L’idée est simple. Demander à des entrepreneurs de financer des repas pour les étudiants lyonnais. Les deux frères souhaitent proposer gratuitement un menu d'une valeur de 14,50 euros aux jeunes "pour leur faire oublier un instant les banques alimentaires", nous explique Claude Barbet. "L’objectif est que des entrepreneurs financent, via nos restaurants, des repas pour les jeunes en difficulté. Ça nous permet également d’avoir du travail et du chiffre d’affaires", ajoute le restaurateur.
Mais derrière chaque bonne action se cache, bien souvent, une polémique. Certains reprochent aux deux frères de vouloir se faire de l’argent sur le dos des étudiants, ce que réfute Claude Barbet : "Oui, nous allons faire du bénéfice sur ces repas. Sur chaque menu, il va nous rester environ quatre euros. Mais nous sommes également en crise. Cette bonne action profite à tous : à nos étudiants, à nos fournisseurs et à nous".
L’opération a été lancée ce vendredi et déjà une trentaine d’entreprises ont répondu à l’appel. Un entrepreneur s’est déjà engagé verbalement à mettre 10 000 euros pour ces repas. "Peu importe la somme, l’idée est d’aider. On a des étudiants dans le tracas, nous on a du réseau, donc autant s’en servir", ajoute-t-il.
A l’image du "café suspendu", les frères Barbet veulent lancer le concept du "menu suspendu". Claude Barbet appelle également d’autres restaurateurs à le suivre dans cette action. Leur objectif est de proposer des repas d’ici deux semaines aux étudiants en les redistribuant par l’intermédiaire des facultés et des associations étudiantes.
Bientôt un MOF va proposer son repas à prix cassé : seulement 50 € pour mettre un peu de baume au cœur des bénéficiaires du RSA.
Signaler RépondreQuand ont veut réellement, aider les autres , ont le fait , sans le crier sur les toits. Ils ont pas des têtes de portes bonheurs, mais plutôt de beaux menteurs .
Signaler RépondrePersonnellement ,j’ai aidé beaucoup de personne , comme les vrais humanistes et je n’ai RIEN demandé à personne. Ceux qui demandent de l’aide , sentent tous le souffrez a plein nez , paroles de baroudeur.
Signaler RépondreMessieurs les méfiants
Signaler RépondreJe connais les frères Barbet qui portent en eux de vraies valeurs humaines. Bien sûr qu’il faut essayer de sauver les commerces et l’emploi des salariés, mais de là à imaginer que Julien et Claude se servent des besoins d’étudiants pour se faire du fric, c’est juste n’importe quoi ! En cas de crise toute idée est à prendre, dans la mesure bien sûr du respect des lois. Bien sûr qu’il y a le crous et il y en d’autres je pense par exemple aux camions du cœur auquels je participe toutes les semaines. Il n’y a jamais assez d’aide pour les démunis. Donc bravo aux frères Barbet. Et pour les autres critiqueurs, à force de voir le mal partout on ne fait plus rien...
Je cherche de l’argent , du blé, du gaz pour aider mon prochain . Je vous laisse mon RIB n’hésiter pas donner , je vous remercie pour eux par avance ...MDR.
Signaler RépondreD'accord avec toi
Signaler RépondreSon opération me semble " tirée par les cheveux " , je suis perplexe sur la bonne intention de ce monsieur !
Signaler RépondreAprès avoir lu cet article je n'ai qu'un mot pour exprimer mon ressentit sur cette mascarade commerciale :
Signaler RépondreMINABLES !
L'idée est bien de faire tourner leur propre affaire, car si une société a de l'argent à dépenser pour nourrir des étudiants gracieusement, autant se rapprocher du CROUS où la même somme peut payer plusieurs repas....
Signaler RépondreMais bon, chacun cherche la reconnaissance dans son coin au lieu de vouloir se fédérer efficacement....
On ne peu pas empêcher les entrepreneurs de dépenser leurs argent.
Signaler RépondreLá en l'occurrence, ça servira plus aux restaurateurs qu'aux étudiants car il faut être conscient que cette bonne action ne pourra pas servir tous les jours à tous les étudiants qui ont faim.
Tandis sue le CROUS offre des repas à emporter à 1 euro.
Disons que c'est un extra proposé aux étudiants dans la dèche, et une super opportunité pour ces restaurateurs de faire survivre leur commerce.
On nf peut pas être contre.
Ce monsieur avec ses repas à 14,50 ne doit pas bien saisir la notion de difficulté financière... A mon avis, ceux qui peuvent se le permettre les claquent déjà en binouze rue Mercière. Pour les autres, avec la même somme, ils mangent pendant une semaine.
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