A Lyon, l'action des militants a été interdite.
Selon le collectif Non à la loi Sécurité Globale, la préfecture du Rhône "a purement et simplement pris un arrêté interdisant la marche aux flambeaux déclarée pour ce mardi entre le Palais de Justice et la Préfecture".
Pour les services de l'Etat, cette manifestation "serait de nature à troubler l'ordre public". "Dans la litanie des allégations que contient l’arrêté d’interdiction, étonnamment pas un mot sur le rassemblement de samedi dernier. Se serait-il trop bien déroulé aux yeux des autorités pour servir d’exemple là où les violences de toutes parts viennent au contraire quasi systématiquement reléguer nos revendications au second plan ?", s'interroge le collectif dans un communiqué.
Les anti-Loi sécurité globale ne baissent cependant pas les bras. Ils appellent à rejoindre les marches Vérité et Justice ce samedi, dans le cadre de la journée internationale contre le racisme et les violences policières.
Je ne comprend pas, comment en « temps de guerre sanitaire », on peut prendre des décisions structurantes à propos des libertés et de la sécurité individuelles, alors que le contexte sanitaire empêche toutes réunions et manifestations
Signaler RépondreNous avions déjà la période du 15 août, ou beaucoup de lois scélérates ont été « votées » en toute discrétion
Je ne sais plus quoi penser de mon pays... peut être qu en partant à Londres, on pourrait organiser la résistance .... ou pas...
Qu’elle soit douce ou qu’elle soit Dure , nous serons TOUJOURS en dictature.
Signaler RépondreIl est interdit d ' interdire.. année 68.
Signaler RépondreInterdire c'est de la dictature
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