Une élève de 5ème a violemment frappé son enseignante d'anglais qui lui demandait de sortir de la classe suite à son mauvais comportement. Cette dernière a reçu trois coups de poing et a écopé de 3 jours d’ITT. Elle doit ce jeudi passer une radio et porter plainte. L’élève en question est aujourd’hui en mesure conservatoire et dans l’attente d’un conseil de discipline.
Les collègues de l’enseignante ont décidé d’exercer leur droit de retrait dénonçant des incidents similaires ces derniers mois au sein de l’établissement. "On demande des moyens et le rectorat reste complètement sourd", dénonce une professeure du collège Paul Vallon qui parle de "mal-être professionnel". "On vient la peur au ventre", ajoute-t-elle.
Il y a un mois déjà, les enseignants de l'établissement de Givors étaient en grève pour demander des moyens supplémentaires après plusieurs agressions. Le personnel du collège Lucie Aubrac à Givors dénonçait également une montée des violences depuis le début de l'année scolaire.
A.D.
Collège "Lucie Aubrac" , un bien grand nom honorifique e cette grande dame d'une certaine époque , qui de surcroît a permis de libérer notre beau pays et d'y vivre en paix !!! Il serait bon de le rappeler à tous ces jeunes (en mal de vivre) ainsi que de l'enseigner à certains parents !!!
Signaler RépondreY ont quoi en moment sa brûle des voitures sa tape les profs sa va être quoi après ..et dites pas le couvre feu ou confiné y le respecte pas
Signaler RépondreJe crois qu'il va falloir que Greg propose aux enseignants ce qu'il compte faire pour les forces de police : "une formation au dialogue non violent"....
Signaler RépondreL'unef va-t-elle porter plainte contre l'enseignante coupable à leurs yeux et divulguer son nom et sa photo sur leur site internet et les réseaux sociaux ?
Signaler Répondreon est loin du club dorothee navrant ces mômes
Signaler RépondreDes professeurs ont été frappés de longue date. J'en ai été témoin en 1978 et ai dû porter secours à une collègue agressée physiquement par un "élève" qui, quelques années plus tard, est devenu un assassin connu.
Signaler RépondreLongtemps, on a tu ce genre d'incident. La victime ne devait guère s'attendre à être soutenue, et s'estimer heureuse quand elle n'était pas désavouée.
Aujourd'hui, tout a changé d'échelle. Les réseaux dits sociaux permettent à des jeunes dénués de tout repère de se mettre en scène et il risque de se produire un phénomène d'émulation. C'est très grave.
Soit dit en passant : on "n'écope" pas de 3 jours d'ITT. C'est d'une amende ou d'une peine que l'on "écope", en langage familier.
En Français, on se voit prescrire une ITT de trois jours.
J’aurais bien suggéré qu’on en retire la garde aux parents, mais elles / ils frappent y compris les éducs dans les foyers de l’ASE.
Signaler RépondreEt cette gamine, d’ici quelques années, deviendra elle même « mère »... Avec 50 guillemets.
Suppression des prestations familiales.
Signaler Répondre1 mois de travaux d'utilité avec un boulet au pied.
Ces pauvre gamins sont des incompris , la prof aurait dû tendre l'autre joue ... Les parents sont aussi coupables que leurs gamins ..
Signaler RépondreLe gouvernement attend qu'il y ait encore des morts ? Pensée pour Samuel Paty.
Signaler RépondreGivors quoi !!
Signaler RépondreVaccin contre la rage obligatoire,
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