Les faits se sont déroulés ce mardi en début de soirée. Ce sont des témoins qui auraient permis d’éviter le drame. "L’étudiante va bien et a été prise en charge", a fait savoir le Crous Lyon sur Twitter. Plusieurs syndicats ont par ailleurs appelé la ministre de l’Enseignement supérieur, Frédérique Vidal, à réagir.
Selon le Figaro, la jeune femme serait une étudiante étrangère de 23 ans en droit de l’université Lyon 3. "C'est un choc, ces suicides montrent que la situation de souffrance est beaucoup plus importante que ce que nous pressentions. Comme l'ensemble des professeurs et des étudiants, je suis en état de sidération par rapport à ce qui se passe. On sait la souffrance des étudiants, et la mobilisation est générale", a réagi auprès du journal le doyen de la faculté de droit Hervé Gaudemar
Il s’agit de la deuxième tentative de suicide d’un étudiant lyonnais en l’espace de quelques jours. Dans la nuit de vendredi à samedi dernier, un jeune homme en Master de Droit à Lyon 3 s’est jeté par la fenêtre du 5e étage d’une résidence universitaire à Villeurbanne.
Nouvelle tentative de suicide d'une étudiante lyonnaise, confirmée par le @CrousLyon.
— Idexit (@IdexitLyon) January 12, 2021
L'étudiante n'est plus en danger et est prise en charge. Nous lui disons tout notre soutien, à elle, à ses proches, aux étudiant⋅es de sa résidence universitaire.https://t.co/xvJO0dU4s2
D'où ton commentaire mal torché
Signaler Répondredernière précision le papier toilette n'existait pas en 1960 on découpait des vieux journaux
Signaler RépondreVas relire le texte .... c'est très clair. il y a bien tentative de suicide par défenestration .... Ce sont ses camarades qui l'en ont empêché.
Signaler RépondreIl n'y a pas tentative de suicide puisque qu'elle n'a fait que menacer de se jeter par une fenêtre.
Signaler RépondreC'est important de faire la nuance je pense,ne serait ce par respect des réels suicides ou tentatives!
Manque de réalisme, pardon !!??
Signaler RépondreJ'y ai passé 4 ans, dans une chambre du CROUS, donc je suis très bien placé pour savoir comment on y (sur)vit.
Maintenant, effectivement, peut-être que je n'ai pas votre expérience de cellule pour me rendre compte de la chance que j'ai eu d'avoir pu partager avec 10 autres personnes de l'étage le seul WC dispo.
Quant au prix de la liberté...je crois qu'il suffit de ne pas faire de (grosses) conneries pour ne pas finir derrière de vrais barreaux, donc effectivement, je ne vais pas les plaindre.
La société de soumission engendre les moutons de demain.
Signaler RépondreEt peut-être aussi que tu en as la clé... Non ?!
Signaler RépondreQue tu critiques ces conditions de logement et ce qu’elles impliquent en situation de confinement (ce qui n’est pas le cas actuellement), c’est une chose, mais que tu fasses une telle comparaison, ça en dit long sur ton manque de réalisme. En plus ça aboutit à relativiser les conditions de détention des prisonniers. Je vous plains de vivre dans ces conditions, même si moi j’ai dû squatter. Mais faut arrêter avec ce genre de conneries svp !!
Pourquoi, pour que les chambres du CROUS ressemblent encore plus à des prisons ?
Signaler RépondreLa seule différence entre une cellule et une chambre du CROUS, c'est qu'on est tout seul dans nos 9m2 avec lavabo et qu'on paye 200€ pour y dormir.
l instinct de survie n'est plus ce qu'il etait
Signaler RépondreCombien de suicides en France en 2020 ? La morosité ambiante est alarmante.
Signaler RépondreIl va falloir finir,par mettre des barreaux aux fenêtres de toutes les universités,si ça continue...c est grave comment les gens sont dans la détresse !
Signaler RépondreIl semblerait que ce soient suite aux examens qui ont été mal gérés par leur université ainsi que les cours qui vont avec , quand ils ont eu la chance d’avoir des professeurs qui n’ont pas été irrespectueux pendant l’examen
Signaler RépondreQue tous les jeunes en souffrance matérielle et psychologique fassent l’objet d’accompagnement, oui. Mais pourquoi imaginer que les étudiant.e.s souffrent plus de l’isolement et du chômage, si tant est que ce soit le cas dans les deux tentatives récentes, que tou.te.s les autres jeunes dans la même situation ? Pourquoi faire la différence ? Les étudiant.e.s sont a priori moins isolé.e.s et mieux encadré.e.s que les autres, même s’il y a des progrès à faire. Cette distinction (hiérarchie ?) au sein de la jeunesse est choquante.
Signaler RépondreLes responsables de cet ignoble confinement devront répondre de bien des crimes.
Signaler RépondreC'est un phénomène bien connu en psychiatrie depuis 1 siècle appelé "contagion des suicides".
Signaler RépondrePlus on en fait des caisses sur un suicide plus encourage les autres suicidaires à passer à l'acte.