Cette tendance à la baisse s'explique en grande partie par les deux confinements qui ont paralysé la France pendant de longues semaines.
La crise sanitaire a eu également un impact sur le prix des maisons. Les acheteurs à la recherche d'un extérieur ont vu le prix des maisons nettement augmenter. Il faut ainsi compter 410 000 euros en moyenne pour une maison ancienne située dans la Métropole de Lyon (+13,8%). Certains secteurs sont particulièrement touchés par cette hausse des prix, notamment Dardilly où les tarifs ont augmenté de 18,6% pour s'établir en moyenne à 640 700 euros. A Tassin, le prix médian atteint les 684 300 euros, en hausse de 19%.
Les terrains à bâtir ont eux enregistré une hausse du prix de vente de 10,3% dans la Métropole de Lyon.
L'étude montre par ailleurs que l'Ain et le Beaujolais séduisent particulièrement les habitants de Lyon. Dans ces deux secteurs, la part des maisons anciennes achetées par des acquéreurs lyonnais connait une augmentation comprise entre 2,3 et 5,8 points.
Malgré tout, l'indice des prix est en hausse en centre-ville. A Lyon, le prix d'un appartement ancien a augmenté de 9%, et de 11,1% à Villeurbanne.
Enfin, les Notaires du Rhône ont dressé le profil type de l'acquéreur. Il s'agit d'un cadre supérieur originaire du Rhône et âgé entre 30 et 39 ans.
"Enfin, les Notaires du Rhône ont dressé le profil type de l'acquéreur. Il s'agit d'un cadre supérieur originaire du Rhône et âgé entre 30 et 39 ans."... vous avez dit ville de bobos friqués?
Signaler RépondreOù sont ceux qui disaient que EELV était un parti pour les plus modestes?
Signaler RépondreMême pas en rêve j'habite à Lyon ville la plus pourrie de France....
Signaler RépondreLe cadre supérieur est le seul aujourd’hui à ne pas connaître la crise . La majorité d’entres eux exercent dans les multinationales à des postes de directions . Directeur, sous directeurs , DRH ,..... et ne font pas grand choses comparé à ceux du tiers monde qui vont proche les remplacer. Le télétravail et la vidéoconférence a permis déjà à des cadres , africains, hindous et asiatiques de remplacer à moindre coût , le cadre supérieur français et européen. L’immobilier se porte bien , mais va connaître aussi , une dégringolade quand l’oxygène financière de Bruxelles nous sera couper . Le bilan catastrophique du chômage sera bientôt annoncé et mettra à mal toutes l’économie française, malgré les aides de l’état. Des habitudes de consommation par internet et de livraison de repas finiront aussi par mettre à genoux les derniers restaurants et entreprises qui croyaient en la reprise économique. Ceux qui n’ont PLUS d’argent seront encore plus nombreux à ne plus consommer et pour cause .
Signaler RépondreY'a pas assez de construction, les habitations non aux normes doivent disparaitre avant la fin de la décennie, avec le surcout du covid, on devrait continuer à voir une inflation, avec tout ça peut être même une hyper inflation, ça serait pas mal de mettre le cout du logement dans le calcul de l'inflation un jour ...
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