Pour le troisième soir consécutif dans l’agglomération lyonnaise, des violences urbaines ont éclaté, à Bron cette fois. Plusieurs véhicules ont été incendiés et des guet-apens ont été tendus aux policiers comme nous vous l’indiquions ce samedi soir.
Dans un communiqué ce dimanche matin, le parquet de Lyon a donné sa version des faits : "Vers 18 heures 40, un équipage du commissariat de Lyon 8 déposait un mineur en fugue à la maison de l’enfance IDEF à Bron. L’équipage composé de trois fonctionnaires était alors requis par des passants signalant la présence d’une femme apparemment blessée à proximité, auprès de laquelle ils se portaient aussitôt. Dans le même temps, un groupe constitué de trente à quarante individus, la plupart vêtus de noir aux visages dissimulés par des capuches et des masques de protection s’en prenaient au véhicule de service stationné à proximité de l’entrée de l’IDEF", détaille-t-il.
La lunette arrière, le pare-brise, les vitres côté conducteur et passager ont été brisés. Les auteurs des faits ont aussi enfoncé les ailes et ont essayé d’incendier le véhicule des forces de l’ordre avec un mortier. La banquette arrière a été détruite par le feu. Un équipage de la BAC qui arrivait en renfort a aussi été pris à partie par des jets de projectiles.
Une enquête a été ouverte pour des chefs de participation à un groupement en vue de commettre des violences ou des dégradations, de violences volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité publique et de dégradations en réunion par incendie de biens d’utilité publique. Ce samedi soir, Gérald Darmanin annonçait que cinq personnes avaient été interpellées. Le parquet précise que parmi elles, quatre sont mineures. Elles sont actuellement en garde à vue.
Lyon et ses quartiers vont bientôt faire de la concurrence déloyale , à Paris et son 93 ????
Signaler RépondreLyon et la joie de vivre .....ça craint camarades , les hordes sont lâchées !
Donc bientôt relâchée avec un petit rappel à la loi et une petite tape sur l’épaule bravo les magistrats coco socialos
Signaler RépondreOn peut effacer tous les noms de président depuis plusieurs décennies, il y a une continuité dans l'inaction, et si un jour cela bouge, cela ne sera probablement pas le fait d'un parti ou d'un homme mais d'un plus vaste mouvement où même les plus réfractaires devront prendre le train en marche sous peine d'être oubliés.
Signaler RépondreIl existe des centres de détention pour mineurs. Je suppose que pour y atterrir, il faut avoir commis une quinzaine d’homicides.
Signaler RépondreQuand est-ce que vous allez faire payer les dégâts par les parents ????
Signaler Répondreet supprimer toutes les aides des ses familles, c'est une honte de voir le comportement de cette jeunesse qui n'a rien dans le cerveau..... Et les parents ils ne surveillent pas leurs gamins
quelle éducation à vomir.
il ne fallait pas voter Macron ..........
Signaler RépondreUne question plus pertinente : pourquoi John et pas Jean ?
Signaler RépondreMineurs donc pas de prison c est tout..
Signaler RépondreET rebelote pour la suite... Les politique ont pas compris que seul le prélèvement sur salaire. Allocs. Étaient payant.....
Pourquoi ne pas faire régner l'ordre avec l'aide de nos militaires?
Signaler RépondreUn cordon autour de ces cités pollués par tous ces voyous pendant quelques jours et le commerce de la drogue serait moins actif.
Unr question que font les parents
Signaler RépondreLa prochaine étape ?....
Signaler RépondreMais elle est évidente !!....
On va nous servir les discours habituels de fermeté.
Et en parallèle, on va demander aux flics de se montrer plus discrets.
Puis les politiques se féliciteront du "calme retrouvé" !....
Toujours le même foutage de gueule du citoyen lambda qui doit subir cette racaille au quotidien !...
quand des enfants sont capables de faire PEUR à des politiciens, alors, c’est la fin des haricots,mdr.
Signaler RépondreSur les murs sont tagués ACAB ! Remplacer le C par l'initiale de dealers !
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