Au programme de cette prise de parole très attendue : un premier point d’étape sur le reconfinement instauré il y a maintenant quinze jours afin de freiner la deuxième vague du Covid-19 en France.
Alors que les derniers chiffres de Santé publique France sur l’épidémie ont fait état ce mercredi soir de 329 nouveaux décès à l’hôpital, un conseil de défense doit se tenir dans la matinée à l’Elysée afin de décider d’éventuelles annonces dans la soirée.
En début de semaine, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, avait mis en avant "trois scénarios possibles » pour ce jeudi. "Soit un maintien des règles telles que nous les connaissons aujourd’hui, soit un éventuel durcissement des règles sur certains points si cela s’avérait nécessaire, soit un éventuel assouplissement des règles sur certains points si cela s’avérait possible", avait-il précisé.
C’est finalement la piste d’un statut quo qui serait privilégiée par l’exécutif, notamment pour les commerces non-essentiels qui resteraient fermés au moins jusqu’au 1er décembre avant une possible réouverture mais avec des conditions bien précises.
Concernant une possible fermeture des lycées voire des collèges, la décision ne devrait finalement pas être actée ce jeudi.
Il sera également question du télétravail et du respect du confinement. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a envoyé en début de semaine une missive aux préfets afin de mettre en place un contrôle renforcé de façon "visible" avec des "points de contrôle fixes" et des "patrouilles dynamiques".
Selon un récent sondage Ifop, 60% des Français reconnaissent avoir déjà transgressé les règles de circulation durant le reconfinement.
le télétravail nécessite une préparation et un accompagnement ! : dans le confinement actuel, pour beaucoup, ce n'est pas à proprement parler de télétravail, mais de travail à domicile en mode dégradé ! des règles négociées concernant le télétravail sont nécessaires car il faut prendre en compte l’inadaptation du matériel de télétravail ou du bureau à domicile qui peut engendrer des risques physiques (musculo-squelettiques, visuels, électriques…) liés à leur mauvaise ergonomie ou à une installation défectueuse ; des risques psychologiques sont aussi importants : perte des limites entre vie professionnelle et privée ! : https://www.officiel-prevention.com/dossier/formation/fiches-metier/la-prevention-des-risques-du-teletravail
Signaler RépondreLes contrôles c'est à la Guillotiere, et dans les zones de non droit qu'il faut les faire et non faire ch... le pauvre travailleur (indépendant ou salarié) qui ne peut pas teletravailler et doit bosser pour vivre (lui a cette chance dans son malheur contrairement à ceux que l'on va faire crever économiquement à défaut de les faire mourir de la covid .l'un n'excluant pas l'autre).
Signaler RépondrePourquoi ne demande-t-on pas des comptes à nos maxi-tetes de gouvernants sur l'impréparation face à la deuxième vague. On découvre aujourd'hui que l'on n'a pas assez de personnel de qui se moque-t-on ?au fait les coiffeurs sont fermés mais nos élites lorsqu'elles passent à la télé n'ont pas un epi qui dépasse ni une racine blanche mal teinte...
Alors régime dérogatoire ?
Le soucis c'est les "petits chefs" qui justifient leurs jobs en effectuant du contrôle. Dans ce contexte ce job de "petit chef" n'a plus lieu d'être.
Signaler RépondreSeul les managers qui travaillent en équipe avec leurs équipes et produisent sont nécessaires.
Certaines entreprises n'ont aussi pas jouées le jeux et ont gardés des jobs en présentiel alors qu'ils étaient 100% "délocalisable" sur un lieu de télétravail. Pourquoi? A cause des "petits chefs" ou parce qu'ils sont encore dans la culture : Employé présent de 8h à 19h = bon employé
Les gens en général semblent s'être lassés d'entendre aborder le sujet du Coronavirus.
Signaler RépondreComment y remédier ?
Que pense faire l'état pour les CFE que les petits commerçants sont entrain de recevoir pour paiement en 12 2020, pour notre restaurant fermé, elle est de 4000 euros à payer en une fois car en juin la première moitié n'a pas été prélevée et NE ME PARLEZ PAS DE REPORT !!! et pourquoi que 250 relais routiers d'ouvert et pas tous les restaurants, c'est du n importe quoi et attendez le pire, à CARREFOUR GIVORS, une vendeuse est dans les rayons des soit disant "non essentiel" et elle dde aux clients ce qu ils veulent en article, elle leur passe l'article et ils partent en caisse avec, ABUS TOTAL !!!!
Signaler RépondreLa. Confiance des responsables au salarié non cadre pour le télétravail car plusieurs ETAM non pas remplis leur part en respectant leur travail
Signaler RépondrePour dévier sur l’aspect politique, la peur est un filon exploité par le néolibéralisme étatique, que l’État en question soit ou non démocratique.
Signaler RépondreIl est plus simple pour ce dernier de faire accepter à sa population des mesures qui compriment leur liberté pour un semblant de sécurité… histoire d’éviter les débordements qui pourraient bouleverser l’ordre établi.
Ces patrons, ou chefs dans l’administration, sont rongés par l’obsession du contrôle : ils aiment avoir leurs subordonnés sous la main et les infantiliser. Ça les rassure sur leur statut. ou ça donne un semblant sens à leurs bullshit jobs. Quand ils ne peuvent pas faire autrement, ils abusent de Skype pour s’introduire jusque dans les domiciles... Sinon, ils perdent totalement pied.
Signaler Répondrefaudrait que déja toutes les boites qui peuvent faire et sont obligées de le faire fasse que le télétravail soit considéré comme une faute si ils ne le font pas faire.
Signaler RépondreCa éviterait beaucoup déja cette propagation.
Les patrons voyous qui ne le font pas alors qu'ils ont la possibilité doivent être condamnés.
Un moment, il va falloir accepter qu'il faut continuer à vivre malgré ce virus dont on fait tout un pataquès. Toutes vos restrictions et discours anxiogènes ne changeront rien à l'affaire.
Signaler RépondreTableau manichéen, donc caricaturalement réducteur, avec le vocabulaire déplacé qui va avec (dictature). Pour vous prétendre au dessus du lot, il va vous falloir apprendre à raisonner dans la complexité plutôt que la facilité simpliste...
Signaler RépondreCes périodes de "confinements "nous auront apprises :
Signaler RépondreUne partie de la population est fortement égoïste et va contre les recommandations du gouvernement.
Nous avons un gouvernement de bisounours qui ne sait pas se faire respecter, qui manque d'autorité
A coté de tout cela, une autre partie de la population auraient souhaitée un état qui soit un peu plus dans la dictature.
Le plus salutaire, c'est simplement d'arrêter de penser à ce virus, ça sert strictement à rien. Et d'essayer de vivre sans.
Signaler RépondreJe l'espère.
Signaler RépondreIl faudrait aussi s’assurer que les élus locaux n’encouragent pas le laxisme, ni la confusion. Et qu’ils donnent l’exemple... Par exemple en ne maintenant pas en présentiel les conseils municipaux d’arrondissement. Doucet se croit immunisé aux critiques depuis qu’il s’est nommé président du conseil de surveillance des HCL ?
Signaler RépondreOn s’en souviendra longtemps du travail de sape caricatural du maire de la deuxième ville de France face à l’épidémie.
Merci Nostradamus.
Signaler RépondreVous parlez du Macronisme?
Signaler RépondreL'hystérie autour de cette maladie finira par retomber.
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