Alors que le procureur de la République avait requis 10 000 à 15 000 euros d'amende à l'encontre de Daniel Malicier, les juges ont relaxé l'ancien directeur de l'Institut médico-légal de Lyon des faits de harcèlement moral qui lui étaient reprochés par une technicienne en salle d'autopsie.
Défendu par Me Frédéric Doyez, Daniel Malicier avait rejeté en bloc le dossier monté par le procureur lyonnais de l'époque Marc Cimamonti et que LyonMag avait révélé en exclusivité. Il reposait sur plusieurs témoignages de légistes qui avaient fait remonter un comportement odieux de la part du professeur réputé et respecté : humiliation répétée, remarques désobligeantes en public, divulgation du dossier médical de ses collaborateurs, travaux sans aucun rapport avec l’IML au bénéfice personnel de Daniel Malicier...
Rien de tout ça n'a été retenu par le tribunal parisien, qui a estimé que la plainte de la technicienne reposait sur une simple relation de travail compliquée et que les témoignages prenaient leur source dans le statut convoité et jalousé de Daniel Malicier à l'IML de Lyon.
Devant le mauvais caractère, semble t il, de ce praticien de l'Institut Médico Légal...
Signaler RépondreSes collègues ont pris le mors aux dents ...!
Quel acharnement de vouloir lui infliger une amende représentant une mensualité de salaire,ils en voulaient à son poste c'est évident.
Signaler RépondreEtre calife à la place du calife..
Affaire classée
ç'à ne m'étonne pas du tout.Et les autres harceleuses,qui ont essayé de m'abattre,je n'avais pas pu porter plainte car on ne parlais que du tribunal administratif qui passe sous silence,les syndicats qui n'ont rien fait,mais mille fois merçi pour la direction qui a fini par ouvrir les yeux ,surmontant l'état d'esprit de copinage,très présent et néfaste dans ces milieux.
Signaler RépondreQui a tord ou raison... Jalousie... Envie.... Dieu seul le sait....
Signaler RépondreAutopsie de l'affaire AFFAIRE:
Signaler Répondrela victime a été tirée par les cheveux.
La justice ne les a pas coupé en quatre.
Verdict : mort naturelle par strangulation !
Patrons, chef de service, attachés, derrière le sourire bienveillant, le ton docte, c'est une lutte à couteaux tirés, des coups de poignard dans le dos, de la petite délation quotidienne, des guerres de clans, des clashs d'ego. Souvent attisée par le directeur d'hôpital qui ne règne que par la division. Les plus brillants quittent le service public, essorés et dépités d'apprendre que l'ascension ne se fait pas au mérite. Posez-vous la question de savoir pourquoi ces médecins ont eu un cursus moyen. Pas les derniers, mais rarement dans les premiers en classement de concours ou d'examens.
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