C'est dans ce bus 100% électrique que Barbara Pompili, la ministre de la transition écologique, avait été accueillie par Bruno Bernard, président de la Métropole de Lyon et du Sytral, et Grégory Doucet, le maire de Lyon, le 11 février dernier lors de son déplacement à Lyon. Pour autant, même si elle "soutient moralement" les élus écologistes, cela ne semble pas aller plus loin. "L'Etat, au-delà du discours et des intentions, ne subventionne pas les transports publics à hauteur suffisante. Par exemple, ces bus sont financés à 100% par le Sytral. On a besoin que l'Etat s'engage beaucoup plus fortement", lance ce jeudi Bruno Bernard présent pour l'occasion au dépôt Alsace à Villeurbanne.
Dès le mois de mai, 17 nouveaux trolleybus électriques à batteries, d'un coût de 950 000 euros hors taxes pièce, vont être déployés sur la ligne C13, qui relie Grange Blanche dans le 8e arrondissement de Lyon à Caluire-et-Cuire (Montessuy). "Ces trolleybus ne sont pas obligés d'être perchés en permanence, ils seront beaucoup plus autonomes", explique l'élu. Concrètement, ces nouveaux véhicules nouvelle technologie, équipés notamment de prises USB pour les passagers, peuvent rouler sur 40% de leur trajet en toute autonomie, sans ligne électrifiée, grâce à la technologie IMC (In Motion Charging). Les batteries sont directement rechargées lorsque le bus est raccordé aux lignes aériennes, ce qui lui permettra de s'affranchir des déviations notamment et des zones de travaux. Cette nouvelle flotte permettra également d'augmenter de près de 30% la capacité de cette ligne.
Au total, 34 de ces bus ont été commandés par le Sytral. Les autres viendront équiper la ligne C11, entre Saxe et Laurent Bonnevay, d'ici la rentrée. "Près de 400 véhicules aux motorisations GNV ou électriques rejoindront le réseau de bus d'ici 2026. Ils contribueront à renforcer sa performance tout en offrant plus de capacité et de confort à l'ensemble des voyageurs", ajoute Bruno Bernard.
L'objectif du Sytral est désormais de supprimer les bus thermiques du réseau et laisser place à des "bus propres" : "Nous allons déjà enlever la moitié de ces bus dans le mandat, mais l'objectif est bien de tous les supprimer à moyen, long terme" conclut le président du Sytral.
À Amiens, ce n'est pas la même technologie ni le même constructeur.
Signaler RépondreEt un trolleybus, ça coute cher...
Les écologistes fraîchement élus à Lyon et dans la Métropole font peine à voir.
Signaler RépondrePour les problèmes de sécurité : il faut que l'Etat mette à disposition plus de policiers nationaux (la ville oublie qu'elle gère la police municipale...).
Pour les problèmes de transport, la Métropole et le SYTRAL se plaignent que l'Etat ne subventionne pas les bus propres. Et en même temps, ils font des cadeaux sur les titres de transports à certaines catégories d'usagers, geste purement démagogique. Forcément, les rentrées d'argent sont moindres et les investissements difficiles.
Il va falloir que nos élus assument PLEINEMENT leurs responsabilités et cessent de compter sur l'Etat pour financer les politiques locales !
Il n'y a pas de trolleybus à Amiens.
Signaler RépondreVous semblez confondre GNV et GPL, ce qui est interdit dans certains parkings ce sont seulement les véhicules au GPL "non munis de la soupape de sécurité" sur leur réservoir, laquelle est obligatoire depuis 2001.
Signaler RépondreTout véhicule au GPL homologué dispose de cette soupape et peut être garée comme n'importe quel autre véhicule thermique. Moins polluant que les diesel et essence d'où la vignette Crit'Air 1, d'ailleurs.
Pour info je roule depuis 23 ans au GPL et je n'ai jamais eu aucun problème pour me garer, parkings public ou garages d'immeuble.
Les voitures particulières au GNV sont, elles, extrêmement rares.
C'est aussi vrai pour les parcs de stationnement, RIEN dans les sous sols d'habitation et su(hyper marchés ! ? ? ?
