Tout juste une semaine après une première manifestation devant la préfecture du Rhône, commerçants, restaurateurs, hôteliers ou encore gérants de boîtes de nuit se donnent rendez-vous au cœur de la Presqu’île pour protester contre les mesures prises dans le cadre du confinement. Discours, minute de silence avec pancartes brandies, chanson sont notamment au programme sur la place Bellecour. Un cortège prendra ensuite la direction de la préfecture du Rhône en passant par la rue du président Edouard Herriot, la rue Grenette, le pont Lafayette et le quai Augagneur. Une délégation sera reçue à la fin de la manifestation.
Comme lundi dernier, les indépendants lyonnais seront vêtus de noir afin de protester contre les mesures prises dans le cadre du confinement, principalement la fermeture de leurs établissements et au bout les conséquences économiques. Parmi eux : les Toques Blanches lyonnaises, l’UMIH (Union des métiers et des industries de l’hôtellerie), la Fédération nationale de l’habillement ou encore l’UPSE (Union des Professionnels Solidaires de l’Évènementiel).
Hé Oui , et pour certains c'est du 100 % grande surface habillement compris
Signaler RépondreFaut être un peu gaga pour acheter dans cette catégorie de boutique comme vous dites. Sur internet tu paie le même article 3 ou 4 fois moins cher
Signaler RépondreIls ne veulent pas d'aide le l'état, au contraire, ils veulent juste qu'on les laisse travailler, tout simplement.
Signaler RépondreIl faut apprendre à lire un article et ne pas s'arrêter au titre :)
On verra , on verra ... Si les professions non essentielles seront aussi généreuses une fois les choses "se rétablissent " , vous savez j'espère qu'une grande partie de la population n'a pas le pouvoir d'achat pour consommer dans cette catégorie de boutiques
Signaler RépondreChère ANNABELLE vous osez comparez les restaurateurs, commerçants de tout bords aux gilets jaunes! Mais savez-vous seulement lire? Comprenez-vous ce qui se passe ou êtes vous encore bloquée en 2018!!!!!! Les commerces sont asphyxiés. Rien de rentre! Nada! Le gouvernement aide, certes, mais il faudra rembourser. Et rembourser avec quoi? Des noisettes?????
Signaler RépondreQuand on lit que le gouvernement ne compte pas la réouverture des restaurants et bars avant janvier.... on les comprend moi le premier. C’est toute une économie qui se fait la malle.
Signaler RépondreNon non leur première demande n'est pas des aides de l'Etat mais de pouvoir travailler en ouvrant leur commerce !
Signaler RépondreC'est tout le contraire des GJ...
réclamer de travailler sans en être empêché c'est demander la soupe?!
Signaler RépondreC’est bien, crachez dans la soupe... Tout en réclamant la soupe !
Signaler RépondreSoutien total pour une categorie qui n ont aucun filet de protection et qui a de bonnes raisons de se plaindre..
Signaler RépondreCa change des manifs perpetuelles de la fonction publique (Sncf edf,...) de ceux qui ont garantie de salaire et d'emploi .
Merci de nous rappeler cet aspect de l’histoire. Il y a effectivement de plus en plus de gens pour qui la solidarité est à sens unique. Pur opportunistes. En plus, ils ont tellement peu de jugeote, de respect et d’empathie que ça leur a pas paru déplacé de défiler avec... un cercueil ! Le comble !!
Signaler RépondreDifficile d’être empathiques avec des gens qui se comportent comme ça. En plus, certains ont des situations très confortables, et on dirait qu’ils demandent à l’Etat et à la population non pas d’assurer leur survie, mais de maintenir leurs gains (c’est pas forcément la même chose) indépendamment de la situation. C’est pas grave : c’est la Sécu qui payera !
Perso, je préfère préserver notre service public et notre système de santé déjà bien esquintés par les politiques libérales.
+10 000
Signaler RépondreCes mêmes indépendants qui qualifiaient les gilets jaunes de fainéants ou d'assistés viennent aujourd'hui pleurer l'aide de l'état, c'est risible.
Signaler RépondreIls n'ont donc honte de rien les meneurs de ce mouvement.
Bof! Il fallait respecter les mesures sanitaires avant. Ils n'auront ni mes larmes , ni mes sous.
Signaler RépondreOui, même déraison et manque de civisme.
Signaler RépondreEncore une fois, chacun voit son intérêt au détriment de l’intérêt général.
Dans les deux cas, le privé : les « indépendants » / les pratiquant d’une foi.
Pour les commerçants, on n’en attendait pas moins. Mais merci les catholiques pour l’exemple que vous donnez...
Les autres religions vont sûrement suivre.
Les hospitaliers et les familles impactées doivent s’arracher les cheveux !
Sacrée chanson!!! Vaut mieux manifester en silence parfois!!!
Signaler RépondreCombien de temps résisteront ils aux provocations ?
Signaler RépondreBravo! On est avec vous !
Signaler RépondreComme les cathos avec leurs manifestations dont les réclamations et les manifestations frôlent le terrorisme biologique.
Signaler RépondreMême les moyennes , dans le 7 inter , samedi c'était comme dans le métro ...mais c'est les affaires
Signaler RépondreEt pendant que les petits commerces sont fermées les grandes surfaces étaient blindées samedi après midi aucune limite d aces aucune distanciation
Signaler RépondreDeux points de vue qui s'affrontent :
Signaler RépondreLes pouvoirs publics qui veulent limiter la casse humaine
Les intérêts privés qui veulent limiter la casse économique en considérant que les gens iront de toute façon se contaminer ailleurs.
Gageons que comme à l'ordinaire, le privé verra ses pertes renflouées par le public alors qu'il garde jalousement ses profits...
Honte de rien.
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