Les HCL ont publié ce mardi leur point hebdomadaire concernant la situation sanitaire à Lyon. En une semaine, le nombre de dépistage et le nombre de cas positifs ont baissé. Sur les sept derniers jours, 2 856 personnes ont été testées positives, contre 3 549 la semaine précédente. Le taux de positivité a baissé pour atteindre les 18,9% contre 19,4% il y a une semaine et même 20,9% il y a 15 jours.
Malgré ces quelques signes encourageants, la deuxième vague poursuit sa progression et la tension hospitalière est toujours aussi forte, avec 783 patients pris en charge ce mardi aux HCL, contre 729 la semaine dernière. Parmi eux, 152 se trouvent en réanimation. Un service désormais occupé à hauteur de 87,1%, dont 64,1% par des patients Covid+, et ce alors que le nombre de lits ouverts en réa continue de progresser, pour atteindre les 272 (contre 237 le 3 novembre).
Depuis le 19 octobre, 11 patients issus de réanimation ont été réalisés dans la région, et 35 hors de la région Auvergne-Rhône-Alpes, précisent les HCL.
On notera par ailleurs une baisse des appels au Samu pour motif Covid (21,4% contre 26,4% la semaine dernière) ainsi qu'un fléchissement du nombre de passage aux urgences en lien avec l'épidémie (25,58%, contre 27,66%).
pourquoi les cliniques privees ne jouent pas plus le jeux ...c'est honteux !
Signaler RépondreExactement et celle aussi de l’incompétence, que seul les élites françaises ont le secret .
Signaler Répondrela seule vague que je vois c'est la vague du MENSONGE
Signaler Répondrej'ignore les tenants et les aboutissants de cette décision (de ne pas réquisitionner les cliniques)... mais une chose est certaine, elle est le fait de l'ARS... pas des hôpitaux !
Signaler RépondreLa technocratie des incompétents de la république maconnique française.
Signaler RépondreQuand un gouvernement, impose ses lois , sans son peuple en prétextant milles excuses , cela s’appelle de la DICTATURE ´ . Douce , sournoise, discrète, mensongère ect... MAIS bien une dictature.
Signaler RépondreTout à fait d'accord
Signaler Répondre@ Covidation : quel rapport entre Covid et faschisme? Signé : un facho
Signaler RépondrePlutôt que de nous annoncer des vagues, on aurait pu nous annoncer un simple tsunami,cest bien plus anxiogène.
Signaler RépondreFaire les choses à moitié est une preuve d'affection venant d'un carriériste
je suis allé à l'hôpital natecia et beaucoup de chambres étaient vides à tous les étages
Signaler RépondreOn s en fou.
Signaler RépondreHonte aux hôpitaux publics qui refusent de laisser des patients au privé ! Marre de ces administratifs intellos qui dirigent le public ! Marre !!! Gueguerre inadmissible entre public et privé ! On en est là à cause des hôpitaux publics qui gèrent mal en refusant de laisser des patients au privé ! ras le bol
Signaler RépondreLes cliniques privées étaient prêtes à s'aligner sur le tarif de la sécu. Oui après si il vous laisse sur le trottoir, la France devrait s'en remettre sans peine
Signaler RépondreCe sont des choses qu'on ne sait pas. Mais en effet les hôpitaux sont devenus un business ! Bon courage à tous les soignants
Signaler RépondreMoi, contrairement à vous, je ne suis pas favorable au Covid19 et j'aimerais qu'on arrête d'en parler.
Signaler RépondreC’est bon, on peut rouvrir les bars !! Et même redémarrer la pompe à pognon de la « fête des lumières » version Vegas. Allez hop Greg, Bruno, c’est le moment où vous montez au créneau normalement...
Signaler RépondreLes fachos de la Guillotière
Signaler RépondreA votre avis qui va aller dans ces cliniques privées ? ça va être quoi les tarifs ? Il y aurait un marché pour les riches malades ?
Signaler RépondreLe professeur Raoult qui est bien aimé par bon nombre de fachos a dit qu'il n'y aurait pas de deuxième vague
Signaler Répondrebla Bla, concentrez vous sur votre mission plutôt que sur le conspirationnisme.
Signaler RépondreMerci.
Il n y a pas que Natecia, la clinique Mermoz dans le 8 eme accueille aussi des Covid, et ça ne date pas d 'aujourd'hui. ..
Signaler RépondreCe n'est pas une deuxième vague , mais la continuité de la première mal gérée ......
Signaler RépondreBonne maison pour les hôpitaux et leurs chiffres d’affaires. Les primes covid qui leur sont affectées, vous le Savez ?
Signaler RépondreTant mieux si ça baisse un peu... même si en réanimation ce n'est pas top. ! Le confinement n'est pas respecté, à Villeurbanne au gratte ciel énormément de monde dehors et de nombreuses voitures. En même temps Villeurbanne est surpeuplé !
Signaler RépondreCe confinement est une grande mascarade ! Les hôpitaux sont détruits depuis de longues années, restrictions et toujours restrictions donc pas étonnant que les hôpitaux soient blindés de monde.
Je trouve quand même bizarre qu'il a fallu attendre 15 jours avant qu'une clinique privée puisse ouvrir des lits "COVID".
Signaler RépondreEst-ce un pb coté Clinique Privé? ou une aversion du Privé à l'ARS?
Pendant ce temps là, 200 malades sont partis (à quel coût?) vers d'autres régions.