Signaler RépondreStp renseigne toi... avant d’interpréter ce qui est écrit dans ce texte malgré ton très bon copié-collé.
Signaler RépondreCe que l'on dit seulement c'est que ce projet existe depuis longtemps et de mémoire à été définitivement été adopté en 2019 alors que ce Mr fait comme si il avait pris cette décision, pardon si il veut avancer à un plus vite que sa prédécesseur, c'est la seule différence.
Vous ne faites que confirmer ce que je dis : soit c'est BB soit c'est la personne qui écrit soit c'est les 2 qui ne savent pas que la motorisation GNV est bien une motorisation thermique.
Signaler RépondreBref comme toujours pas moyen de remettre un peu de précision dans le verbiage médiatique
Imaginons maintenant de préciser que le GNV est une énergie fossile sauf s'il s'agit de biométhane (biogaz épuré) que l'on désigne sous le terme de bioGNV.
1 million d'euros pièce...400 bus à changer...sont trop fort les suisses...par contre BB je pense que tu devrais recruter des acheteurs et des experts au sein du Sytral
Signaler RépondrePour avoir roulé dans des véhicules Hess (fabrication suisse) en Suisse, ils sont très largement meilleurs que les trolleybus circulant à Lyon actuellement (fabrication française). Je vous invite réellement à tester la différence.
Signaler RépondreComme quoi, les suisses sont meilleurs que nous...
Les bus au GNV existent depuis longtemps, certes ils sont thermiques mais polluent beaucoup moins que le gasoil. Idem sur les paquebots d'ailleurs, qui commencent à être équipés au GNV (gaz naturel de ville). C'est un bon compromis, comme le GPL (gaz de pétrole liquéfié).
Signaler RépondreJ'avoue ne plus savoir qui est le plus incompétent : BB ou la personne qui écrit.
Signaler RépondreDans le dernier paragraphe il est écrit :
"Près de 400 véhicules aux motorisations GNV ou électriques rejoindront le réseau de bus d'ici 2026. Ils contribueront à renforcer sa performance tout en offrant plus de capacité et de confort à l'ensemble des voyageurs", ajoute Bruno Bernard.
L'objectif du Sytral est désormais de supprimer les bus thermiques du réseau et laisser place à des "bus propres" : "Nous allons déjà enlever la moitié de ces bus dans le mandat, mais l'objectif est bien de tous les supprimer à moyen, long terme" conclut le président du Sytral."
Pour mémoire GNV = gaz naturel véhicule et il faut un moteur thermique pour utiliser ce carburant.
Comment peut ton dire (BB) ou laisser dire sans commentaire (la personne qui écrit) que l'on va supprimer les bus thermiques quand on en achètent des nouveaux.
Les études ont toutes été faites en France
Signaler RépondreLes études ont été faites à Lyon
Signaler RépondreEn espérant qu'ils n'auront pas à subir les pannes récurrentes suite aux froids comme à Amiens .....UNITILISABLES
Signaler RépondreLe problème pour les GNV, tu peut pas les mettre dans tout les véhicules, les dépôts compatible au GNV sont (Vaulx en Velin, Vaise, Givors) , car aucune habitation autour proche.
Signaler RépondreVous avez sans doute raison, mais devant les insultes je reste neutre , d'autant que je me fous que la France soit bénéficiaire ou pas de l'industrie écologique !!!! Il faut me comprendre Monsieur .....
Signaler RépondreSvp, faites un effort...
Signaler Répondre« "Près de 400 véhicules aux motorisations GNV ou électriques rejoindront le réseau de bus d'ici 2026. Ils contribueront à renforcer sa performance tout en offrant plus de capacité et de confort à l'ensemble des voyageurs", ajoute Bruno Bernard.
L'objectif du Sytral est désormais de supprimer les bus thermiques du réseau et laisser place à des "bus propres" : "Nous allons déjà enlever la moitié de ces bus dans le mandat, mais l'objectif est bien de tous les supprimer à moyen, long terme" conclut le président du Sytral. »
Si vous ne commentez pas ce qui est écrit mais ce que vous avez envie de comprendre, c’est sûr, vous avez toujours raison.
