Dans une élection dont le scrutin et la campagne se sont faits à base de distanciel, les étudiants étant toujours tenus à distance des locaux par les décisions gouvernementales (à part la bibliothèque universitaire de la rue de Chevreul, sur réservation), Nathalie Dompnier, présidente sortante de Lyon 2, va conserver son poste.
Un siège que n’a pas réussi à lui ravir la liste opposée, dirigée par le doyen de la faculté de droit, Guillaume Protière, et comprenant notamment l’ancien doyen de la faculté de sciences économiques, Nicolas Chaigneau. Les deux universitaires avaient fait liste commune pour cette élection (qui a dû être repoussée deux fois de suite par la faute du contexte sanitaire) après avoir soutenu Nathalie Dompnier en 2016.
Cette dernière pouvait se targuer d’un bilan qui a paru solide à la majorité des maitres de conférence et professeurs de l’université partagée entre le 7e arrondissement et la ville de Bron, malgré un contexte souvent agité. Elle remporte une très courte majorité parmi les enseignants ayant le grade de professeur (90 voix contre 86), plus large dans celui des maîtres de conférence (304 voix contre 219) et dispose donc d’une majorité de 10 sièges contre 6 à la liste adverse.
Tout comme le titre de président du conseil de surveillance des HCL de son Éminence Doucet est bien une preuve a posteriori de la pertinence de sa vision sanitaire.
Signaler RépondrePas très convaincantes vos explications. J'espère que Bruno Bernard (gloire à lui) va vite mettre son grain de sel bio dans tout cela, ça ça n'a pas l'air très éco-compatible.
Signaler RépondreAu nom de quoi il faut voir des diplômes ou des compétences pour un poste?
Les vice-présidente(s) de la Métropole n'ont pas de diplôme particulier pour leur poste et pourtant ils et elles ont été augmentés de 1000 euros dès le 1er mois, preuve de leur compétence!
Oui, bien sûr.... Et "l'alliance des universités", c'est quoi alors ? Et pour les personnels, tout le monde a compris ce qui se passera. Ne nous prenez pas pour des idiots.
Signaler RépondreAlors en fait vous êtes sur un site d'information local. Du coup vous trouvez des informations sur ce qui se passe dans votre ville. En l'occurrence le résultat d'une élection pour déterminer qui va diriger une université qui emploie 1700 personnes et compte 27 000 étudiants, ce qui commence à faire une belle boutique.
Signaler RépondreEuhhh, oui ... et alors.
Signaler RépondreC'est quoi une université ? c'est qui cette dame ? Et qu'elle est le sens de cette information ?
Ma tata a été élu délégué des parents dans l'école maternelle de sa fille. Pouvez-vous en parler !!!
D'une part Lyon 2 ne faisait pas partie de la fusion, d'autre part celle ci est tombée à l'eau après le vote négatif de Saint Etienne.
Signaler RépondreLa fusion tombe à l’eau. Et il n’a jamais été question que Lyon 2 disparaisse, de toute façon.
Signaler RépondreC'est bien l'université qui doit disparaître à terme après fusion s ?
Signaler RépondreIl aurait bien aimé caser Fabien Bagnon, ou alors quelqu’un de sa famille, mais Lyon 2 a été intraitable. D’une part, ça ne relève pas des prérogatives de la Métropole (ce qui est proprement scandaleux quand on y pense). D’autre part, le brevet d’aptitude en végétalisation, capitalisation et enfumage public décerné par l’université d’été d’EELV n’est pas reconnu : c’est de la discrimination !!
Signaler RépondreEnfin, il paraît qu’il faut être du métier et avoir fait ses preuves auprès de ses pairs. Alors que justement, Bruno veut faire de l’enseignement « autrement » !!
Bon, c’est pas si grave dans le fond parce qu’il paraît que ça ne rapporte pas beaucoup, et qu’en plus, on ne peut même pas s’auto-augmenter ! Quelle bande de ringards, ces universitaires...
Bruno Bernard ne s'était pas présenté? :(
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