Le président LR d'Auvergne-Rhône-Alpes demande à ce que "le discours laisse la place aux actes" : "Sont en jeu 150 000 emplois. Trop attendre condamnerait des centaines de commerces et d’entreprises".
L'élu demande de fixer un nouveau rendez-vous, sous huit jours, pour évoquer les modalités de mise en œuvre du plan d'urgence. "Il a été demandé que les aides pour les saisonniers soient calculées sur une base de 42 heures (contre 35 actuellement) afin qu’elles concordent avec la réalité de leurs contrats", précise par exemple Laurent Wauquiez.
D'autres demandes, sur le calcul du fonds de solidarité et ses critères d'attribution, ont également été réalisées. La question des professionnels de santé des stations a également été abordée, "alors que la fermeture des remontées mécaniques les touche directement et entraîne une forte baisse de leur activité. Il est indispensable de préciser le plan d’accompagnement qui pourra être mis en œuvre"
Laurent Wauquiez, qui se considère comme "le porte-parole" des professionnels de la montagne, a également plaidé pour la création d’un comité de pilotage de crise, par massif.
"L’ensemble des acteurs de la montagne, qui attendent des réponses concrètes du gouvernement et des compensations à la hauteur des pertes subies, seront vigilants et constructifs sur la mise en œuvre d’un plan qui doit leur permettre de surmonter la crise qui nous frappe. Ensemble, nous voulons sauver la montagne" a déclaré le président de la Région.
C'est vrai que quelqu'un qui n'a jamais rien fait peut demander aux autres d'aller travailler-merci wauquiez pour vos leçons et pour votre générosité avec l'argent public
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