Merci, je pensais que l'écologie profiterait aux entreprises françaises , et donc à l'emploi, dans tous les domaines notre retard est considérable, sauf pour construire des stades,des salles de spectacles..
Signaler RépondreQuelle décadence !!!
Il a pourtant raison. Une telle décision ne se prend pas en moins d’un an et encore plus pour se doter de ces bus !
Signaler Répondrej'aime bien les commentaires des uns et des autres...
Signaler RépondreVous avez tellement besoin de passer vos nerfs que vous ne lisez ni les articles, ni les commentaires avant de dégainer...
Signaler RépondreQuand le président du SYTRAL annonce "Nous allons déjà enlever la moitié de ces bus dans le mandat, mais l'objectif est bien de tous les supprimer à moyen, long terme", il oublie comme souvent que la métropole ne se limite pas au 3 ou 4 communes du centre.
Signaler RépondreComment peut il espérer se passer de motorisation thermique pour desservir les communes de la périphérie quand elles ont la chance d'être desservies ?
C'est vrai qu'il ne doit pas savoir que l'on existe puisqu'il ne daigne pas se déplacer pour voir ce qui se passe en dehors du centre.
Il découvrirait les vieux bus qui tombent en panne, les fréquences faibles et l'absence totale de circulation (hors covid) le soir et le week end, les joies de la neige l'hiver (plus rien pour se déplacer en TC) et de la chaleur l'été (pas de clim dans les vieux bus), l'impossibilité de se rendre d'une rive à l'autre du rhone au sud de lyon, etc...
Avec la généralisation du télétravail, il faudrait qu'ils pensent à réduire les effectifs au cytral et les moyens.
Signaler Répondrepas sure qu'il y ait encore beaucoup d'abonner la saison prochaine.
Les abonnements pro ont fondu comme neige au soleil en décembre suite aux impacts du confinement, les travailleurs ont du payer des abonnements jusqu'à la fin de l'année pour des services non utilisés. Avec en moyenne 3 Jours de télétravail par semaine dans le tertiaire, il n'y aura plus d'abonnement annuel, au plus des tickets au cas par cas. si ce n'est le retour à la voiture ou vélo par beau temps….
gouverner c'est prévoir, ont-ils une longue vue...pas sure
HESS, constructeur Suisse ;
Signaler RépondreParce que vous pensez que c'est EELV qui a décidé d'acheter des bus électrique.???? Cela a été décidé avant qu'ils arrivent à la mairie.... Soyez en sur.
Signaler RépondreQui fabrique ces bis? Peut-on espérer que cela crée des emplois?
Signaler RépondreLes lyonnais vont prendre cher : augmentation de la fiscalité d’Etat + de la fiscalité locale !!
Signaler RépondreVa falloir taper dans le livret A.
Et en plus, au terme de six années de pouvoir, avec leur délire d’endettement eelv laisseront les finances de la ville dans une situation qu’elle n’a jamais connue et dont on mettra au moins 2 ou 3 mandats à se relever (pour peu que les mêmes ne soient pas réélus).
Les jeunes dans la vingtaine qui ont voté pour eux ont intérêt à avoir papa-maman derrière eux parce que sinon, ils vont comprendre leur tragique erreur dans les années qui viennent. Au-delà du bla bla gentillet, la dure loi de l’économie.
Ca fait cher pour se passer de la ligne électrique aérienne du trolleybus. Quant à la production et au recyclage de la batterie... pas sûr que le bilan global soit très écolo... le GNV peu polluant et sans odeur, pour remplacer le diesel, est une bonne chose.
Signaler Répondre«quoi qu'il en coûte» pour BB comme pour EM !
Signaler RépondrePeut-on espérer qu'il sera possible d'aller de Grange Blanche à la Croix Rousse sans devoir changer de bus aux Terreaux? Ce serait un bon progrès.
Signaler RépondreMDRRRRR le gars fait comme si c'était grâce à lui que ces bus arrivent sur le réseau ! Ils vont me tuer de rire avant la fin de leur mandat ces verts !
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