Nous sommes le 17 mars 2020. Il est midi. La France débute officiellement son premier confinement.
"Nous sommes en guerre". Telle est la phrase répétée à six reprises la veille lors d’une allocution télévisée historique d’Emmanuel Macron suivie par 35 millions de personnes. Afin de faire face à la première vague de l’épidémie de Covid-19 en France, mais surtout éviter les scénarios catastrophes prévoyant dans le pire des cas entre 300 000 et 500 000 morts dans le pays, le président annonce une mesure exceptionnelle sans prononcer toutefois le mot "confinement". "Dès demain midi, et pour quinze jours au moins, nos déplacements seront très fortement réduits", déclare le chef de l’Etat.
C’est un coup de massue qui tombe pour les Français contraints de rester chez eux. Quelques jours plus tôt, Emmanuel Macron avait déjà annoncé la fermeture des écoles, collèges, lycées ou encore universités. Les restaurants et les bars avaient de leur côté fait le plein une dernière fois le samedi ; les commerces non essentiels devant baisser le rideau. Le premier tour des élections municipales le lendemain enregistrait de son côté une abstention record.
Il est midi. Nous sommes le 17 mars 2020. Un silence presque assourdissant domine dans les rues de Lyon et sur tout le département du Rhône. Les habitants appliquent strictement les consignes du président et entament un confinement inédit. Les rues sont inhabituellement désertes, notamment la rue de la Ré vide, pourtant sous un grand ciel bleu annonçant le début du printemps. Les Berges du Rhône ne sont plus accessibles deux jours plus tard après les tentatives de quelques badauds de se promener au bord de l’eau.
Les autres images que l’on retiendra de ce confinement sont incontestablement les longues files d’attente à l’entrée des supermarchés, pris d’assaut par des Lyonnais et des Rhodaniens munis des désormais indispensables attestations sans oublier la règle du kilomètre à ne pas dépasser autour de chez soi sauf "urgence absolue".
Un mois et 28 jours plus tard, le déconfinement débute mais le retour à la vie normale n’est pas pour tout de suite… et n’a toujours pas eu lieu. Tout comme le reste de la France, Lyon et le Rhône ont connu un second confinement moins strict (du 30 octobre au 15 décembre 2020). Aujourd’hui, rien n’est encore comme avant avec un couvre-feu à 18h en vigueur. Hasard du calendrier ou pas ; de nouvelles mesures restrictives pourraient être annoncées cette semaine dans certaines régions (notamment l’Ile-de-France), touchées par une troisième vague de l’épidémie. Cette fois-ci le mot "confinement" est sur toutes les lèvres.
Vivement qu’on le refasse.
Signaler RépondreJe voudrais bien faire ce que vous me demandez, mais je ne comprends pas ce que vous écrivez.
Signaler RépondreSi tu veut distraire va ailleurs aussi vivement qui confine qu'on a encore la paix
Signaler Répondre1: Ignare peut-être mais je respecte ceux qui ne sont pas de mon avis
Signaler Répondre2 : vous voyez des morts ou vous moi j’en connais pas un.
3 : si vous faites confiance aux politiques et que vous pensez que Macron va s’opposer à l’UE alors je ne peux rien pour vous.
Quand au vaccin je vis très bien sans je vous laisse le mien bien volontiers.
Mes solutions ? Vivre normalement pour mon cas et protéger les personnes fragiles.
Signaler RépondrePrimo, le confinement était pour protéger les vieux, premiers touchés par l'épidémie, maintenant si vous préférez mourit, grand bien vous fasse.
Signaler RépondreDeuxio, le passeport vaccinal n'est pas en vigueur et ne le sera jamais, car le président berce les boomers complotistes dans le sens du poil puisqu'ils sont sa principale base électorale.
Tertio, aucune donnée scientifique ne justifie la suspension d'Astrazeneca, c'est jjuste un principe de précaution pour limiter les beuglements d'ignares dans votre genre qui retatderaient la vaccination et le retour à la vie normale. En effet, 30 morts pour 1,5 millions de doses quand tout le monde se déplace en voiture, c'est se moquer sérieusement du monde.
Donc c'est pas pour dire effectivement, mais pour sortir des âneries pareilles ça vaut mieux que vous ne dites rien
Donc je te prend pas de place pour l'after Covid à Cancùn étant donné que tu n'auras pas ton passeport.... un peu triste
Signaler RépondreC'est clair, mais quand les gens qui n'ont rien compris vont réaliser la "farce" qui se joue il vont tomber de haut.
Signaler Répondrevos solutions, au lieu de baver sur les autres ?
Signaler Répondre2022
Signaler RépondrePire n'étant pas possible.
La rue de la Ré sans sa faune habituelle
Signaler RépondreVers chez nous, en plus des applaudissements, il y avait pétards et feu d'artifice assez souvent (presque tous les soirs), et heureusement car ça mettait un peu de vie.
Signaler RépondreLe silence assourdissant comme vous dite est anxiogene, la vie fait du bruit et heureusement
Franchement si pourrais en avoir un nouveau vu la plupart respecte pas même son sans masque plus voiture rien c'était top
Signaler RépondreDoit-on nous empêcher de vivre normalement de nous distraire parce que vous aimez le calme ? Il existe des bulles ou la campagne pour se faire. Quand à dire que c'est bon pour la santé d'être masqué à longueur de journée et de ne pas bouger, j'ai comme un gros doute.
Signaler RépondreÇa m à pas déranger et pour tout dire j ai trouvé cela très bien en fait.... Pas bruits.. Pas de pollutions le pieds quoi... Et en pluss c est pour notre santé.......
Signaler RépondreQui aurait pu croire que dans une soit disant démocratie, des gens plus ou moins compétents, plus ou moins en faveur du peuple, puissent nous empêcher de sortir de chez nous sans raison valable et qui plus est nous pondre l'hallucinant passeport vaccinal ? De plus après avoir ruiné une certaine partie de l'économie et la vie de certains aussi, pas celles des amis bien sur, celle que l'on va rembourser, nous qui payons nos impôts, ils jouent avec notre santé avec des vaccins foireux.
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