Ce dernier avait réclamé la non-participation de la Licra à la semaine thématique dédiée à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme organisée par l'établissement, estimant qu'elle n'était pas "à la hauteur de la lutte".
Des prises de position "contraires à celles de l'établissement" selon Sciences Po Lyon, qui conservera l'intervention de la Licra. Et qui lui a renouvelé sa "volonté de poursuivre à ses côtés la mise en place d'actions de sensibilisation".
Le problème c’est qu’ils ne réfléchissent plus que comme des miroirs.
Signaler RépondreLa direction de sciences PO n'a pas cédé mais cela témoigne tout de même dune triste passe d'arme inévitable à venir entre la vieille gauche traditionnelle et la gauche radicale à qui la première, par l'accumulation de faiblesses et de lâchetés, a déroulé le tapis rouge....
Signaler RépondreEncore heureux... Selon ces étudiant-e-s, c’est quoi la définition des mots :
Signaler Répondre- Université
- Science politique
- Études
- Réflexion
- Débat
????????????????
Des étudiants de Sc. Po. (!) qui ne savent même plus faire la différence entre la vocation d’un parti ou d’une association et celle d’une université... Serait-ce les mêmes que ceux de la Covid fiesta des quais cet été ?
Le corps enseignant ferait bien de s’interroger sur son niveau d’exigence. Le niveau baisse tellement qu’on a touché le fond.
C’était la moindre des choses....
Signaler RépondreMarre du diktat des radicaux!
Encore une belle bande d’incompétents et de feignants digne de leurs aînés.
Signaler RépondreLe totalitarisme fascisant de certains syndicats étudiants devient permanent. Même Danton et Robespierre ont fini guillotinés sur ordre de leur pairs !
Signaler RépondreSolidaires, syndicat de gauche radicale... ou syndicat en train de se radicaliser, façon Unef?
Signaler RépondreBravo à Science Po de ne pas céder aux revendications plus que douteuses de Solidaire.
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