La mère de la petite Fiona, condamnée à vingt ans de réclusion en décembre dernier pour des coups mortels portés sur sa fille, avait saisi la justice pour obtenir sa remise en liberté. Une demande "rejetée avec force" par l'avocat général.
Pour rappel, un cinquième procès pourrait avoir lieu dans cette affaire qui remonte à 2013. Cécile Bourgeon s'étant pourvu en cassation.
Les avocats de Cécile Bourgeon auraient dû lui dire que sous la troisième et la quatrième République de ce Pays, elle aurait " bénéficié " c'est un euphémisme de ma part, des mêmes conditions d'égalité en matière pénale : celle des Hommes et des Femmes. Mais que ne ferait-on pas pour un peu de notoriété : médiatique... Alors on ose. Que voulez-vous !
Signaler RépondreJe te suis, mais 10000........... fois + concernant la sanction . Juste pour rendre hommage à la petite Fiona qui est quelque part enterrée ou détruite !
Signaler RépondreCette maman ne m' hérite même pas un verre d'eau ni même un grain de riz dans une assiette.
Elle devrait déjà dire ou l'enfant se trouve... avant de vouloir sortir. !!
Signaler RépondreOn ne devrait même pas écrire le mot mère ! Frapper son enfant à mort même un animal ne ferait pas ça, un déchet de l’humanité qui ne mérite ni qu’on la relâche ni compassion ni excuses. En plus 20 ans c’est très clément pour cette .... qualificatifs au choix moi je suis trop dégoûtée pour rester correcte
Signaler Répondre5 procès pour un cas social qu'on aurait du retirer de la circulation au premier coup...
Signaler RépondreLes avocats rigolent bien
Leur compte en banque aussi