Alors que la gauche s’embourbait dans des négociations interminables et sur le point de rompre, les révélations de nos confrères sur la distribution des subventions par Laurent Wauquiez ont fait les affaires de ses opposants.
A commencer par le socialiste Jean-François Debat. Le maire de Bourg-en-Bresse accusait le président LR de "favoritisme et copinage" et d’avoir "mis la Région à son service (…) à des fins électorales". Et précisait saisir le Parquet national financier et la Chambre régionale des comptes pour permettre "de corroborer des faits susceptibles d’être qualifiés de détournements de fonds publics".
La réaction de Laurent Wauquiez ne s’est pas faite attendre : il porte plainte pour diffamation contre Jean-François Debat. "Son attitude est d’autant plus choquante que la politique d’attribution des aides de la Région à son époque était discrétionnaire au profit uniquement de quelques communes, laissant de côté toutes les petites communes rurales et majoritairement celles qui n’étaient pas de leur sensibilité politique.
On rappellera juste qu’à son époque, la ville de Bourg-en-Bresse percevait plus de trois fois d’aides de la Région que la moyenne de toutes les autres communes de notre territoire. Nous transmettrons demain à la presse tous les éléments leur permettant de vérifier les chiffres avancés", promet le président d’Auvergne-Rhône-Alpes.
Laurent Wauquiez déclare également saisir le PNF et la CRC pour examiner "la politique menée à l’époque par l’exécutif de Jean-Jack Queyranne" et conclut en regrettant "le choix (de ses adversaires ndlr) d’instrumentaliser la justice faute d’être capable de faire des propositions pour notre Région".
Avec l'affaire Ange Sitbon, ça en prend le chemin...
Signaler Répondre< Tiens> qui *éponge* les dettes de Vaulx en Velin en demandant des subsides à la Région !
Signaler RépondreBret est parti malade mais son remplaçant nous file des nausées Républicaines !!!
Le démago
Signaler RépondreVotre réaction est digne d'un écolo !!!!
Signaler RépondreMerci pour ce rappel utile
Signaler Répondre....pour les batailles de longueur de quéquette dans le fond de la cour d'école ..
Signaler RépondreMais qui pourrait siffler la fin de la récréation ?
Tous ces gens sur-nourris par la République me donne la nausée .
Mais comment peut on avoir autant de pognon et etre aussi vulgaire ??
Wauquiez bientôt mis en examen pour détournement de fonds publics?
Signaler RépondreBonne reponse
Signaler RépondreC'est de la magouille politicienne ! Nous allons voter pour les régionales en juin !Les partis politiques tentent de faire barrage contre Wauquiez ,tout simplement
Signaler RépondreS'il y a des preuves, c'est pas de la diffamation.
Signaler RépondreFaut pas avoir fait bac+2 pour voir la vérité de toute facon
l epoque benie ou il etait juste necessaire pour certains politiques de tendre la sebille pour une subvention systematique est revolue......ils vont bientot tous etre rattrappes par la realite aride et arithmetique des contraintes budgetaires!meme si........çà peut nuire à leur electorat......de depenses...... pharaoniques!! ,on va arriver à des debits........."prostatiques"........???
Signaler Répondrej’espere que ces politiciens paient les frais de justice avec leurs propres deniers.
Signaler RépondreDebat du temps de qeyranne tu touchais combien?
Signaler RépondreMais c'est partout pareil...
Signaler RépondreCe maire cumulard de BOURG EN BRESSE, qui a les dents qui crèvent le Parquet, jaloux, c'est cela :
Signaler Répondrehttps://www.lyonmag.com/article/105177/jean-francois-debat-vorace-d-argent-public
https://www.leparisien.fr/politique/elus-et-hauts-fonctionnaires-ils-touchent-parfois-plus-de-200-000-euros-par-an-15-01-2020-8236791.php
Enarque lui aussi, Jean-François Debat est membre du prestigieux Conseil d'Etat, payé 119 000 euros nets par an. Ancien trésorier du PS, il est aussi maire de Bourg-en-Bresse (40 000 habitants), président de la communauté d'agglomération et vice-président de la Région Auvergne Rhône-Alpes. Le tout pour environ 80 000 euros d'indemnités nettes annuelles. Soit, calcule l'auteur des « Voraces », quelque 200 000 euros de deniers publics. A Paris « la moitié de la semaine », confie-t-il, il participe « à toutes les séances du Conseil ». Et l'élu précise : « Dans mon agenda, je privilégie toujours les contraintes professionnelles, qui passent en premier ». L'auteur s'étonnant que ce ne soient pas ses électeurs, Debat rétorque, froissé, qu'il « a été réélu deux fois au premier tour ».
Détail piquant, le socialiste est chef de file de l'opposition au président de Région, le Républicain Laurent Wauquiez… membre lui aussi du Conseil d'Etat. Sauf que ce dernier s'était résigné, face à la polémique, à se faire placer en disponibilité. Conséquences, sa carrière… et sa retraite au sein de ce grand corps sont gelées.