais dans l'affaire Maëlys (et les autres), et ça l'aurait aussi dissuadé de porter plainte contre un journaliste qui l'a traité de prédateur.
Maintenant c'est avocat pour lui dire que dire et ne pas dire, et médecin pour vérifier que le suspect est bien traité, tout au long de la garde à vue.
Ma foi...