Le Musée des Confluences tout comme le musée archéologique Lugdunum pourraient de nouveau accueillir ce week-end du public malgré l’interdiction du gouvernement de rouvrir les lieux culturels dans le cadre des mesures prises face à l’épidémie de Covid-19.
Si la Métropole et la Ville de Lyon ont envoyé le week-end dernier un courrier au Premier ministre lui demandant la réouverture des lieux culturels, les élus pourraient ne pas attendre une permission de l’exécutif.
"La décision de Jean Castex, sans concertation, de laisser fermer les lieux culturels, est injuste, non justifiée au niveau sanitaire, destructrice pour les acteurs culturels et les citoyens", écrivait ce dimanche Bruno Bernard, le président de la Métropole de Lyon, sur son compte Twitter.
On apprend par ailleurs ce mardi dans les colonnes d’Aujourd’hui en France que les services juridiques de la collectivité seraient en pleine préparation d’un dépôt de référé contre le maintien de la fermeture des lieux culturels jusqu’au mois de janvier.
Une conférence de presse sur le sujet en fin d’après-midi au musée Lugdunum avec les représentants de la Métropole et de la Ville ainsi que plusieurs acteurs culturels, comme la directrice du Musée des Confluences, Hélène Lafont-Couturier, ou encore Vincent Carry, directeur d’Arty Farty, devrait permettre d’en savoir plus sur la future action des dirigeants lyonnais.
En prison ces khmers verts
Signaler RépondreIls vont enrichir des avocats amis à faire des recours qui n'aboutiront pas. Un recours au conseil d'état, c'est des milliers d'euros de frais.
Signaler RépondreDésolé mais la culture passe après la faim et le chauffage . Et aujourd hui c est l essentiel qu'il va falloir et pour 2 ans ..
Signaler RépondreLes dettes sont bien là .
donc tout le monde produit de la culture?
Signaler Répondreje ne savais pas que nous pouvions tous prétendre au statut d'intermittent!!
le ministère de la culture doit donc financer l'industrie (et donc l'économie) et pas la création?
c est tres étrange comme point de vue...
Exemples : jean Levi Strauss et le rock 'n roll, produits du prolétariat et d'un peuple historique opprimé aux Etats-Unis.
Signaler RépondreMdr , toi tu as tout compris ...disons que c'est plutôt l'inverse la soit disant "culture" est un produit pour le marché pour une catégorie sociale qui à de l'argent et du temps à consacrer au domaine sacré et fabriquer "l'art" . Le peuple invente sa culture , la développe pour se divertir , s'amuser , fêter , revendiquer , lutter ... sa création prend son origine dans ses souffrances , ses joies , ses doutes (blues, musique, street art , textes ,affiches...) .Le marché se l'approprie , la dévore , la digère et la régurgite en "culture de grande consommation" (ex: mode vestimentaire) voir en soit disant art . Pour créer il faut une source que la caste bien pensante ne peut connaître qu'à travers l'artificiel...la culture appartient au peuple et ne peut être statique comme le patrimoine
Signaler RépondrePourquoi voit on des émissions de télé ex : Nagui , et autres ? On ne comprend pas , pourquoi deux poids deux mesures. .
Signaler RépondreLa culture n'est ni protocolaire, ni punitive.
Signaler RépondreTout le contraire de l'idéologie de nos écologistes soit dit en passant.
Très bonne analyse , complètement d'accord .
Signaler Répondrejuste en passant
Signaler Répondrela culture n a rien a voir avec le loisir!!!!!
les soirées techno/rap/rock, les bars, les boites, le cinema et ses Blockbusters... ce ne sont pas de la culture, mais du loisir, basé sur l'exploitation d'outils dont certains sont culturel
(a considérer que Gims et autres produits soient de la culture)
la culture fait partie de notre patrimoine... a ce titre, il faut financer la production, mais pas son exploitation! Ainsi, il est tout a fait légitime de financer les danseurs d'une école/troupe/opera, les musiciens d'un conservatoire/label/orchestre
mais en aucun cas le débit de boisson ou le déhanchement sur une piste de dance ne sont un produit culturel...
on voit surtout le monde de la nuit se rebiffer et exiger l'exercice de son métier, et pas une idée de la culture!